Je me suis sacrifié pour elle

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Je me suis sacrifié pour elleMa femme et moi aimons les longues promenades dans les bois. C’est un loisir agréable qui nous permet de nous ressourcer. Quand nous partons en vacances, nous veillons à pouvoir pratiquer cette activité.Ce jour-là, nous étions dans les Alpes en randonnée de moyenne montagne, en route vers le Lac Bleu. Nous étions partis tôt le matin pour pouvoir passer la journée là-haut. Nous étions en juin, hors saison et donc quasiment seuls. Après quatre heures de marche à un bon rythme, nous arrivâmes sur notre objectif. C’était splendide. Nous étions ravis.Nous nous installâmes pour pique-niquer au bord de ce lac d’un bleu incroyable. Tout autour de nous, les montagnes imposaient leurs flancs dénudés. Quel bel endroit !Nous avions terminé de déjeuner et, le soleil donnant à plein, nous avions fini par nous effeuiller un peu pour profiter de ses rayons bienfaisants, cachés par un énorme rocher qui nous surplombait de deux à trois mètres. Je ne portais plus que mon string et ma femme était seins nus. Un parfum d’excitation flottait dans l’air. Je la sentais réceptive et, en ce qui me concerne, j’étais déjà tout à fait excité par la situation.— On se baigne ?— Tu es fou, répondit-elle, l’eau doit être à dix degrés !— Il fait si bon dehors, ça donne envie. J’ai envie de toi. Je me sens… prêt à tout !— Je sais que tu es toujours prêt à tout, obsédé ! Je pourrais te demander n’importe quoi !— Exactement, demande-moi n’importe quoi !Elle ferma les yeux sans répondre. Elle souriait et était sans doute en train d’imaginer le gage qu’elle allait m’infliger.— J’aimerais que tu fasses le tour du lac, tout nu.Le lac n’est pas si grand, pensai-je en l’observant. Et puis, on n’est pas sur les Champs-Elysées, ce doit être possible.— J’attends. Il faut me mériter.Je tombai le string, affichant une semi-érection qui attira le regard de ma femme. Elle fit une moue dubitative.— Mouais, pas mal.Je partis donc par la gauche pour accomplir le tour du lac, sous le regard amusé de mon épouse qui restait à se prélasser au soleil. Je marchais d’un bon pas. Je la vis se lever et, sans doute pour me narguer, elle enleva son short, puis son string. Elle était maintenant nue. Quel bonheur !Soudain, j’aperçus quatre hommes au sommet d’une butte. Comme ils étaient dans son dos, elle ne pouvait les voir. J’allongeai la foulée. Les hommes entamèrent la descente vers le lac et vers ma femme qui, toujours pour me narguer, faisait mine de se caresser la poitrine.J’avais encore une boucle de 200 mètres à terminer. Je lui fis signe. Elle passa une main entre ses cuisses, tenant de l’autre un sein pour le relever vers sa bouche. Les hommes l’avaient en point de mire et je fus tenté de me mettre à courir. Je réitérai mes signes, tout en entendant sa voix, atténuée par la distance : Viens vite me prendre, je t’attends ! Je suis toute mouillée.Cent mètres. Je trottinais en évitant les cailloux.— Viens vite me baiser, j’en peux plus !Les hommes étaient maintenant sur le rocher et observaient ma femme. En me voyant courir vers elle, elle s’installa au sol, en appui sur les coudes et cuisses largement ouvertes.— Allez, prends-moi ! Je veux ta queue !— Bonjour, messieurs ! dis-je à l’adresse des quatre types patibulaires qui observaient ma moitié en pleine extase.Elle se retourna, leva la tête, poussa un petit cri et attrapa ses habits pour se cacher.— Quel dommage ! dit une grosse voix, nous sommes arrivés trop tôt.Je pris mon string et le passai. Ils disparurent avcılar escort et je les entendis rire tandis qu’ils faisaient le tour du rocher. Ils débouchèrent devant nous. Quatre types robustes, plutôt jeunes, vêtus comme des bergers et d’allure un peu rustique.— Regardez comme ils sont mignons, les gars.Ils nous contemplaient, appuyés sur leur bâton de marche.— Ouais, c’est pas tous les jours qu’on voit ça.— Depuis deux mois que j’ai pas vu un autre cul que les vôtres, ça fait du bien !— Tu vois, le monsieur il s’apprêtait à en profiter, et puis à cause de nous y peut pas !— Oh ! moi j’m’en fous. Y peut y aller.L’un deux me jeta un regard soudain glacial.— Ça vous dit plus rien ? Elle en voulait y a pas deux minutes.— …— Et vous, ma petite dame, vous gueuliez pour avoir une queue ! C’est fini ?— Écoutez, laissez-nous, maintenant. C’est du harcèlement ! répondit-elle, fâchée.— Ouais, c’est vrai, on a bien envie de vous harceler un peu.L’homme tendit son long bâton et le glissa habilement dans les vêtements que ma femme maintenait contre elle. Elle semblait apeurée. D’un geste précis de ce bâton, il arracha les vêtements de ma femme qui se retrouva donc nue face à eux.— On avait bien vu ! Hein, les gars ?Ils s’approchèrent d’elle. Je fis un pas pour m’interposer.— C’est bien, tu es courageux, tu la protèges. Mais tu es bien seul.Ma femme se leva et se colla contre moi. Le premier des bergers, le regard braqué sur ma femme, lâcha ses affaires et ouvrit les boutons de sa chemise, tout doucement, exhibant un torse musculeux.— Les gars, dit-il, ce qui les gêne, c’est d’être à poil alors que nous sommes habillés. Alors, on ne va pas les gêner plus longtemps, c’est pas poli.Il lança sa chemise et se pencha pour ôter ses chaussures. Puis il défit son pantalon. Les trois autres l’imitèrent et bientôt tout le monde fut nu. Je sentis le corps de ma femme se coller encore plus au mien. Elle avait chaud.— On ne vous fera pas de mal, on a juste envie de baiser !— Faut nous comprendre. On n’a pas une vie facile, en montagne cinq mois par an, entre hommes.— On s’arrange bien entre nous, mais une femme, c’est pas pareil.— Vous n’avez qu’à vous branler, ça passera ! dit-elle, furieuse.— C’est ce qu’on fait, mais…— Alors vous n’avez qu’à baiser entre vous, mais foutez-nous la paix.— Ça aussi, on le fait. Mais une femme, un nouvel homme, ça tente ! Pas vous ?Le meneur attrapa ma femme par le bras et l’attira vers lui. Sa grosse main se plaqua immédiatement sur son sein.— Ah, putain, que c’est bon !Ses camarades tendirent leurs mains géantes vers le corps de ma femme. Tétanisée, elle les laissait faire.— Écoutez, je veux bien vous branler, et puis vous partez !Mon cri résonna dans la cuvette, mais surtout dans ma tête ! Ma femme me regardait, stupéfaite.— Une branlette ?— Ouais, faudrait au moins nous sucer.— Chéri, suce-les, qu’on en finisse ! En plus… tu en rêves.L’homme lâcha ma femme et elle s’écarta de lui. Ses seins pointaient. Peur ou excitation ?— C’est vrai ? Regarde nos grosses queues, elles sont bonnes à sucer, on a les couilles bien pleines et on va te remplir la bouche.— Oh ! oui, mon chéri, fais-le !Elle s’approcha de moi. Son regard avait changé. Elle posa sa main sur la bosse de mon string.— Tu bandes. Allez, fais-le, sinon ils vont vouloir me baiser. Tu ne veux pas qu’ils me baisent devant toi ?Elle passa derrière moi et baissa mon string, faisant surgir ma bite tendue. Elle posa les mains sur mes esenyurt escort épaules et appuya.— Allez, vas-y, tu nous sauves, murmura-t-elle à mon oreille.Je fléchis les jambes.— Ça m’excite, dit-elle doucement en s’agenouillant elle aussi. Fais-le pour moi, c’est l’occasion.Elle me tenait par les hanches. Son bas-ventre était collé à mes fesses. Elle bouillait littéralement, je sentais la chaleur de son sexe contre mes fesses. Un homme s’approcha, sa bite, qui me parut énorme, se balançait devant son ventre.— Regarde cette bite, je n’en ai jamais vu une comme ça. Ça va être bon.L’homme était devant moi. Au bout de son gland turgescent perlait une grosse goutte translucide.— Allez, suce-moi, ma salope.Il posa sa main sur mes cheveux et m’attira. Son gland se posa sur mes lèvres. Sa goutte s’étala dessus.— Vas-y, mon chéri, suce. Allez, suce !Je fermai les yeux et ouvris la bouche. L’homme y glissa sa queue tandis que ma femme se relevait.— Je vais filmer, ça ne vous dérange pas ?— Tout ce que tu veux ma belle, on va te donner un beau spectacle !— Oh oui, s’il vous plaît, qu’il s’en souvienne !Elle installa le caméscope sur un rocher et enclencha l’enregistrement. L’homme commençait à coulisser dans ma bouche, jusqu’au fond. Il me baisait.— Chéri, un effort, lance-toi !Je levai une main tremblante vers la hampe.— Oui, c’est bien, ajouta ma femme.Je caressai les couilles velues et arrachai un soupir à l’homme. Petit à petit ma bouche se fit de plus en plus active. Un verrou venait de sauter. Je salivais abondamment, trempant la bite. Ma langue virevoltait autour du gland baveux, glissait sous la hampe fortement veinée. Je la lançai sous les couilles, vers le périnée. Je savais ce que moi j’aimais, alors j’y allais.L’homme gémit, se cambra, m’ouvrit ses cuisses.— Ah, mon chéri, mais tu aimes ça !— Putain, oui, il aime ça ! La dernière qui m’a sucé comme ça, c’était une pute à Grenoble, et elle m’a coûté deux cents balles.Les trois autres m’entouraient, maintenant. Ils présentaient la même raideur que leur acolyte.La proximité de ces queues tendues pour moi me rendait fou. Ma langue glissa plus loin sur le périnée de ma victime. Les flashes prouvaient que ma femme immortalisait tout.— Quelle salope ! La feuille de rose ? J’adore ! Allez, lèche-moi le cul !L’homme se retourna et écarta ses fesses à deux mains. Je vis son œillet et fondis dessus langue en avant. Je lapai cet endroit avec passion. Soudain, une nouvelle queue arriva contre ma joue. Je la pris en main et la caressai vigoureusement. Abandonnant un peu mon activité bucco-anale, j’avalai ce nouveau prétendant.— Ah ! mon chéri, tu m’excites ! Continue, donne-leur tout ce qu’ils veulent ! Lâche-toi !Ce commentaire, même s’il me fit plaisir, était inutile car j’étais lâché. De la queue et encore de la queue sous les yeux de mon épouse. Voilà ce que je voulais maintenant. J’entendais les commentaires graveleux de ces quatre types qui se plaisaient à me traiter de salope et de pute.— Je crois que je vais lui faire le cul, dit le meneur.— Oh,oui ! Prenez-le ! Je veux l’entendre gémir !Ma femme semblait dans un état d’excitation incroyable. Je ne cessais de sucer la belle queue coulante et alternais avec l’œillet que j’avais réussi à dilater pour le lécher en profondeur et faire haleter l’homme de plaisir.— Je veux que vous le baisiez bien tous les quatre !Je jetai un coup d’œil à ma moitié qui m’offrait aux désirs de ces inconnus. Elle se massait beylikdüzü escort les seins avec passion. Elle était surexcitée. Tout en la regardant faire, j’avalai une nouvelle queue. J’y mis toute ma fougue, exagérant mes gestes pour qu’elle perçoive bien mon intention.— Laissez-moi le préparer, dit-elle alors. Je ne veux pas que vous l’abîmiez !— Vas-y chérie, prépare-le bien. Graisse-moi bien ce cul.Elle prit place derrière moi et je sentis sa main caresser ma raie. Je me cambrais plus encore. Elle étala un produit lubrifiant, du beurre qui restait de nos sandwiches. Elle me tartina la raie, puis glissa un doigt dans mon anus.— Oh ! oui, prends-moi ! soufflai-je en me tournant vers elle.— Oui, je sais que tu aimes. Ils vont bien te sodomiser. Je vais te mettre un deuxième doigt pour bien t’ouvrir.Elle commença à m’enculer avec ses deux doigts et petit à petit la douleur disparut totalement. Elle écartait ma rondelle que je laissais s’ouvrir. Les hommes la regardaient faire en branlant leurs bites géantes pour les tenir raides.— Bon, allez, je crois qu’il est prêt, dit alors le meneur.— Oui, allez-y.— Toi, je te baiserai bien aussi, dit-il en s’agenouillant derrière moi.Je sentis ses grosses mains m’att****r aux hanches.— Laissez-moi vous mettre dans son cul.Elle prit la hampe et frotta le gland contre mon œillet.— Mon chéri, tu sais qu’il est gros. Tu vas aimer.Je sentis le gland pousser et pénétrer mes reins. J’étais cambré au maximum, tête rejetée en arrière, extatique, attendant le moment où il allait disparaître en moi. La bite me pénétra lentement. L’homme m’attirait à lui, les doigts cramponnés à mes hanches, et je me laissais aller. J’entendis la respiration haletante de ma femme. Un homme vint s’agenouiller devant moi. Il n’eut rien à demander et je le pris en bouche avec gourmandise. Ma femme se pencha vers moi.— C’est bon, mon chéri, je t’adore en salope ! Tu vas me faire jouir !Je suçais, propulsé au rythme des coups de reins qui me baisaient. La bite me perforait les reins. Le ventre se collait à mes fesses, les mains étaient maintenant crispées sur mes épaules.— Ah ! putain, il va me faire jouir. Prends ma place !Un nouveau venu prit possession de mon cul et le quatrième de ma bouche. Je ne sais combien de temps ni combien de fois les types m’enculèrent ou profitèrent de ma bouche accueillante, mais leur désir ne cessait de grandir, leur ardeur également et ils montraient même une certaine v******e. Je n’avais plus aucune retenue et les incitais à plus de force. Ma femme sentit venir le moment crucial.— Je veux vous voir éjaculer sur son visage !Je fus mis sur le dos. Deux types prirent place. Je les repris en bouche un moment. Leurs sexes étaient gras de mes sécrétions anales, je les nettoyai parfaitement.Le premier manifesta des signes de fatigue. J’ouvris la bouche et le branlai de ma main, faisant tourner ma langue sous le frein. Soudain, ce fut l’explosion. Sa semence gicla et je la reçus sur ma langue et mes joues. Ma femme me regardait, passionnée.Le second eut droit au même traitement avec le même résultat, tout aussi abondant.Pour parfaire le spectacle, je regardais ma femme en jouant avec ma langue baignant dans les semences qui l’avaient inondée, mais sans avaler. Les deux autres vinrent se libérer sur moi.Soulagés, les types s’écartèrent et ma femme approcha. Elle me chevaucha, saisit ma queue et la dirigea vers son sexe. Elle était tellement trempée et ouverte que je m’y plantai à fond d’un seul coup. Elle se pencha, approcha sa bouche de la mienne et m’embrassa, tout en ondulant sur ma bite. Nous nous partageâmes tout le plaisir de ces quatre hommes, jusqu’à l’orgasme final.Nous regardons parfois le film, dernier souvenir tangible de cette expérience que ma femme avait secrètement organisée.

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