Un amour d’esclave – Ch 14.1

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Un amour d’esclave – Ch 14.1La soirée – Princesse, première partieBonjour à tous, Les prochaines publications décriront les premiers pas de Caline, David et Amandine dans le milieu libertin BDSM. Chaque “partie” portera sur la rencontre du trio avec une personne particulière, et pour faciliter la lecture, devrait etre divisée en deux parties.Voici donc le programme pour les prochaines semaines :- La soirée – Princesse (1&2)- La soirée – Belle (1&2)- La soirée – Antonin (1&2)Bonne lecture—-« J’étais au service de Maitre depuis quelques mois, et je ne me reconnaissais plus… on ne me reconnaissait plus. Ayant pris confiance en moi à Ses côtés, je devenais…sociale… un mot qui me faisait peur quelques mois auparavant. Je sortais régulièrement avec mes amis, je rencontrais de nouvelles personnes, puis de rencontre en rencontres, c’est tout un nouveau cercle de connaissances que j’ai intégré. Et pour la première fois, quand mes amis me présentaient à leurs amis, ils me décrivaient comme une personne très agréable, ouverte à la discussion, plus la fille timide et coincée…Pour moi, la vie en solitaire était finie. J’avais déménagé de mon appartement, et je vivais désormais en permanence chez Maitre, et mademoiselle Amandine y passait elle aussi le plus clair de son temps. Quand je n’étais pas dehors avec mes amis, j’étais avec eux. Le weekend, nous sortions tous les trois, et je me sentais comme dans une petite famille. Je ne m’étais pas sentie aussi bien depuis très longtemps.Et puis bien sûr, il y avait les garçons. Au fond de moi, j’étais toujours très timide, mais je savais que plaisais. Et je voyais que je plaisais. Plusieurs fois pendant des soirées, j’avais embrassé un garçon, mais sans jamais aller plus loin, et je lui faisais comprendre que j’avais déjà quelqu’un. De ça, mes plus vieux amis s’en doutaient bien : ils mettaient mon évolution sur le compte de mon « petit copain ». Ils n’avaient pas entièrement tort, mais je préférais qu’ils ne connaissent pas l’entière vérité, alors je ne répondais pas, et ils prenaient mon silence pour une approbation.Il n’y avait pas que moi qui retrouvais une vie sociale. Maitre reprenait contact avec d’anciens amis à Lui qu’Il avait connu dans le milieu du BDSM, mais qu’Il avait perdu de vue depuis que j’étais entrée à Son service : Il se dévouait entièrement à moi, et ne souhaitait pas me faire plonger d’un seul coup dans ce vaste domaine. Puis en voyant que je m’ouvrais à de nouvelles expériences, Il m’a proposé de rencontrer des gens qui partageaient les mêmes passions que Lui ou moi.Ce fut…un choc pour ainsi dire. Oh bien sur je me doutais bien que je n’étais pas la seule personne au monde à avoir un Maitre, à vivre nue chez Lui et à Le servir amoureusement, mais jamais je n’aurais pensé…rencontrer ces personnes. Partager avec elles. Savoir pourquoi elles avaient choisi de vivre cette vie, ce qu’elle leur apportait… C’était des questions que je n’avais jamais jugé utile de me poser, jusqu’à ce que Maitre m’explique que la situation dans laquelle nous vivions était assez unique. Peu de Maitre avaient en permanence une esclave à la maison, pour la plupart ils se retrouvaient pour des séances d’un soir, un peu comme ce que nous avions vécu à nos débuts.Alors la curiosité a pris le dessus sur mes réticences, et quand Maitre m’a reproposé d’aller à une soirée, j’ai accepté. »La soirée en question était organisée chez un ami de longue date, qui était en quelques sortes mon mentor dans le domaine. Descendant d’une très ancienne famille dont il avait gardé le titre de Comte, il vivait dans un domaine du sud de la France, dont la production de vin lui assurait une source de revenus suffisante pour pouvoir se concentrer sur ses passions, et un peu moins sur son travail.Au fil des années, il avait noué des relations avec de nombreuses autres personnes du milieu, qui se retrouvaient régulièrement chez lui à l’occasion de grandes soirées placées sous le signe du plaisir. Passé un temps, j’y participais souvent, puis le cours de la vie m’en avait progressivement écarté. En prenant Câline à mon service et en la dressant, j’avais délibérément coupé les ponts avec ces personnes, non sans leur avoir fait comprendre –et approuver si possible, les raisons de mon choix : je voulais me consacrer pleinement à elle. Le temps était venu de leur présenter ma petite esclave, j’étais sûr qu’ils l’apprécieraient. Et j’espérais qu’elle les apprécierait.Nous avions tous les trois bloqué notre weekend pour pouvoir participer à ce grand évènement. Nous avions prévu de partir le samedi dans la matinée, et d’arriver dans l’après-midi, en prenant notre temps sur la route pour…nous amuser, dirons-nous. Câline ne savait absolument pas à quoi s’attendre une fois la bas, et j’avoue que moi non plus… La dernière soirée de ce type à laquelle j’avais participé avait rassemblé une quarantaine de personnes, avec une petite vingtaine d’esclaves. Ce format un peu réduit serait sans doute mieux pour Câline, pour qu’elle ne se sente pas trop perdue dès le début.Nous nous sommes arrêtés à plusieurs reprises en chemin pour jouer avec Câline. La route était quasiment déserte, nous en avons profité pour prendre quelques photos de ma petite esclave exposée à tous les regards dans la voiture, sur le bas-côté de la route, … Puis le temps passant, nous nous sommes remis en chemin, et nous sommes arrivés chez le Comte à l’heure prévue.Première surprise pour moi, le parking de son domaine était quasiment plein. Il devait y avoir istanbul escort une bonne cinquantaine de voitures. Câline les regardait, les yeux écarquillés, un peu effrayée à l’idée de rencontrer autant de monde. Dans le rétroviseur, j’ai vu qu’elle me regardait : je m’attendais à ce qu’elle me demande de faire demi-tour –je l’aurais fait, mais j’ai été agréablement surpris en la voyant commencer à se déshabiller.« – Non non Câline, garde tes vêtements – Pardon ?- Garde tes vêtements. Tu es ici en tant qu’invitée : je veux être sûr que la soirée te plaise avant de te faire reprendre ton rôle d’esclave.- Ah, d’accord. Merci !!!- Mais de rien. Venez ! »« Maitre est sorti de la voiture, puis en vrai gentleman Il a ouvert la porte pour mademoiselle Amandine, puis la mienne. Nous prenant chacune par un bras, Il nous a menées vers l’impressionnante entrée du domaine. Nous étions seuls sur le perron devant la porte quand Il a frappé trois petits coups secs. Plus loin sur le parking, je voyais descendre un couple d’une voiture qui était arrivée un petit peu après nous. J’ai cru distinguer une troisième personne descendre de l’arrière de la voiture, elle devait être à quatre pattes, une autre esclave probablement.La porte s’est entrouverte, ramenant mon regard vers cette mystérieuse soirée, et un homme en costume noir nous à introduits dans le hall. Il nous a souhaité la bienvenue, se présentant comme étant l’un des domestiques du Comte. Son élégance, ses manières, son accueil… il avait effectivement tout du domestique, seul l’étrange loup en velours noir qui lui cachait le visage venait perturber cette image.- Monsieur le Comte va être ravi de voir que vous avez pu faire le déplacement, Monsieur. Suivez-moi je vous prie.Il a ouvert une porte qui donnait sur un grand salon, un autre domestique prenant sa place à l’accueil. En pénétrant dans la pièce, j’ai eu un choc : il devait y avoir plus de quarante personnes réunies dans cet endroit, discutant en petits groupes, debout, assis autour de tables ou sur des fauteuils. Ils étaient tous très bien habillés, semblant participer à un gala ou un diner mondain, sirotant une coupe de champagne et grignotant des petits fours. J’étais très intimidée de me retrouver ici.Intimidée, je l’ai été encore plus en remarquant qu’une de ces personnes était nue au milieu de toutes les autres. Tout comme notre guide, elle portait un masque, mais beaucoup plus sophistiqué que le simple loup du domestique : un masque vénitien, orné de plumes, d’arabesques dorées et de peinture soignée. L’esclave portait un plateau en argent et circulait entre les groupes, proposant champagne aux participants, les délestant de leurs coupes vides. Son corps nu attirait les caresses des hommes et des femmes qu’elle frôlait, leurs mains s’aventurant sur ses fesses, son ventre ou ses seins. Mais étrangement, aucun ne lui demandait des faveurs…Je réalisais que ce n’était pas…son rôle, en découvrant que ce n’était pas la seule personne nue dans la pièce : après l’avoir remarquée la première, j’en vis une seconde, puis une autre, et encore une autre… Au final, il devait y avoir une petite dizaine d’esclaves dans la pièce, certaines offrant aux invités boisson et nourriture, d’autres leur offrant leur corps. Une était couchée sur une table, en train de se faire dévorer le sexe par une invitée qu’un homme, son mari peut être, prenait en même temps, une autre suçait un homme debout pendant qu’il discutait avec ses voisins comme si de rien n’était. Une dernière s’est avancée vers nous, nous souriant, passant sa langue sur ses lèvres.C’est à ce moment que je remarquais ce qui distinguait les esclaves les unes des autres : leur masque. Les servantes avaient un masque qui recouvrait l’intégralité de leur visage, tandis que les autres avaient la bouche libre pour pouvoir donner du plaisir aux invités. A peine venais-je de comprendre ceci, que l’imposante pendule de la pièce sonnait l’heure pleine. Comme un signal, toutes les esclaves, servantes et soumises, se sont réunies dans un coin de la pièce, loin des regards, puis se sont échangées leurs masques, avant de revenir au milieu des convives. Les anciennes servantes allèrent donner du plaisir aux invités, les anciennes soumises prendre un peu de repos en passant au service.Une esclave se dirigeait toujours vers nous. C’était le même masque, je reconnaissais les paupières peintes en or, mais était-ce la même personne derrière ? L’esclave avait la peau bronzée, des petits seins, un pubis touffu… mais je ne me souvenais pas du corps de la précédente.”« – Bonjour maitre, – Bonjour Katie »Katie était l’esclave d’une vielle connaissance que j’espérais bien retrouver ce soir. C’était une superbe asiatique, aux longues jambes et au corps caractéristique : j’aurais pu la reconnaitre entre mille.« – Je vais dire à Antonin que tu es là… quand j’aurai fini mon…service…- coquine- Pour une fois qu’il me laisse le droit de participer, je ne vais pas m’en priver. L’un de vous veut il en profiter ?- C’est gentil Katie, mais nous venons d’arriver, nous allons voir le Comte. Vu le nombre de personnes qui te regardent, je ne doute pas que tu trouveras un candidat.- A tout à l’heure, alors…- A tout à l’heure »Nous quittions le salon à la suite du domestique, Câline profitant de quelques dernières images de la scène en regardant par-dessus son épaule. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant le même spectacle dans la pièce suivante, avcılar escort et toutes celles qui nous menèrent au Comte. Nous nous arrêtions dans chacune des pièces pour lui laisser profiter de quelques instants pour regarder ce qu’il s’y passait. Elle semblait très impressionnée de découvrir autant de personnes, toutes réunies autour de leurs fantasmes et venus pour les partager.Plus nous avancions d’une pièce à l’autre, plus Câline avait l’air excitée par les scènes qu’elle découvrait. D’abord un peu craintive, elle me serrait le bras pour se rassurer, puis peu à peu elle l’a relâché, se mettant à me caresser sans faire exprès, cherchant à m’exciter moi aussi. Une servante est sortie de la foule et venue vers nous, un plateau à la main, nous offrant à boire une coupe de champagne. Câline ne l’a pas quittée des yeux pendant qu’elle nous tendait les boissons. Elle a parcouru son corps des yeux de haut en bas, admirant la nudité de l’esclave qui semblait n’éprouver aucune gêne à être ainsi exposée. Câline par contre était écarlate, et d’autant plus quand l’esclave a remarqué que ma petite chienne l’observait.Elle a posé sa main sur la poitrine de Câline qui a sursauté, faisant courir ses doigts jusqu’à son cou pour finir en jouant avec son collier. La bouche cachée derrière son masque, elle lui a parlé d’une voix méconnaissable et incroyablement mystérieuse« – C’est ta première fois parmi nous ?- Ou…oui…- J’espère que ton expérience va te plaire- elle…me plait déjà… »Câline a tremblé de tout son corps quand l’esclave a posé les lèvres cartonnées de son masque sur sa joue et l’a embrassée dans un souffle. Puis respectueusement, elle a fait une petite révérence devant Amandine et moi« – Je m’appelle Belle, monsieur, je suis servante au domaine. Il est coutume que chaque nouvelle esclave soit accompagnée par l’une de nous pour ses premiers pas dans la soirée. Oserais-je vous demander de suggérer mon nom à mon maitre lorsqu’il vous en parlera ? »J’allais répondre par l’affirmative mais Câline m’a pris de vitesse et a répondu oui à Belle à ma place. Je lui ai mis une petite tape sur les fesses pour la rappeler à l’ordre, devinant un sourire sous le masque de la servante.« – Je lui en parlerai, Belle… »« « Belle » est repartie, disparaissant dans la foule aussi subitement qu’elle était apparue devant nous. Je n’arrivais pas à réaliser si je venais de vivre un rêve éveillé, ou si c’était la réalité. Le sourire de Maitre me faisait pencher pour la seconde option, et un peu gênée je lui ai répondu par un sourire moi aussi. En quittant la pièce, j’ai cherché Belle des yeux une dernière fois, mais impossible de la retrouver, comme si elle avait disparu par enchantement.Le domestique nous a finalement invités à entrer dans une ultime pièce où l’ambiance était un peu différente. Trônant de l’autre côté de la pièce, un homme s’est levé en nous voyant arriver, ouvrant les bras pour nous accueillir. Autour de lui, hommes en costumes et femmes en robes, soumises en laisse et servantes aux petits soins de tout ce beau monde donnaient à cette pièce un air de cour des plaisirs. L’homme, le Comte très probablement, a continué son chemin vers nous, puis il a enlacé amicalement Maitre en le saluant« – David, cela fait si longtemps…- Bonjour Monsieur le Comte- Allons, tu sais très bien que pour toi Edouard suffit…- C’est vrai. Laissez-moi vous présenter ma charmante escorte : Amandine, ma douce compagne- Madame.- Enchantée Monsieur le Comte »Le Comte s’est incliné devant mademoiselle Amandine et lui a fait un chaste baisemain.« – Et donc voici la fameuse Câline.- Exactement, mon adorable petite esclave- Bonjour Câline… Si vous êtes à la hauteur des éloges que votre maitre fait de vous, j’aurais plaisir à vous voir à chacune de ces soirées. »Son ton, son vouvoiement ou son baisemain, je ne sais pas ce qui m’a le plus surprise. Toujours est-il qu’il m’a prise par la main et m’a entrainée vers ses autres invités, refaisant les présentations, pendant que Maitre et mademoiselle Amandine nous suivaient derrière. »J’ai parlé quelques minutes avec le Comte, lui racontant comment j’avais rencontré Câline, puis comment progressivement elle s’était donnée à moi, jusqu’à me demander de porter un collier. Il m’écoutait attentivement, regardant parfois Câline, souriant en la voyant rougir quand je racontais quelques détails qu’elle trouvait un peu trop intime.Puis lui à son tour nous a parlé des soirées qu’il avait données après mon départ, m’expliquant que mes anciens amis désespéraient de me revoir un jour.« – Il faut absolument que tu ailles voir Antonin ce soir, il me demande de tes nouvelles chaque fois que je le vois. Et il a des personnes à te présenter…- Oui, j’ai vu Katie tout à l’heure, je lui ai demandé de le prévenir de ma visite. Princesse est là ?- Evidemment… Et elle t’attend impatiemment, depuis qu’elle a appris que tu étais invité, elle ne tient plus en place. Ce pauvre Rémi ne sait plus comment la calmer ! »Nous avons continué de discuter un moment, puis je lui ai demandé l’autorisation de prendre congé pour aller retrouver toutes ces personnes. Il nous a cordialement salués, m’indiquant où trouver Princesse, puis retournant à sa cour qui nous regardait d’un œil presque jaloux. Notre guide étant reparti dans le hall, nous nous sommes dirigés seuls vers le petit Salon « Nous sommes entrés tous les trois dans le salon que nous avait indiqué Monsieur le Comte, pour trouver cette « Princesse ». Comme şirinevler escort le reste du château, la pièce était décorée à la mode baroque, avec des belles tapisseries boiseries et colonnes aux murs.Confortablement assis dans un fauteuil dans un coin de la pièce, un homme un peu plus jeune que Maitre recevait une lente fellation d’une femme agenouillée entre ses jambes. Sans pouvoir voir son visage, je devinais qu’elle était plus âgée que son amant : ses cheveux blonds étaient parsemés de mèches blanchissantes, et son corps complètement nu laissait voir d’autres signes, une peau un peu ridée, des discrètes traces de cellulite au niveau des fesses…Contrairement à l’homme qui nous a fait un signe de la main en nous voyant arriver, elle semblait trop absorbée pour nous avoir remarqués.- Princesse ?« Princesse », s’est retournée d’un seul coup, et abandonnant sa fellation, elle s’est levée et a couru vers nous- David !!!Puis sans porter la moindre attention a mademoiselle Amandine ou moi, elle a sauté au cou de Maitre et l’a passionnément embrassé sous nos yeux ébahis. D’abord surpris lui aussi, Maitre a rendu son baiser à « Princesse », avant de se dégager pour lui montrer que nous étions là.- Amandine, Câline… je vous présente Princesse. Elle a été ma soumise il y a…longtemps. Princesse, voici Amandine, ma compagne et Câline, ma petite esclave adorée…- Bonsoir !!! Désolée d’avoir embrassé David comme cela, j’espère que je ne vous ai pas choquées…je suis juste…tellement heureuse de le revoir !Nous lui avons fait signe que tout allait bien, puis nous nous sommes joints à eux, l’homme s’étant rhabillés entretemps. J’ai eu le loisir d’observer Princesse plus en détails, découvrant son visage radieux de retrouver son ancien Maitre. Elle semblait avoir une bonne cinquantaine d’années, peut être soixante ans tout au plus. En fait, son corps paraissait plus jeune que son visage : elle avait une poitrine assez opulente, mais contrairement aux femmes de son âge, elle était encore bien ferme et ne lui tombait pas sur le ventre… Et elle avait l’air très en forme aussi… Elle avait le corps que toutes les femmes de cet âge rêvent d’avoir.Je la trouvais très belle.Princesse était donc une esclave, mais une esclave bien surprenante… Je ne voyais pas de collier autour de son cou, et cet homme qui semblait être son maitre…elle l’avait littéralement laissé en plein milieu de sa fellation pour aller sauter sur Maitre en le voyant arriver… Et puis –comble de l’insulte…elle ne l’appelait pas Maitre, elle osait même l’appeler par son prénom, c’est dire ! »Passée la surprise de nos retrouvailles choc avec Princesse, Amandine et Câline se sont montrées très ouvertes à la discussion avec mon ancienne esclave. Je ne leur avais jamais parlé d’elle, pas plus que de mes autres esclaves… Je considérais qu’il fallait repartir à zéro d’une esclave sur l’autre, ne pas courir le risque d’être influencé par ce que l’une faisait, qui pourrait ne pas convenir à l’autre. Mais Princesse et moi avions gardé une relation très particulière à travers les années : nous échangions encore régulièrement, et même si ne nous étions pas vus depuis des années, j’avais l’impression de toujours aussi bien la connaitre.J’ai refait les présentations à Rémi –son mari et maitre, puis nous nous sommes installés avec eux dans les fauteuils. Pas encore très rassurée, Câline avait encore tous ses vêtements, et s’est assise dans un fauteuil avec nous… Elle regardait Princesse qui est venue s’agenouiller entre mes jambes, reposant sa tête contre ma cuisse, la même position que ma petite esclave prenait d’habitude.Elle nous a parlé de sa vie, de ses dernières expériences, et je devinais progressivement une méfiance chez Câline, d’autant que Princesse avait commencé à me caresser amoureusement la main. Amandine, elle, était particulièrement intriguée par la situation, se demandant où tout cela allait nous mener.Une servante masquée est entrée dans le salon, probablement envoyée par le Comte. Pendant qu’elle nous servait des coupes de champagne, Câline ne détachait pas son corps nu des yeux, admirant le spectacle que cette esclave offrait à tous les invités sans ressentir la moindre gêne.« L’esclave m’a tendu une coupe, et je lui ai bredouillé quelques remerciements… C’était la première fois qu’une autre esclave me servait. Elle a remarqué mon collier autour du cou et m’a fait un petit signe de tête, avant de se retourner vers Maitre- Monsieur le Comte vous fait savoir que si vous avez besoin de quoi que ce soit pendant votre soirée, il peut me mettre à votre disposition- remercie le bien. Nous te ferons appeler si nous avons besoin de toi.- Très bien Monsieur. Passez une bonne soirée.Maitre a congédié à mon plus grand regret cette belle esclave qui s’offrait toute entière à nous. Il était surement trop obnubilé par ses retrouvailles avec Princesse. Moi j’étais partagée entre un sentiment de jalousie terrible, et une grande admiration. Jamais je n’aurais pensé que Maitre puisse laisser une autre esclave que moi lui montrer autant d’adoration et de dévotion. Mais d’un autre côté, j’étais impressionnée de ne pas être la seule personne qui ressente cela pour Lui. Je ne savais pas quelle avait été sa relation avec Princesse, mais elle leur avait clairement laissé de bons souvenirs.Princesse s’est levée et est allée voir son maitre pour lui demander quelque chose à l’oreille. Il a approuvé, et elle a farfouillé dans leurs affaires posées derrière le fauteuil où il était assis, avant de revenir s’agenouiller face à Maitre, et de lui tendre dans ses mains en offrande une intimidante cravache- Je me souviens de tes mains claquant mes fesses, tu me faisais jouir à chaque fois… Et quand tu utilisais une cravache !!! Tu te rappelles ?- oui…- tu veux bien recommencer ?”—-A bientot pour la suite !

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