Une jeune épouse si innocente

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Anal

Une jeune épouse si innocente …

Innocent Wife Indeed

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite de Chantage et humiliation (Beauty Blackmailed & Boffed)

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Angoissée, elle fonça vers sa maison, elle voulait y arri-ver avant son mari pour se rafraîchir, elle appuya sur le champignon en jetant un oeil paniqué sur son cadran de montre.

– Oh mon Dieu… Pourvu que j’arrive rapidement à la maison pour prendre une douche rapide! … Se di-sait-elle en elle-même.

Se regardant dans le miroir de courtoisie, elle vit que son rouge à lèvres avait largement débordé, elle fouilla dans son sac pour se rendre présentable juste au cas ou Jean serait rentré au domicile avant elle.

Le cœur battant la chamade, alors que son irritation montait au vu de la densité de la circulation, Carol ne pouvait s’empêcher de revenir sur les événements de ces dernières semaines.

Les photos obscènes lui revenaient en tête.

– Oh Jean.. Je t’en prie pardonne-moi… Mais je ne pouvais pas vous laisser… Ni toi ni mes parents… Voir ces immondes photos…

Les yeux pleins de larmes, reniflant de honte, Carol se sentait encore souillée par le foutre que le rival de son mari lui avait injecté dans sa foufoune embourbée.

Carol était si naïve et innocente qu’elle ne pouvait pas croire qu’on puisse être aussi vil que Rashid Akbar.

Juste trois semaines plus tôt, alors que son mari était en voyage d’affaire, Rashid avait payé un groupe d’asiatiques pour qu’ils envahissent sa maison.

Retenue captive dans sa propre maison, elle avait alors découvert que c’était le pervers concurrent de son mari qui avait dirigé la manœuvre.

Sous l’œil des caméras, accroupie sur la moquette, les abjects jeunes ados s’étaient masturbés face à son vi-sage éjaculant leur foutre sur elle.

Elle avait tenté de détourner le visage, de ce fait les gi-clées de foutre blanchâtre s’étaient écrasées sur sa robe, son chemisier, son visage, son cou et ses che-veux.

C’est alors que l’immonde Rashid avait fait un pas en avant en dégrafant sa braguette extirpent sa mons-trueuse bite noire de son caleçon pour se branler sous ses yeux horrifiés.

Alors qu’un des bâtards de jeunes asiates lui tenait fer-mement la tête, le concurrent de son mari gicla à jets saccadés sur son visage grimaçant.

Ayant reçu plusieurs instantanés répugnants sur un mail de Rachid, instantanés extrait du film relatant sa souillure, Carol comprit tout de suite qu’elle ne pouvait laisser son mari et ses parents les découvrir! …

Elle s’était rendue au bureau de Rashid pour le supplier du lui rendre les photos et le clip vidéo ainsi que les co-pies qu’il aurait pu exécuter, acceptant en contrepartie à tenter de convaincre son mari de lui revendre ses affai-res.

Carol frémir de dégoût en repensant à ce qu’elle avait du faire pour dissuader Rashid d’envoyer des copies des photos et vidéo de sa déchéance à son mari et ses pa-rents! …

Elle avait des nausées en se souvenant avoir été obligée de s’agenouiller entre ses cuisses pour tout d’abord branler sa monstrueuse pine à pleine main avant de l’admettre entre ses lèvres.

Jamais elle n’avait pratiqué une chose aussi immonde, même pour faire plaisir à son bien-aimé mari! …

Pire encore elle réalisa rapidement que Rashid avait l’in-tention de se vider les couilles dans sa bouche, il lui tenait fermement la tête l’obligeant à avaler servilement la totalité de son foutre en dépit de son écœurement.

N’étant pas parvenue à convaincre son mari de céder ses affaires à son rival lors de la semaine que Rashid lui avait accordé à cet effet, elle avait du le rencontrer à nouveau pour négocier un report de temps pour accom-plir sa mission.

Cette fois, en contrepartie elle dut payer un prix bien plus élevé… Beaucoup plus élevé! …

Elle avait du coucher avec l’infâme rival de son mari! … Elle avait du copuler avec lui! … Il l’avait sauvagement BAISEE! …

Alors que jamais un autre homme que son mari ne l’avait caressée intimement, voilà qu’elle rentrait chez elle l’utérus plein de l’immonde foutre de l’ignoble concurrent de son mari! …

Désespérée, elle sentait le foutre gras de son suborneur suinter de sa chatoune inondée pour tremper le fond de sa petite culotte, honteuse elle avait bien du mal à ad-mettre les réactions de son corps sous cet assaut.

– Mon Dieu… Pourquoi mon corps a-t-il répondu ainsi à ses caresses? … Pourquoi m’a-t-il trahi aussi ignominieusement? … Sanglotait-elle éperdue.

Elle tourna dans l’allée du garage s’arrêta et pressa le bouton d’ouverture de la porte du garage. Elle gémit en voyant la voiture de son époux garée à sa place.

Elle se mit à prier pour qu’il soit suffisamment occupé dans son bureau pour ne pas venir la saluer à son en-trée.

Sortant de sa voiture elle referma la porte du garage et entra chez elle en empruntant Kadıköy travesti la porte de communica-tion avec la cuisine.

Elle frémit en entendant son mari la héler :

– Hello chérie…

Elle arbora un large sourire alors qu’il lui prenait tendrement les lèvres. Elle frissonna en sentant ses muscles des cuisses se crisper, éjectant une nouvelle larme de foutre de son infâme séducteur.

Elle mit fin rapidement à ces embrassades en le coupant :

– J’ai besoin de me rendre d’urgence dans la sale de bain! … Je vais prendre une bonne douche bien chaude… Je me sens sale et poisseuse de sueur…

Et de fait elle ne mentait pas vraiment elle se sentait souillée par le foutre gluant de ce bâtard de Rashid! …

Elle se déshabilla rapidement dans la salle de bain sus-pendant sa robe à la patère au dos de la porte. Elle dé-grafa ensuite son soutien-gorge, puis l’ayant enlevé, elle observa minutieusement ses nibards meurtris dans le miroir.

Remontant ses mains, elle pressa ses mamelons de ses pouces, frissonnante alors qu’elle repensait aux sensations nouvelles qu’elle avait découverte alors que l’immonde rival de son mari suçait ses tétons avec avidité.

– Oh mon Dieu… Soupira-t-elle en remarquant quel-ques suçons marbrant ses deux nichons.

Enlevant prestement sa petite culotte, elle contempla longuement l’épaisse couche de foutre en tapissant le fond.

Elle plongea nerveusement son pouce dans l’épaisse purée.

Elle frotta son pouce englué de glaire contre ses autres doigts, puis elle le porta à ses narines et en huma la forte odeur de semence virile.

Se regardant dans le miroir, Carol avala sa salive mur-murant à son image :

– Tu n’es qu’une salope! … Tu t’es fait baiser par un autre homme que ton mari cet après-midi! … Un au-tre que ton mari t’a remplie de son foutre! … Pire encore, tu as expérimenté le meilleur orgasme que tu ais eu de toute ta vie! …

Se dégoûtant profondément, elle frotta son doigt enrobé de foutre contre son menton et sa lèvre inférieure

– Tu n’es qu’un pute bon marché! … Se châtiait-elle en frottant maintenant le fond bourbeux de sa petite culotte sur son visage.

Les yeux pleins de larmes, elle regardait toujours son image dans le miroir commentant :

– T’as vraiment l’air d’une pute de bas étage… Une pute au visage couvert de foutre gras! …

Le visage bombardé par les embruns chauds de la dou-che, elle cura son visage de l’épaisse couche de foutre qu’elle venait d’y déposer, le frottant encore et encore… Puis elle nettoya ses nibards frissonnant longuement alors que ses pouces pressaient ses tendres bourgeons mammaires.

Reposant le savon sur l’étagère, Carol caressa ses courbes voluptueuses de la main droite alors que sa main gauche plongeait lentement vers sa foufoune em-brasée.

Sa chagatte était si distendue depuis tantôt qu’elle pouvait maintenant glisser aisément 2 doigts dans sa ca-verne enfiévrée.

Ayant vu la dose importante de foutre qui avait suint de sa fentine pour poisser le fond de sa culotte, Carol pen-sa qu’elle parviendrait à en expulser la plus grande part de sa grotte souillée.

Extirpant ses doigts, elle frémit en constatant à quel point cette couche de foutre qui les engluait était dense.

Elle ne pouvait que constater l’épaisseur des glaireuses traînées jaunâtres qui gagnaient lentement le syphon de sa douche.

Elle extirpait encore et encore cet immonde foutre, po-tentiellement dangereux, dont l’infâme rival de son mari avait consciencieusement tapissé son tunnel d’amour.

Elle continua longuement de regarder l’épaisse purée qui traînée après traînée s’échappait par le syphon de la douche.

Elle ne parvenait pas à croire qu’il ait pu éjaculer un tel flot de foutre dans son intimité.

Elle savait que cela ne suffirait sûrement pas à extirper la totalité du foutre menaçant de sa chagatte et que po-tentiellement elle était en grand danger de grossesse.

Carol ne pouvait s’empêcher de s’imaginer les 9 mois à venir, étendue sur le dos, cuisses grandes écartées, chevilles liées aux étriers alors que le gynécologue oeu-vrait entre ses cuisses.

Puis tandis que Jean tenait tendrement sa main, elle observait consciencieusement le visage de son mari pour constater le choc qu’il afficherait en découvrant la conséquence de cet horrible après-midi.

Finalement, après s’être frotté maladivement de façon à extirper le plus possible de semence de sa moule, Carol prépara une douche vaginale qui, espérait-elle anéanti-rait les derniers spermatozoïdes ayant résisté au curage minutieux de son utérus.

Ayant terminé de se nettoyer elle rejoignit son mari lui demandant de lui servir un martini gin bien sec, elle en avait bien besoin pour apaiser un tant soi peu la tension de ses nerfs.

Une paire de jours plus tard, elle se blottissait tout contre John qui regardait une vidéo à la télé, elle s’étendit sur le sofa, posant sa tête sur les genoux de son époux.

Elle sentait sentir Kadıköy travestileri la main de Jean flatter sa tête, ses doigts courtant dans sa soyeuse chevelure noir corbeau.

Son mari semblait apprécier fortement ce film dont elle n’avait aucune idée du contenu, elle se demanda alors qu’elle serait sa réaction s’il visionnait la vidéo en pos-session de son haïssable rival.

Elle se demandait comment elle parviendrait à convain-cre son époux de revendre sa compagnie, elle hésitait cependant à revenir sur ce sujet.

Ils en avaient brièvement discuté la veille, mais Jean ne semblait pas très convaincu et elle ne voulait surtout pas le brusquer en la matière.

Promenant sa main sur le short de son mari, elle ne pouvait s’empêcher de repenser à la dernière fois que son visage s’était trouvé proche d’une virilité tendue.

Elle caressa lentement la grosse bosse qui déformait son short et referma la main sur la bite tendue de son mari. Elle se rappelait le grand nombre de fois qu’il avait tenté de la persuader d’embrasser son gland turgescent avant de prendre sa mentule en bouche, elle avait toujours refusé de se livrer à des actes aussi pervers.

Elle se demandait avec curiosité qu’elle serait la réaction de son homme si elle descendait la fermeture de sa bra-guette avant de le prendre en bouche pour le sucer avec avidité, lui faisant expérimenter tout ce que Rashid lui avait appris! …

Se serrant contre son mari, elle le sentit répondre à ses caresses.

Carol savait qu’il ne s’opposerait aucunement à ce qu’elle glisse sa main dans son short pour y pêcher sa bite qui grossissait à vue d’œil, c’était un acte licencieux auquel elle ne s’était jamais livrée auparavant.

Elle observait la bite de son mari s’expandre alors qu’elle la branlait lentement, elle se pencha alors sur son ventre pour emboucher son gros champignon palpitant.

Jean Nishimoto était abasourdi, pris totalement à l’im-proviste par les initiatives de sa ravissante femme.

Elle avait le visage si proche de sa queue qu’il en ferma les yeux rêvant qu’il avait enfin convaincu sa femme de lui octroyer une fellation.

C’était un rêve que Jean ne pouvait se sortir de la tête, il se demandait toujours ce qu’il ressentirait si sa femme lui suçait la bite! … Mais elle avait une éducation si conservatrice, si “bien-pensante” qu’il savait que ce rêve resterait sûrement un vœu pieux.

Un frisson de plaisir courut tout au long de son corps alors que sa douce Carol caressait sa bite palpitante.

Depuis quelques jours, Jean se demandait pourquoi son adorable femme semblait si déterminée à ce qu’il aban-donne les affaires, à ce qu’il vende sa compagnie.

Il savait qu’elle travaillait à contrecœur dans la même entreprise que lui, elle avait trop souvent entendu dire que le travail en commun avait mené bien des couples au divorce!

Comme l’entreprise nécessitait de nouveaux investisse-ments et un profond changement de statuts, Jean com-mençait à penser qu’en fait, il ferait mieux de vendre la compagnie.

Peut-être bien que Carol voulait marcher de son propre pas, elle avait souvent été approchée par différents clients qui voulaient l’embaucher dans leur boite, pen-sait-il.

-Oui c’est ça! … C’est pourquoi elle semble si impatiente que je vende l’entreprise conjoncturait-il.

Sentant ses doigts se promener sur sa virilité, Jean sentait sa bite répondre à ces caresses affolantes, il priait pour que sa femme ait vraiment envie de s’amuser avec lui!

Jamais sa femme si prude et si réservée ne s’était comportée de façon aussi hardie, prête à glisser sa main dans son short pour tirer de coté son caleçon et s’empa-rer de sa bite frémissante.

C’est alors qu’elle empoigna son chibre tendu et l’extirpa de son short prête à l’emboucher avidement.

Jamais Carol ne s’était tenue le visage aussi proche de sa virilité. Il avait rêvé si souvent de voir son visage s’approcher de son pénis, il le lui avait d’ailleurs parfois suggéré.

Mais une telle requête avait toujours révulsé Carol lui répliquant vertement :

– T’es complètement fou si tu crois que je me livrerai un jour à un acte aussi répugnant! …

Il avait pas mal réfléchi sur l’avenir de sa compagnie et les problèmes que cela posait et en était venu à conclure qu’il ferait peut-être bien de la revendre.

Sachant que Carol espérait vivement qu’il cède ses af-faires il lui vint la brillante idée de susurrer à sa femme :

– Oh chérie c’est si bon… Je sais que tu veux que je revende ma société… Pour ouvrir une agence de consultation… Si tu te montres gentille avec moi… Vraiment très gentille… Tu parviendras à me convaincre de vendre! …

Excitée d’entendre son mari lui faire cette proposition, elle gloussa en sentant sa virilité s’épanouir entre ses doigts, elle savait pertinemment ce qu’il entendait obtenir d’elle.

Toutefois elle savait qu’elle ne pouvait pas se comporter avec lui comme une pute expérimentée, possédant une certaine science de la Travesti kadıköy fellation.

Son infâme rival lui avait appris quelques semaines plus tôt à prodiguer une gorge profonde…

– Tu vendrais vraiment si… Si… Si je me livrais à un acte aussi pervers? … Tu… Tu sais que je n’ai ja-mais fait de choses aussi sale! … Lui mentit-elle feignant une extrême nervosité.

Empoignant la bite de son mari, elle comprit qu’elle pourrait sans problème lui prodiguer une fellation jubila-toire, sa bite ne faisait pas la moitié de la longueur et de l’épaisseur de celle de son suborneur.

Se penchant en avant elle tendit la langue et caressa furtivement le gland turgescent de son mari de la pointe, elle entendit Jean grogner son plaisir.

En fait, profondément enfouie dans son esprit, elle avait une terrible envie de comparer le fait d’avoir la bite de son mari en bouche, à son ressenti lorsque Rashid lui avait fait emboucher la sienne.

Se penchant en avant la bouche grande ouverte, elle prit en bouche le champignon palpitant de son mari, tout de go il se mit à grommeler :

– Oh… Ouiiiiiiiiiiiiiiiii… Oh ma chérie… Suce moi… Encore…

Tout en branlant sa bite elle montait et descendait la tête sur sa hampe vibrante, épatée, elle l’entendit grogner :

– Oh chérie… Mon bébé… Je jouiiiiiiiissssssssss…

Sa main s’appesantit sur sa nuque, il ne voulait pas qu’elle cesse ses délicieuses succions, elle avala tout, le foutre qu’il lui injectait en pleine bouche.

Tout au fond de son esprit, elle ne pouvait s’empêcher de comparer la pitoyable performance de son époux avec celle qu’elle avait endurée auparavant.

Sa bite mesurait à peine la moitié de celle de Rashid et la dose de foutre qu’il lui avait propulsé en pleine bouche faisait à peine le tiers de l’éjaculation que son suborneur l’avait forcée à ingurgiter.

– Oh chéri, c’était si bon… Si bon… S’exclama Jean en extirpant sa bite frémissante de la bouche de sa partenaire qui continuait à le sucer avec avidité.

Jetant un oeil sur elle il vit qu’elle le regardait un large sourire aux lèvres.

De toute sa vie il n’avait jamais espéré que sa prude jeune femme lui procura une telle fellation, exactement comme l’aurait fait une pro de la pipe! …

Jean abritait un secret au fin fond de son esprit, un de ses secrets dont jamais sa femme ne devrait entendre parler.

Lors d’un voyage d’affaires au Japon, bien qu’il aima profondément sa ravissante épouse, un de ses clients l’avait entraîné dans un bordel de la banlieue rouge de la ville.

Ayant vu une prostituée qui ressemblait à sa ravissante femme, il lui avait demandé de lui prodiguer cette fella-tion qu’il espérait tant que sa femme lui accorderait un jour.

Au cours de ce déplacement, chaque nuit, il était retour-né dans ce bordel se faisant tailler de nombreuses pipes par déférentes putes. Bien sur, chaque fois il s’imaginait que c’était sa somptueuse jeune femme qui lui accordait ce privilège.

Cette fellation qu’elle lui avait prodiguée était, et loin la meilleur qu’on lui ait accordée, les autres pipes fournies par toutes ces putes lui paraissaient bien pâles en com-paraison.

Une pensée soudaine traversa son esprit :

– Mon Dieu… Carol m’a sucée comme une véritable pro… Aurait-elle déjà sucé d’autres hommes? …

Mais il avait conclu qu’il était fou d’avoir de telles idées. Il n’y avait aucune chance que ce soit possible… C’était

inenvisageable… Elle était si pure, si innocente! … Ja-mais elle n’avait pu le tromper! …

Cela ne changeait rien au fait qu’elle lui avait administré la plus jouissive fellation qu’il ait expérimentée.

Les yeux levés vers son bien-aimé époux, Carol se pourléchait ses lèvres lustrées, elle le questionna :

– As-tu apprécié mon chéri? … Me suis-je… Me suis-je bien débrouillée? … Rappelle-toi ta promesse! … Et je recommencerai chaque fois que tu le désire-ras! …

Léchant le foutre engluant encore ses lèvres elle consta-ta que sa crème n’était ni aussi épaisse, ni aussi salée que celle de son concurrent.

Quelques jours plus tard Carol soupira de soulagement lorsque Jean lui appris qu’il acceptait l’offre de la “com-pagnie de commerce du moyen orient”.

Satisfaite de la fin de cette affaire, Carol voulait recouvrir le plus rapidement les originaux et les copies de l’im-monde vidéo que détenait l’immonde rival de son mari.

Mais le fait d’ignorer si Rashid entendait mettre fin à son chantage la tracassait fortement.

Cependant elle voulait être certaine qu’elle détenait bien les originaux et les copies avant que la vente ne soit effective, bien qu’il resta toujours la possibilité que ce salopard de Rashid garde une copie en sa possession.

Encore qu’elle savait pertinemment que ce serait la seule chance de s’assurer que ni son mari, ni ses parents n’auraient connaissance de ces horribles images obscènes.

– Enfin ce cauchemar se termine! … Concluait-elle pleine d’espoir.

Il fallait que Carol rassure les employés, “La compagnie de commerce du moyen orient” comptait laisser fonc-tionner leur compagnie en parallèle de la leur, de ce fait tous les employés devaient garder leur boulot.

Seuls Jean et elle-même quitteraient le navire une fois la vente finalisée.

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