Ma première sodomie

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Amateur

Ma première sodomieCette histoire m’est arrivée quand j’avais 19 ans. Elle a probablement contribué à influencer toute ma vie sexuelle.Je venais de passer mon bac et fatiguée par les révisions je m’étais invitée chez ma tante Jacquie, à Grenoble, pour passer des vacances. Comme j’avais besoin d’argent, elle m’avait dégotté un petit boulot de serveuse dans une brasserie du coin qui commençait quelques jours plus tard.Je pris donc mon billet de train, 8H de trajet entre Bordeaux et Grenoble, quelques bouquins et un petit sac de voyage. A l’époque, les jeunes femmes s’habillaient légèrement avec beaucoup de naturel, c’était courant. J’étais donc en mini jupe avec un petit corsage, c’était la mode, avec des bottines.Les TGV n’existaient pas encore. Tous les trains étaient à compartiments, petits espaces de 6 places, où les gens pouvaient fumer, boire, manger, parler entre eux.J’entre dans le mien. Il n’y a personne encore, je suis arrivée tôt, le train ne part que dans une demie heure, je m’installe près de la grande fenêtre et mes pensées s’évadent déjà. Je suis un peu inquiète car je n’ai encore jamais travaillé, mais je fais confiance à ma tante, elle va m’accompagner dans cette nouvelle expérience.C’est à peine si j’ai fait attention aux trois hommes qui sont montés dans mon compartiment. Il y en a deux plus âgés, entre 30 et 40 ans (ça me paraissait vieux à l’époque!) et un tout jeune qui doit avoir mon âge, qui s’assoit sur la même banquette que moi, les deux autres en face. Ils sont montés ensemble et se connaissent. Ils commencent à parler entre eux bruyamment, sortent les bières et rient grassement. Je ne fais pas attention, j’ai pris un bouquin pour passer le temps.Le train démarre, les trois hommes continuent de parler, surtout les deux plus vieux, et je commence à tendre l’oreille, attirée par les mots crus que j’entends soudain.« Putain, ça commence à faire longtemps que je me suis pas fait sucer par une bonne cochonne… »C’est sûr, c’est pas à la caserne que ça va t’arriver !Et toi, le puceau, quand est-ce que tu te dégorges enfin le poireau ? T’aimes pas les filles ou quoi ?Si si …Regarde y’en a une de ton âge juste là, assise à coté de toi…faut que tu lui parles sinon je m’en charge ! Elle est super jolie en plus !Je rentre la tête dans mon livre, croise un peu plus les jambes, et fais mine de ne pas entendre qu’ils parlent de moi. Hé, le jeune, t’as une petite queue ou quoi ?Non non, ça va ..fais voir…Non c’est bon, laisse moi !Moi j’ai pas peur de montrer ma queue, on peut la comparer si tu veux ! Regarde !Et là, le visage toujours caché par mon bouquin que je tiens bien haut, je vois en miroir dans la vitre du train, ce gros lourdeau qui défait son pantalon et sort un engin énorme, déjà en érection, avec beaucoup de fierté.t’en as jamais vu des comme ça, avoue !…Le jeune militaire ne répond pas, il est sans doute gêné pour moi. Putain, j’ai une de ces gaules, moi !Il se caresse illegal bahis comme s’il était seul. Le deuxième rigole bêtement. La hiérarchie est claire : il y a un dominant, qui doit être le plus gradé des trois, un suiveur, à peu près du même âge et un petit jeune qui rougit et est toujours tenté d’obéir aux deux autres. Comme mon père était militaire lui aussi, je leur désigne arbitrairement un grade dans ma tête : Adjudant, sergent et 1ère classe, en tout cas pas des officiers on dirait.Je n’ai pas peur des hommes, je me sens comme étrangère à la scène, même si l’adjudant continue de se branler sur sa banquette. Ils ne vont quand même pas me sauter dessus en plein jour dans le train !Je mate quand même sur le coté. Le jeune s’est réfugié dans une revue de voitures pour ne plus participer à la scène, et n’ose rien dire à son supérieur. Le « sergent » boit sa bière en rigolant fortement.Mademoiselle ?Je ne réponds pas.Allez soyez pas timide, à votre âge et jolie comme vous êtes, vous avez sûrement déjà vu quelques bites !Peut-être pas aussi grosses !! s’esclaffe le sergentLe ton montetu dois quand même aimer ça la bite, vu comment t’es habillée  !Si ça se trouve elle a même pas de culotte cette salope !Je ne réponds toujours pas. Ils sont en train de devenir agressifs, j’ai hâte que le contrôleur passe pour calmer les esprits qui s’échauffent. Je ne peux néanmoins pas m’empêcher de regarder leurs reflets dans la fenêtre. Le deuxième à sorti son sexe aussi et se branle. Le jeune est toujours le nez dans sa revue, muet.Allez, laisse moi ta place, moussaillon, si tu sais pas y faire je vais te montrer, moi !Le jeune obéit, ils échangent leurs places, et le plus gradé vient s’affaler sur la banquette à quelques centimètres de moi, la queue à la main.Allez lâche ton bouquin, j’ai mieux à te proposer !Il est déjà un peu ivre, je l’entends à sa voix. Sa présence à coté de moi est magnétique, bestiale. Je me sens prise au piège comme une proie dans la cage d’un grand fauve qui me tourne autour en attendant de me dévorer. Cette dernière image déclenche alors à ma grande surprise un petit jet de mouille qui vient tacher ma culotte. Comme si je n’avais aucun contrôle sur mon corps, je sens ma chatte se remplir de jus, comme pour se préparer à l’inévitable assaut.Lâche ton bouquin je te dis !Et il met un grand coup de patte dans mon livre qui vole à travers le compartiment.Je le regarde alors dans les yeux. Il est surexcité, avec un regard de fou, branlant sa grosse queue pendant qu’il me dévisage. Je me lève et tente d’atteindre la porte, il saisit ma jupe qu’il déchire à moitié.Je n’arrive pas à crier. Quelque chose en moi m’en empêche. Je me débats timidement, il a déjà la main sur ma culotte.Putain mais elle mouille déjà comme une petite pute celle-là ! C’est ma grosse bite, hein, c’est ça que tu veux ?! A genoux !!Ces deux mots me transpercent. L’ordre qu’il vient de me donner me fait vaciller. Il me tire illegal bahis siteleri à peine sur le bras que déjà je me mets à genoux devant son sexe magnifique, bien plus beau que lui.Suce moi bien ! Mais ne t’étouffe pas ! Ha Ha Ha !!!Il sait qu’il a gagné. Il fanfaronne. Je suis hypnotisée par sa trique, je l’enfourne. Elle pue le chacal, je suis un peu écœurée mais je tiens bon. Je me dis que si j’arrive à le faire jouir vite le calme va revenir.Alors je le pompe à fond, j’y mets mes deux mains et toute mon énergie, je le branle de plus en plus vite pour faire monter la sauce et qu’il n’aie pas le temps de s’intéresser à mon cul.Putain quelle salope !! T’avais faim hein ?!A ce moment je sens une forme froide pénétrer ma chatte. C’est son compère qui m’enfile le goulot de la bouteille de Valstar dans la fente et commence à me ramoner. La sensation est divine, je commence à sentir monter la jouissance dans mes reins. Je continue de sucer de plus belle la grosse queue du chef, mais rien ne vient, il tient le coup malgré ma pipe infernale, se joue de ma bouche pendant que l’autre accélère encore dans ma chatte, me procurant beaucoup de plaisir malgré moi.Prépare lui le trou du cul, je sens qu’elle est mûre !A vos ordres, chef !Il sort aussitôt la bouteille de mon sexe et commence déjà à l’introduire dans mon anus encore vierge. Heureusement ma mouille facilite le passage et le goulot n’est pas trop long, je n’ai pas mal et je ressens même des sensations agréables au fur et à mesure qu’il active le va et vient dans mon petit trou qui se détend. Je ne peux retenir quelques petits gémissements de plaisir quand il accélère encore le mouvement, jusqu’à me pilonner le derrière.ça y est, elle est prête ?Je crois, chef !Il sort de mon étreinte pour libérer sa queue de ma bouche.tu vas voir le jeune comment on encule les salopes ! Prends-en de la graine !Un frisson me parcourt le dos…j’ai peur que sa grosse queue me fasse mal mais en même temps ma jouissance est montée en continu avec la pénétration anale, ouvrant mon sphincter à la sodomie. Ma tante m’a dit que c’était délicieux, qu’elle même en raffolait. Je vais bientôt savoir…Le petit sergent me retire la bouteille du cul d’un coup sec, me faisant tressaillir, j’entends le chef qui crache dans sa main pour enduire sa queue de salive. Je ferme les yeux.Réclame !…dis-le que tu aimes ça !…voyant que je ne réponds pas il me tire violemment les cheveux, il est en rage.DIS LE !!!…j’aime ça …Plus fort !!j’aime ça !!Écarte les fesses !!Il me tire toujours les cheveux pendant que mes mains se posent sur mes fesses pour les écarter.Je suis incroyablement excitée…cette tension, l’autorité naturelle que cet homme rustre dégage, les mots qu’il m’a fait prononcer… je m’entends crier comme dans un état second, le corps cambré par mes cheveux solidement empoignés.vas-y !! Encule moi !!Supplie !!…s’il te plait… sodomise moi…défonce moi le cul !!Il canlı bahis siteleri me pénètre alors d’un coup sec, me faisant rugir. J’ai mal… Non en fait j’ai juste eu peur d’avoir mal, c’est de surprise que j’ai crié…l’assaut a été brutal mais sans dégât, je commence même à ressentir des sensations nouvelles, sa grosse queue tout entière est logée dans mon anus. Il ne bouge plus, commence à gémir, à pleurnicher. Il se déverse en moi, sans un mouvement de plus, calé au fond de mon anus, il n’a pas pu retenir son éjaculation.Bordel…D’un coup il a perdu toute sa stature. On dirait un petit garçon pris en train de se masturber. Vexé il évite mon regard, remet son pantalon et att**** sa valise.On se casse !…Les deux autres le suivent, récupèrent leurs sacs et sortent du compartiment. Je me retrouve seule, à genoux, insatisfaite par l’orgasme que je n’ai pas pu délivrer, frustrée de ne pas avoir joui alors que le plaisir était si prometteur. Je remets ma jupe abimée, ma culotte et me rassois. Je récupère mon livre pour reprendre ma lecture mais impossible de m’y remettre, je suis trop excitée, mon clito appelle furieusement ma main droite pour libérer la pression et je commence à me masturber frénétiquement profitant de ma solitude.La porte s’ouvre. C’est le contrôleur…. on se regarde un instant qui m’a semblé interminable. Il est en arrêt comme un chien de chasse, la bouche ouverte. Je continue de me caresser devant lui, les yeux plantés dans les siens, en chaleur, j’écarte même encore plus les jambes.Il devient rouge, son uniforme semble le serrer de partout, sans un mot il ferme la porte du compartiment avec son carré et tire le rideau.J’ai envie qu’il me prenne comme ça, sans parler. Je me mets à genoux sur la banquette et remonte ma jupe lui offrant mes fesses et me caressant de plus belle. Je sens alors ses mains se poser sur mes hanches, puis sa langue titiller ma raie, me lécher tout du long, passant à toute vitesse de ma chatte trempée à mon petit trou bien ouvert.J ‘ai l’impression d’être dans un rêve, mon corps est devenu un unique instrument de plaisir, je retiens ma jouissance comme je peux pour profiter du moment. Je l’entends défaire son pantalon.Je la veux, ma première jouissance anale, oh oui je la veux, plus que tout au monde !Je me cambre pour mettre mon anus au premier plan, au niveau de sa queue. Il a compris et m’enfile en suivant, faisant exploser mon sphincter de joie, délivrant mes entrailles d’une attente insupportable. Il est déchainé, me laboure, je crie de bonheur et l’orgasme nous libère ensemble. La pénétration n’a pas duré plus d’une minute mais la jouissance est incroyable. Des images de films pornos me reviennent à l’esprit, Moana Pozzi, la Cicciolina, Rocco…je comprends tout. L’extase de la sodomie, le délice de l’enculage.Il déverrouille la porte et sort du compartiment. Il n’a même pas vérifié mon ticket.Je n’ai pas de mouchoir, alors j’essuie mon anus qui coule avec ma culotte, récupérant le sperme de mon assaillant surprise.J’ai tellement de choses à raconter à ma tante ! Mais surtout lui dire que ma quête d’orgasme anal ne fait que commencer, comme si c’était une nouvelle vie. Elle va adorer.

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