Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 03-03

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Cette histoire est complètement imaginaire, de l’ordre du fantasme. Les personnages sont fictifs et majeurs. Les violences faites aux femmes sont condamnées par l’auteur. Si vous n’aimez pas les situations de contrainte, d’humiliation, voire de viol, ne lisez pas.

Ce texte est le 3ième de la série « Soumise à mon beau-fils ».

Jour 12 – MARDI — Récupérer la jupe

Ce matin-là, au moment de partir au lycée, Théo m’interrogea.

– Alors ‘çoise, tu ne devais pas te présenter hier? Que se passe-t-il? Tu refuses de m’obéir?

– Non, je ne… refuse pas. C’est-à-dire, je n’ai pas encore la jupe. Je dois la récupérer aujourd’hui.

– Quand tu veux, belle-doche mais n’oublie pas : à chaque jour de retard, c’est 5cm en moins à ta jupe et une taille en moins à ton chemisier! Il ne va peut-être pas apprécier le pater!

– Oh Théo, pas ça devant ton père! Ne lui fais pas ça!

Il ne répondit pas, me planta là, sourire narquois aux lèvres, assommée par la menace de devoir me présenter à mon mari dans sa tenue horrible.

Mes pensées critiquèrent ma vie actuelle. A cause de ce maudit Théo, tous mes avantages risquaient de disparaître : l’argent, la belle maison, le bien-être. A l’extérieur, hors cet environnement censé me protéger, le monde me paraissait encore plus menaçant : pas de famille, pas de travail, où pourrais-je me réfugier?

Je devais aller en ville au sex-shop récupérer la jupe commandée l’avant-veille. Je me couvris de sous-vêtements noirs assortis de bas autofixants, d’une robe longue aux genoux, de souliers, de mon imperméable.

J’arrivai à 11h au sex-shop. Le vendeur était seul mais ce n’était pas le même que mercredi, il était plus vieux.

– Bonjour. Je viens chercher une jupe que j’ai commandée. Votre collègue m’a dit de passer aujourd’hui. Vous l’avez reçue?

– Ben… sais pas, répondit-il, il ne m’a rien dit.

– Vous pouvez le joindre, lui demander?

– A cette heure-ci! Vous n’êtes pas bien vous, il dort encore, il a fermé tard hier. Il va me démonter la gueule si je le réveille.

– Mais je m’en moque, m’exclamai-je énervée et furieuse, réveillez-le, il m’avait dit que la jupe serait disponible ce matin. Débrouillez-vous!

Ma colère ne régla rien, bien au contraire. Il m’envoya balader sans ménagement.

– Si vous n’êtes pas contente, allez voir ailleurs. Rien à foutre de votre jupe de merde. Cassez-vous!

– Pardon, pardon monsieur, excusez-moi. Je… c’est-à-dire… j’en ai besoin, vous comprenez. S’il vous plaît, aidez-moi.

Il se calma, me regarda de haut en bas.

– D’accord, je l’appelle mais si vous vous mettez à poil… tout de suite.

Je restai clouée de surprise, le fixai droit dans les yeux où je ne décelai aucune pitié.

– Alors, dit-il, c’est oui ou merde?

Je n’avais guère le choix. Ce mardi, j’avais déjà un jour de retard, à condition que je parvinsse à me présenter à midi. Ma jupe n’aurait guère plus que 30cm et mon chemisier taille 40.

– C’est d’accord mais fermez la porte à clé.

– Vous êtes vraiment conne vous! Allez, à poil.

J’enlevai mon imper et ma robe puis attendis, mon bras chargé des deux vêtements. Il m’ordonna de les poser sur le comptoir et de retirer mes sous-vêtements. J’obéis, rouge écarlate, terriblement inquiète d’une entrée dans le magasin. Seulement alors, il téléphona à son collègue.

– Salut mec. J’ai une bourge devant moi qui prétend que tu lui as commandé une jupe. T’es au courant?… Ouais… Ah…. Merde… Ouais… Pas mal… Bonne idée… Si tu veux… Amusant… Bon d’accord.

Il raccrocha.

– Alors demandai-je?

– Ben, il ne l’a pas reçue. Il l’aura samedi probablement, ça dépend du fournisseur.

Furieuse, je m’étais déjà recouverte de ma robe. La rage m’empêchait de parler. Je me retenais de l’insulter, le frapper. Je comptai les jours : mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi! 25cm en moins à ma jupe! Autant dire que je serai entièrement à poil.

– Mais si c’est vraiment urgent, poursuivit l’homme, il peut se faire livrer demain après-midi… à une condition.

– Quoi? Comment ça une condition? Quelle condition?

– Mon pote m’a dit que le livreur viendra exceptionnellement demain pour vous apporter la jupe mais vous devrez l’essayer avec lui.

– Comment? L’essayer avec lui? Qu’est-ce que vous voulez dire?

– Ben… rien de spécial, venez sans jupe et vous repartirez avec la nouvelle. Vous comprenez?

– Sans jupe! Ici! C’est immonde, hurlai-je! Vous êtes immondes, vous et les vôtres. Jamais, vous m’entendez, jamais je ne ferai ça.

– Comme vous voulez, dit-il, moi je m’en fous. Je dirai à mon pote que vous n’êtes pas d’accord. Foutez le camp maintenant, j’ai du rangement à faire.

Une fois, à l’abri dans la rue, je tentai de me calmer. Je marchai de long en large. Impossible dilemme : soit je me montrais nue dans ce magasin le lendemain, soit je me présentais chez moi dans une tenue plus salace que la nudité et risquais de me voir virée définitivement de la maison. Je ne pus retenir quelques emek escort larmes.

– Encore vous, dit-il en me voyant entrer, vous avez changé d’avis?

– Oui j’ai changé d’avis. C’est d’accord, je viendrai demain à 15h comme… comme vous le voulez. Mais vous me garantissez que vous aurez la jupe à 15h!

– Ok, pas de problème, 15h. Mais vous, vous me garantissez que vous montrerez vos trous au fournisseur, répondit-il, devant et derrière. Faudrait pas qu’il vienne pour rien!

JOUR 15 — MERCREDI — Récupérer la jupe au sex-shop

Je n’en menais pas large ce mercredi en début d’après-midi. Je ne trouvai pas de place de parking tout près de l’établissement mais à une centaine de mètres. Le cœur battant, je mis pied à terre et marchait cinq minutes pour arriver devant la porte vitrée occultée par un rideau rouge aux motifs vulgaires. Il était 15h. La rue se réveillait de la sieste. Au loin, un couple s’approchait suivi d’un homme seul. J’entrai.

Le vendeur de la veille qui m’avait déjà vue nue était seul dans le magasin. Cela me rassura quelque peu même si l’absence du fournisseur de la jupe était ennuyante.

– Bonjour, dis-je, vous… vous avez la jupe?

– Pas encore ma belle, répondit-il le type en souriant. Elle va arriver. Fous-toi à poil tout de suite!

– Pas question. Je le ferai quand votre revendeur sera présent et devant lui seulement.

– Conasse, dit-il méchamment, soit tu te fous à poil sur le champ, soit tu te casses. C’est à prendre ou à laisser. Grouille! Pas de temps à perdre.

Je ne pouvais pas m’opposer au risque de n’avoir jamais la maudite jupe. Alors j’ôtai mon imper pour me montrer, couverte d’un court pull bleu ciel, nue au niveau du pubis, bas couleur chair autofixants et souliers noirs. Je n’eus pas le temps de rougir aux regards du type car il m’attrapa au cou et me pencha en avant sur une table couverte d’objets érotiques. Je me retrouvai les deux bras bien tendus au-dessus de ma tête, le menton sur une pochette en plastique, le nez devant un godemiché de taille imposante.

– Tu ne bouges pas de là. Ecarte tes pieds. Il faut que Momo voit bien tes deux trous.

Une claque sur mes fesses confirma l’ordre et j’attendis. Il sifflotait. Par moments, je sentais son souffle sur ma chatte complètement exposée. L’attente était horrible. Je n’osai pourtant pas bouger. Mon cœur battait la chamade à la crainte d’une personne qui entrerait dans le sex-shop. Ce qui ne manqua pas d’arriver.

– Bonjour Msieur, entendis-je dire le vendeur, devinant que ce n’était pas ledit Momo qui venait d’entrer.

– Oh putain, belle pièce à l’étalage, répondit une voix. On peut toucher?

– Ben ouais bien sûr. 10 euros par trou et par doigt. 50 euros par trou pour la bite.

J’allai me redresser, sidérée et furieuse d’être marchandée mais une main brutale me bloqua le cou sur la table et une autre m’enfonça dans la bouche le godemiché qui se trouvait devant mon nez.

– Ben j’ai pas assez de ronds, dit l’inconnu, j’ai 35 euros…. Alors ça fait trois doigts… 30 euros… Et pour 5 euros, qu’est-ce que je peux avoir?

– Promotion cette semaine! Un doigt offert pour 5 euros supplémentaires. Allez-y Msieur, je la tiens.

La première intromission arriva directement dans mon anus en une seule pression. Je poussai un cri étouffé par le bâillon.

– Elle est serrée la garce… pas habituée… vais lui en mettre un second…

Il retira celui qu’il avait introduit, écarta mes fesses avec une main, posa deux doigts au bord et commença à les faire entrer en élargissant le trou. J’eus un peu moins mal car il allait plus doucement. Puis il s’amusa à les pousser et retirer légèrement. La panique me gagna quand il annonça, je cite : « j’ai un peu élargi son trou du cul, elle va prendre plus maintenant… Vais lui foutre mes quatre doigts ». Il s’y appliqua avec la même méthode qu’auparavant. En revanche, cette fois, il me fit horriblement mal. Il devait tourner et enfoncer ses quatre doigts joints pour parvenir à les faire entrer.

– Elle m’fait bander la salope… elle résiste… faut que j’ouvre mon froc… peux pas l’enculer dommage…

J’entendis sonner la clochette du magasin. Quelqu’un venait d’entrer. J’essayais de me défaire de l’emprise mais le vendeur me tenait toujours le cou contre la table. Je ne pouvais pas parler à cause du gode entre mes dents que je mordais comme une affamée en raison de la douleur anale. Finalement, il cria victoire :

– Oh je gerbe… c’est bon ça… Elle a le cul bien ouvert…

Il se retira et je sentis un courant d’air sur mes fesses, un courant d’air dans mon anus. Je le resserrai. Hélas ce ne fut que momentané car j’entendis :

– Vas-y Momo, à ton tour, défonce-là pour qu’elle ait sa jupe de pute!

Cette fois, c’est une queue qui me pénétra, avec moins de mal car mon fondement venait d’être élargi mais avec ce qui me sembla être d’une longueur démesurée. Il s’activa un bon moment, de plus en plus violemment, avant de se contracter et éjecter eryaman escort le foutre à l’intérieur.

C’est seulement alors que je pus me relever.

– Tiens, voici ta jupe. Tu reviens quand tu veux mais… seulement si tu es à poil, complètement à poil sous ton imper, annonça le vendeur qui se masturbait tranquillement.

Je m’en couvris et quittait ce maudit lieu non sans douleurs au trou du cul.

JOUR JEUDI — Présentation en tenue

Au moment de partir pour ses cours du matin, Théo m’interrogea :

– Alors, ‘çoise, t’en es où de ta tenue de bonne mère de famille? Tous les jours j’attends, moi! T’as trouvé une nouvelle jupe?… Ouais!… Très bien. Ton chemisier, quelle taille?

– 34, répondis-je en baissant la tête.

– Oh putain, s’exclama-t-il, et ta jupe?

– 20… 20cm.

– Je veux te voir en tenue à 12h pile. J’en bande déjà! Prépare un concombre que je pourrai te carrer dans le cul.

Il partit avec un éclat de rire.

Peu avant qu’il ne rentre du lycée, je me suis habillée. J’ai sorti le chemisier blanc de taille 34 que j’avais acheté la veille. Du 40 habituel, je passais à trois tailles en dessous. Une fois nue, j’ai tenté de passer mes bras dans les manches. Impossible. J’ai dû couper chaque manche sur sa longueur y passer mes bras pourtant pas gros. Quand ce fut fait, je n’ai pas pu fermer les pans. Mes seins restaient complètement présentés et d’autant plus que mes épaules étaient tirées en arrière par le chemisier trop petit.

Ensuite, j’ai raccourci la jupe pour ne lui laisser d’une hauteur de 20cm. Elle n’était guère plus longue qu’un torchon à vaisselle plié en deux. Une fois enfilée, elle ne couvrait que la moitié de ma chatte et un peu moins pour mes fesses. Complétée des hautes chaussettes blanches et des souliers noirs, j’étais d’une parfaite et complète indécence.

Quand j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir, je me suis mise devant la baie vitrée du séjour, tournée vers le jardin. Même si Théo m’avait déjà vue nue, j’avais le cœur qui battait la chamade mais qui faillit s’arrêter quand j’ai entendu deux voix parler :

– Regarde cette pute… regarde-là!

– C’est incroyable!

Je me suis retournée et ai découvert mon beau-père à côté de Théo. L’homme déjà rougeoyant de nature était passé au rouge écarlate. Fureur ou excitation, je ne saurai jamais. Il arrondissait sa bouche et ses yeux devant le spectacle sans parvenir à articuler un mot. Le jeune garçon le sortit de sa stupéfaction.

– Tu vois, grand-père, tu vois bien que c’est une salope!

– Merde alors, s’exclama l’homme de 65 ans… ben merde! Si je m’attendais à ça. Vous ma bru… dans cette tenue… devant mon petit-fils… quelle honte!

Je poussai un hurlement d’horreur et courus dans ma chambre m’enfermer.

Je restais effondrée allongée sur mon lit, en larmes de rage et de honte. Le petit vieux, qui déjà ne m’aimait pas trop, venait de me voir dans une incroyable condition. S’il en parlait à mon mari, j’étais bonne pour la rue.

Environ une heure plus tard, j’entendis claquer la porte de la maison. Depuis la fenêtre, je vis Théo traverser la rue et partir en chevauchant son vélo. Est-ce que mon beau-père était encore présent? La réponse ne se fit pas attendre :

– Françoise, descendez immédiatement, lança-t-il d’une voix tonitruante!

Couverte d’un peignoir, car je n’avais pas osé me changer faute d’ordres de Théo, je découvris un papier scotché à la rampe de l’escalier.

Si Grand-père apprend que tu montres tes poils à mes ordres,

Tu peux être certaine que ton trou du cul va plaire à tous les clodos.

Alors ferme ta gueule sur nos affaires et démerde-toi pour les explications.

Il était debout, bras croisés au milieu du séjour, toujours aussi rouge, aussi furieux. Les yeux bas, je remarquais une bosse à son pantalon. Je tentai de m’expliquer.

– Je suis désolée, Henri, vraiment désolée… Je… je voulais faire plaisir à votre fils, vous comprenez. Pas Théo bien sûr… Je…

– Taisez-vous donc Françoise! Si vous croyez que ce genre de tenue va plaire à mon fils, vous êtes encore plus bête que je ne le pensais. Cochonne! Chaudasse! Putain! Je ne sais pas ce qui me retient… vous… je… et puis merde. Foutez-vous à poil tout de suite, vite!

Effrayée, je laissai tomber le peignoir, chemisier, jupette.

– Ca suffit, cria-t-il, alors qu’il me restait chaussettes montantes blanches et souliers noirs. Penchez-vous en avant sur la table… Collez bien vos miches sur le bois… Ecartez les pieds… Mieux que ça…

Quelques instants de silence me laissèrent entendre son souffle rapide et Bruyant. Soudain, un léger bruissement précéda une fulgurante douleur sur mes fesses. Je restai quelques instants, bouche grande ouverte quand une seconde frappe vint enflammer mon postérieur. Je ne pus retenir un cri. La troisième arriva aussitôt, plus forte. Puis la quatrième. Puis les esat escort suivantes. Il frappait à espaces irréguliers de sorte que seul le feulement de l’air m’avertissait trop tardivement du tourment. Il frappait fort comme s’il voulait évacuer toute sa haine à mon endroit. Il m’insultait abondamment.

La douleur devint vite insupportable et m’obligea à implorer la pitié. Quand elle cessa, je sentis quelque chose au bord de mon anus. Ce quelque chose le força et vint remplacer la douleur des coups par une sensation horrible d’écartèlement.

– C’est tout ce que tu mérites, salope, te faire enculer!

JOUR 13 VENDREDI — Le voisin se manifeste

Tous les vendredis, j’allais chez mon coiffeur. Je me devais d’être parfaitement soignée tant je servais d’objet de luxe à mon mari. Il n’aurait pas apprécié que je fusse négligée.

Comme de coutume, à 8h30 j’allai au garage prendre ma mini. Jolie voiture cadeau de mon mari, pas tant pour me faire plaisir que pour me montrer sous une image de richesse. Mais une fois assise, je découvris un petit papier, invisible de l’extérieur, posé sur le tableau de bord.

Changement de programme.

Ce matin tu prends le bus de 9h

Debout dans l’allée à côté du siège 32

Bas, porte-jarretelles, robe, veste, culotte et soutien-lolos

Si tu n’obéis pas, ton cul à la fenêtre montré à tout le quartier

Tel fut l’ordre que je découvris avec en prime une photo prise la semaine dernière lorsque j’avais nettoyé les vitres. Mon mari et son fils était déjà partis, le premier à son travail, le second au lycée. Qui donc m’avait laissé cet ordre? Mon voisin probablement ; lui seul avait dû me voir à la fenêtre. Je ne pouvais pas perdre mon temps en conjectures. Pour être à 9h au bus et en tenue, je devais me presser.

Je fonçai donc dans ma chambre tout en me déshabillant, trouvai rapidement bas et jarretelles, ceux-là même qui m’avaient causé mes tourments actuels, culotte et soutien-gorge, le tout en noir, puis enfilai une robe. Une jolie robe à fleurs, longue aux genoux, large, un peu flottante. Sa fraicheur masquait les sous-vêtements plutôt vulgaires. Je me couvris d’une veste assortie dont je fermai les trois boutons.

J’arrivai au bus, essoufflée mais juste à temps. Cette précipitation m’avait empêché de gamberger, aussi l’angoisse reprit-elle en montant les 3 marches du véhicule. Le bus était bondé, ce qui était normal pour une heure de pointe. Je payai le chauffeur peu aimable et m’avançai dans l’allée en m’excusant de forcer le passage pour arriver à la place 32. J’entendis même un « fait chier celle-là ». Par chance, je ne fus pas longue à trouver le siège 32, placé dans la rangée des sièges uniques, côté du conducteur.

La place était occupée par un homme qui lisait un bouquin. Je restai là, debout, face à la fenêtre, contre son siège, un bras levé pour tenir la barre du plafond, l’autre devant moi pour tenir le haut du fauteuil. Le bus s’ébranla un peu violemment. A la station suivante, les nouveaux entrants poussèrent les corps déjà serrés pour augmenter la désagréable promiscuité bien connue des usagers du métro. Par chance, placée face à une vitre, j’évitai les haleines fétides d’autres passagers.

C’est dans le cou que je sentis le souffle chaud détestable d’une voix qui murmura :

– J’savais bien que tu obéirais, ma petite pute de voisine.

Je tournai brusquement la tête pour découvrir celle de mon voisin, celui que l’on avait toujours snobé, celui qui m’avait tripoté par ma fenêtre.

– Tourne ta tronche devant toi et ferme ta gueule.

Il se collait dans mon dos, jouait de son bassin au point que je sentis une excroissance contre mes fesses. Une main arriva sur mon ventre et se mit à le pétrir. Le lecteur dont le visage était à hauteur de la main, jeta un œil de travers. La main musarda sur ma hanche droite, sur ma cuisse droite et vint se ficher à la fourche des jambes. Par la faute d’une veste trop courte et d’un tissu bien trop fin, elle empoigna ma vulve et la massa sans ménagement.

Elle cessa à l’arrêt suivant. Nouvelle bousculade et pression dans l’allée. Pour ne pas tomber sur l’homme assis, je dus m’appuyer sur la vitre du bus. Quand je parvins à me redresser, deux mains m’enserraient la taille. Elles se posèrent au haut de mes jambes, de chaque côté. Lentement, les dix doigts se mirent à remonter la robe. J’essayai de les repousser mais ils étaient trop forts.

– Laisse-moi faire petite pute. J’parie que tu mouilles comme une salope, dit-il à mon oreille.

La robe arriva au haut des bas, découvrit les jarretelles, la peau blanche des cuisses, le noir de ma culotte. L’homme assis en profita aussitôt pour lancer sa main et venir ainsi caresser ma chatte par-dessus la culotte découverte. La jupe fut relâchée et vint recouvrir les doigts vicieux du frotteur.

Les boutons de la veste ne tinrent le vêtement fermé que quelques instants et mon voisin, toujours collé à mon dos, s’empara de mon sein gauche et de ma fesse droite.

– T’as des gros nichons ma salope… un gros cul aussi… j’vais y fourrer mon majeur…

– Arrêtez, tentai-je mais en vain mais bien trop doucement pour calmer mes agresseurs. Hurler n’aurait fait qu’attirer l’attention de tous dans ce bus.

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