Trouver Ma Place — Fin

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– Je crois que tu n’as rien compris à ce que nous venons de te dire. (Juliette semble furieuse, elle me fait peur). Ne pas parler, jamais sans y être invité? Cela ne te rappelle rien comme règle (Je baisse la tête, c’est vrai). Et en plus tu t’es permis de me tutoyer. Tu te crois où? Tu te prends pour qui? Je vais te faire comprendre très vite que ce n’est pas toi qui fixes les règles. Tu ne décides plus rien et tu fais ce que je te dis. Allonge ton ventre sur la table et écarte les jambes.

Franchement je n’en mène pas large. Je suis sonné des coups et de son agressivité. Je garde les yeux baissés, j’allonge mon ventre sur la table, la ceinture est vraiment serrée et brûle déjà un peu ma peau. Mes chevilles sont écartées et attachés aux pieds de la table de marbre, tandis que mes mains, jointes ensemble, sont attachées aux autres pieds. Juliette tire un maximum pour que tout soit tendu, je ne peux bouger qu’à peine. Je suis exposé et vulnérable, épuisé aussi, je pose la tête sur le marbre froid. Je me doute qu’elle va me battre les fesses, ainsi tendues. Sait-elle que c’est bien plus douloureux? Quand je la vois sortir la canne en fibre de carbone du sac je tremble de peur. Je n’ose rien dire pourtant. Nous avons à peine essayé cette petite canne de 40 cm dont la douleur est vraiment extrême. Jeanne ne l’avait pas utilisée plus de deux fois, tant les marques sont profondes et violentes. Et Juliette ne sait sans doute pas l’utiliser en plus.

Le premier coup me surprend, me coupe le souffle, vrille mon cerveau. La souffrance est insensée. Je hurle dans le bâillon que Juliette m’a enfoncé dans la bouche, fait des culottes de Jeanne et elle. Je n’ai pas le temps de récupérer que déjà elle frappe très fort l’autre fesse. Elle n’a même pas cherché à évaluer l’impact du coup. Mon corps est tendu comme un arc, tirant comme un fou sur les liens, me faisant mal aux poignets et chevilles pour rien. Impuissant je compte les coups jusqu’à 10, dans un mode de survie. Je compte machinalement et m’affaisse au dixième. Je sens mes fesses brûler, couler, cela ne peut être du sang, je n’ai jamais saigné des fesses. La douleur irradie profondément. Je ne fais que hurler, même les coups terminés.

– Tu vas m’obéir et comprendre ta place j’en suis certaine.

La voix de Juliette est toujours aussi calme, et devient d’un coup menaçante pour moi. Je comprends qu’elle contrôle. Sa main sur mes fesses ne m’apaise pas mais je sens qu’elles sont gondolées, profondément marquées. Je pleure, je hoche la tête pour lui indiquer comme je suis d’accord, que j’ai compris.

– Te rends tu compte comme tu es pathétique, tu as le double de mon poids, 30 ans de plus que moi, et tu te laisses faire comme la larve que tu es. Je n’y croyais pas quand Jeanne m’a parlé de toi, de tes pulsions, de tes besoins. A quel point tu n’étais bon qu’à servir les femmes. Je le constate.

– Je crois que ta femme ne voulait plus te dominer, tant tu lui paraissais pathétique, à ramper, à quémander, à souffrir. Assurément ce n’était pas l’homme qu’elle avait épousé et qu’elle voulait. Je me demande en combien de temps Jeanne va complètement se désintéresser de toi? As-tu remarqué comme cela a commencé? J’avoue que ta déchéance dans son cœur m’excite aussi terriblement.

Elle pense sincèrement ce qu’elle vient de me dire, ce qui me fait le plus mal. J’avais cru discerner chez elle un intérêt pour moi. Et ce qu’elle dit sur Jeanne résonne en moi, oui je l’ai remarqué. Et non je n’avais pas compris que je la dégoûtais ainsi à être aussi pathétique, masochiste et soumis. Tout s’éclaire dans mon esprit, mais c’est trop tard. De toute façon, il n’y avait rien à y faire, car je suis bien à ma place.

– Continuons

Oh non! C’est encore plus dur si c’est possible. Tape-t-elle plus fort, ou, plus simplement, les fesses déjà meurtries rendent les coups insupportables. Ma voix est éraillée, j’essaie de m’offrir pour atténuer l’impact, sans succès. 10 nouveaux coups sur les fesses, puis 5 sur chaque cuisse. Je crois que je me suis évanoui, c’est bien trop intolérable.

Je suis réveillé par une pression sur mon cul. Pression que je connais parfaitement. Le gode est bien graissé au moins, Jeanne lui a donné quand même les rudiments de base. Mon anus est forcé sans préparation, sans brutalité mais sans douceur. La douleur est alors brutale, comme un coup de pied, je ne m’affole pas, je sais qu’elle passe, mais en règle générale Juliette retire l’objet pour me soulager. Là c’est l’inverse le gode continue de s’enfoncer. Je le reconnais à ses stries, il faut avouer que j’adore cela. Il fait bien 30 centimètres de long et 6 de diamètre.

Juliette force, butte au fond de moi, mais ne sait sans doute pas qu’il ne s’enfonce pas de plus de 20 centimètres. Elle essaie encore, le tourne, presse jusqu’à trouver un chemin inconnu pour moi. Je sens tous mes organes remués et contraints, des douleurs profondes et nouvelles tandis que le gode rentre jusqu’à la garde! Je suis halluciné. Avec dextérité, Juliette referme Büyükesat Escort la sangle de la ceinture de chasteté qu’elle avait ôtée dans mon sommeil, le gode est ains profondément fiché en moi. C’est délicieux, mais ne compense pas la souffrance de mes fesses et de mes cuisses. Elles sont en feu.

Puis plus rien. J’entends la porte d’entrée s’ouvrir, les lumières s’éteindre, le silence se faire. Elles ne peuvent pas me laisser ainsi. Et pourtant. Le plaisir d’être ainsi enculé devient une terrible souffrance au bout d’une vingtaine de minutes, puis insupportable. Me faisant oublier mes fesses et mes cuisses lacérées. Je gémis en continu, la souffrance m’épuise, je m’endors.

Jeanne est proche de moi, je la ressens, je vibre, j’ai envie de bander. Je m’agite pour lui indiquer que je sais qu’elle est là. Mon dieu comme je l’aime, comme tout ceci prend du sens avec elle. Mais aussi comme j’ai honte de m’afficher ainsi, maintenant que j’ai compris que ce n’est pas ce qu’elle veut de moi.

– Mon dieu esclave, comme tu es marqué. Tes fesses sont couvertes de sang, comme tes cuisses. Cette canne est vraiment terrifiante, et Juliette très surprenante. Elle m’a dit pour le Gode violet que tu as tout au fond. Tu dois être tellement heureux d’être ainsi traité. C’est drôle comme Juliette nous rend heureux, je n’ai jamais été aussi libérée et comblée qu’en ce moment, elle me rempli. C’est comme si nous nous connaissions depuis des années.

– C’est bien autre chose qu’avec toi! Tu m’as beaucoup apporté mais c’est vrai qu’on tournait en rond, et tes obsessions m’ont tellement ennuyée, si tu savais! Je suis tellement contente que tu sois à cette place d’esclave, cela me paraît naturel, et toi c’est ton rêve. Ainsi je t’utilise sans me prendre la tête. Et tu dois adorer que je t’humilie ainsi, et sois certain que je ne me force pas. Juliette m’a fait vraiment prendre conscience à quel point je te méprise d’être une larve, et je suis dégoutée que nous soyons mariée. Heureusement, cela va vite être réglé, tu n’auras rien à faire, juste signer un papier. Malheureusement cela restera écrit sur mon acte de naissance, mais comme bientôt tu ne sera plus rien c’est parfait.

– C’est drôle car elle veut absolument que je continue à développer ma féminité, elle adore me voir hyper sexy et voir tous les hommes devenir dingue quand nous nous embrassons. Je trouve cela paradoxal car elle refuse au contraire tous efforts. Mais pour elle je ne refuserai jamais rien!

– Nous avons fait plein de shopping pour moi, des tenues que je n’aurais jamais osé porter, et là elle me pousse. Y compris des sous-vêtements. C’est un vrai mec cette fille, elle veut que je sois sans culotte pour pouvoir me faire jouir partout tout le temps, que je porte des serre taille, des soutien-gorge affriolants. J’avoue que j’adore.

– Elle m’a même demandé si j’aimerais avoir une poitrine plus grosse, pour son plaisir à elle. C’est vrai que j’ai souvent eu cette envie, mais je pensais que c’était surtout une pulsion masculine. Mais comme cela vient de la femme la plus magnifique et sensuelle du monde, je me dis que cela peut être vraiment chouette!

– Je crois que là, pour les orgasmes, tu es battu complètement, je monte de plus en plus haut au ciel, j’en suis pantelante. Et toi qui n’arrivais même plus à jouir et difficilement à bander, tu parles d’un mâle. J’étais mortifiée de cela.

– Juliette a plein d’idées pour toi, tu vas voir, quand elle s’y met, c’est un bulldozer.

– Je pense encore à toi, regarde.

Alors que je me sens humilié comme jamais, jaloux de Juliette qui me domine et me contrôle, détruit par ses mots que je sais sincères, Jeanne applique ses sévices préférés, soit ses griffes qui me lacèrent le dos, plus profondément que jamais, là aussi faisant couler mon sang, comme jamais. Je hurle à nouveau, elle lacère encore et encore, mes bras tendus, mes flancs. J’ai le corps en feu, l’esprit en berne. Elle me laisse ainsi et je sombre dans un état proche du comas, la bouche toujours encombrée mais devenue très sèche, j’ai horriblement soif.

J’émerge soudain, les deux jeunes femmes sont devant moi. Jeanne est absolument splendide dans une robe patineuse courte et blanche, juchée sur de grands talons elle dépasse son amour de plus de 10 centimètres. Elle est légèrement maquillée, les cheveux noués en queue de cheval, la décolleté magnifique, parfait même! Je la trouve sublime, surtout épanouie, heureuse. Cela me remplit de honte quand je repense à ses propos, à son mépris et son rejet. Je m’accroche à ses mots d’être l’homme de sa vie, mais je commence à en douter. Juliette est égale à elle-même, toujours aussi fraiche et délicate. Elle tend à Jeanne la canne qui m’a torturé il y a au moins 10 heures, puisque le jour est tombé. Mes bras comme mes jambes sont en carton.

– Nous allons terminer ta punition esclave, je pense que tu t’en souviendras. Sinon la prochaine fois ce sera le triple de coups. Maintenant Beşevler Escort c’est Jeanne qui va faire sa part, et moi me remplir de ta souffrance. Je le savais, mais pas à ce point, j’adore voir un homme souffrir, c’est instinctif, je mouille.

J’essaie de faire non de la tête, je ne peux rien subir de plus, mais sans effet bien entendu. Jeanne a été informée par son amie, car les coups sont aussi forts, bien plus douloureux car mes fesses ont refroidi. A chaque coup je bondis, je croise le regard de Juliette, les yeux brillants, la main dans son pantalon qui se fait jouir en continu. Cela me dope, m’excite terriblement, cette fille est un démon incroyable, je me nourris de ses orgasmes et arrive à mieux accepter la terrible flagellation de Jeanne qui termine par mes cuisses bien marquées déjà. Elles sont toutes gondolées comme mes fesses.

Les deux femmes s’embrassent passionnément devant moi, et vont faire l’amour sur le canapé que je distingue du coin de l’œil. Je suis heureux, elle avait raison, heureux de les voir toutes les deux si heureuses. Et j’ai retenu la leçon. Je m’effondre enfin, ayant complètement oublié le gode qui me vrille le corps.

***

Il est 5h00 du matin, je me réveille comme tous les jours de la semaine. Je plie ma couette, seul luxe de ma couche. Je ne suis pas encore bien habitué à dormir sans oreiller, alors que l’absence de matelas ne me gêne guère. Une rapide toilette de chat, je ne me résous que rarement à une douche tant l’eau est souvent glacée. Je vérifie le rasage de ma tête, 5 mm, et je passe un rapide sabot sur mon visage pour entretenir une barbe de 3 jours, très appréciée par Madame. J’enfile mon uniforme avec un T-Shirt blanc moulant, laissant clairement apparaître mes anneaux aux tétons tant ils sont imposants, et un boxer blanc, tout aussi moulant, offrant une vue imprenable sur ma ceinture de chasteté. Comme promis, elle n’a pas bougé depuis ce premier soir d’entrée en esclavage.

Je monte à l’étage, peu surpris de l’état du salon. Les deux femmes ont reçu d’autres couples lesbiens hier, et je m’attendais à ce que l’état soit assez déplorable comme chaque fois. Je ne suis pas désiré à ces soirées, mais je dois absolument tout préparer minutieusement, puis tout ranger, sachant qu’elles sont toutes habituées à ce qu’une fée du ménage vienne ranger le capharnaüm! Ce que je fais, avec un certain plaisir, rendre l’endroit nickel pour mes Maîtresses me comble chaque jour. Avant de commencer je prends tout le linge sale que je trouve pour la lessive du jour. Tout doit être impeccable en permanence. Je ferai le repassage de la lessive de la veille après le rangement.

Malgré ma soif, je ne me laisse pas tenter par les bouteilles à moitié vides. Je descends à la cava, et agenouillé je bois à mon bol d’eau, tandis que je remplis ma gamelle des restes de la soirée d’il y a deux jours. Je nettoierai le récipient pour y mettre les restes de cette soirée. Ce régime est dur et humiliant, mais efficace. Il est vrai que j’ai retrouvé le poids de mes 18 ans!

Tout est propre, je n’ai pas passé l’aspirateur, bien entendu, mais la serpillère après le balai. Je fais le tour de toutes les autres pièces, sauf la chambre de mes Maîtresses. La chambre d’amis a été utilisée, les draps sont en boule, je les lave aussi puis remets la chambre en ordre. Tous les jouets sexuels ont été désinfectés et rangés dans leur placard. Il y en a chaque fois un peu plus, et rares sont ceux que je n’ai pas subi. Je ramasse aussi la canne en fibre de carbone ainsi qu’un instrument diabolique reproduisant les griffes acérées d’un ours, surpris qu’ils aient été utilisés hier. Une masochiste ou une esclave devait être de la partie.

Il est temps de filer à la boulangerie, et préparer le repas de mes deux Déesses. Je relis les instructions envoyées sur mon téléphone, et prépare le repas en conséquence. Je vois aussi que je dois accompagner Maîtresse ce matin, aussi je descends m’habiller plus correctement pour sortir, et vais préparer la voiture. Je sais qu’elles ne veulent pas me voir, je suis devenu tellement transparent. En 9 mois maintenant, que de transformations! Chez moi avant tout, mais le plus spectaculaire est chez les deux femmes, dont la passion ne semble que grandir jour après jour.

Avec le recul, je n’avais aucune idée de ce qu’était vivre une relation d’esclavage. Je l’ai très vite compris et il m’a fallu quelques mois pour prendre toute la mesure de mon rôle. J’ai eu peu de punitions en fait, après cette première. J’en compte 15, me souvenant de toutes, dont certaines pour des détails qui ont illustré l’extrême exigence de Madame. Un oreiller mal tapé par exemple. Je vous jure qu’ensuite je scrute tous les détails possibles et imaginables, et que je ne laisse plus rien passer. Ces punitions sont tellement terribles, elles me mettent en totale fébrilité dès que Juliette est là. Dans mon approche de male égocentrique, j’avais surtout envie d’être dressé, torturé, utilisé, Cebeci Escort me sentir au centre en permanence, vibrer de tout mon corps, même dans la souffrance. Et ce n’est pas ce qui est arrivé, et aujourd’hui je n’aurais pas aimé que cela arrive et je ne désire plus que cela arrive.

Si nous avons quelques pratiques, elles sont assez rares, tournées exclusivement en fonction des plaisirs de mes Maîtresses. En particulier la passion que Juliette a découverte pour les pénétrations. Un peu paradoxal peut-être pour une lesbienne. En tous cas elle l’exerce de façon intense chez moi, et de ce que j’ai pu voir avec Jeanne aussi, pour leur plaisir mutuel.

J’ai passé des nuits entières ligoté à être perforé par une fuck machine, ou bien juste dilaté par un énorme gode qu’elle prend plaisir à faire aller et venir. Sa collection de culotte gode est impressionnante, dont certains de la taille de mon bras, qu’elle prend un plaisir renouvelé à m’enfoncer au plus profond de moi quand l’envie lui prend. J’ai déjà pu assister à de telles sodomies avec Jeanne également, partant dans des orgasmes de folie. Rares fois où j’assiste de visu à leur passion dévorante.

Mais ce n’est pas l’essentiel, loin de là. Mon désir masochiste s’est dissipé derrière cette perte totale de contrôle mais aussi de personnalité. Je suis totalement effacé, rempli de mon masochisme cérébral, de ne compter pour rien. Dès le premier jour les deux femmes ont agi chaque fois comme si je n’existais que comme un serviteur zélé, ne m’adressant la parole que pour aboyer des ordres, ne prenant garde à moi que pour me réprimander de services pas assez bien exécutés. Je suis la plupart du temps ignoré et beaucoup de mes ordres sont mêmes envoyés sur mon téléphone totalement bridé où je ne peux lire que les messages de Madame et Maîtresse.

Je ne suis plus rien, profondément plus rien, je ne pense plus jamais à moi, quand je suis défoncé par exemple, je ne suis concentré qu’à m’offrir le mieux possible pour Madame, quand je sers, je ne pense qu’à leur plaisir et surtout leur satisfaction. Je n’aurais jamais cru cela possible, je n’ai plus d’autres pensées et cela me remplit tellement, je suis tellement apaisé et à ma place, juste terrorisé de ne pas être parfait. Le regard de Madame étant si exigeant et sans jamais de geste de tendresse comme très exceptionnellement ma Maîtresse m’en procure.

Je rêvais tellement d’être rempli en permanence de ma Maîtresse. Je dois constater que si je suis totalement rempli aujourd’hui c’est de Madame qui occupe chaque cellule de mon corps, me possède totalement, pour qui je respire et vis chaque seconde. Je la guette sans cesse pour deviner ses désirs, les prévenir comme elle me l’impose, la combler à chaque instant, disparaître quand je risquerais de l’ennuyer. Je ne vis en effet que pour elle et que par elle. Je trouve Maîtresse sublime et de plus en plus épanouie, mais ma Déesse est Juliette, parfaite à chaque instant, constante dans ses exigences et ses positions, sans aucune pitié ni considération. Je n’existe et ne suis là que pour la servir, c’est clair.

Si je me suis enfoncé tellement facilement et naturellement dans cette position d’esclave, transparent, à l’existence uniquement tourné vers mes Maîtresses, l’évolution de Juliette a été à peine perceptible, tant tout cela semble naturel en elle. Il est vrai qu’elle n’a aucune affection pour moi, aucun intérêt pour les hommes, qu’elle aime diriger et décider ce qui lui convient parfaitement. Elle prend simplement encore plus d’épaisseur, plus de charisme. Il n’y a que quand Jeanne apparait que Juliette est totalement et instantanément transformée, éblouie et débordante de joie, devenant une petite fille folle de joie et de fraîcheur. Je suis sidéré à ces moments de la profondeur de sa transformation. Jeanne est tout pour elle, sans aucun doute l’amour de sa vie aussi.

Jeanne, c’est tellement différent. Son changement est spectaculaire et pas que vis-à-vis de moi. Je suis devenu transparent très vite, d’autant que Juliette prend très clairement le rôle de dresseuse que Jeanne n’a jamais voulu prendre. J’ai souvent un coup au ventre quand je vois à quel point Jeanne se désintéresse de moi, et je comprends que devenu esclave, je n’ai en fait aucun intérêt pour elle. Que si elle aimait l’homme fort, la chose que je suis devenue ne l’intéresse plus. Souffrance terrible, venant combler mon masochisme cérébral car équilibré par la prise en main par Juliette qui a alors rempli tout l’espace.

Mais ce n’est pas le seul changement loin de là. Comme elle a pu me le murmurer le soir de la première punition, sous l’impulsion de Juliette, elle a développé son côté ultra féminin et sexy. Je ne l’ai plus jamais vue sur des talons de moins de 10 centimètres et souvent plus, dans des tenues souvent classes mais très sexy, la taille très marquée, maquillée alors qu’elle ne portait jamais de maquillage, toujours en jupe, robe, courte, laissant souvent voir des bas. Elle a tout du trophée, mais c’est celui de Juliette qui se délecte des aventures nombreuses et variées que Jeanne lui rapporte. Moi je suis transi devant tant de beauté et de sensualité, et de distance avec moi. Je bande de moins en moins, mon cerveau ayant compris les souffrances intenses que j’endure à chaque tentative, mais cela me manque tellement de ne pas jouir. Parfois j’en deviens fou.

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