le verre de trop

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Drunk

le verre de tropOn avait savonné la pente depuis longtemps. Il était inexorable que nous y glissâmes. Je ne dis pas cela pour me dédouaner d’avance mais il faut considérer le fatum et que nous ne maîtrisons pas grand-chose dans nos vies. A cet égard je n’ai pas de regrets ni de remords dans la plupart de mes agissements. Je n ‘en assume pas moins leurs conséquences s’il y a lieu. Là en l’occurrence il n’y eût pas de suite. Tout s’étant vite enfoui dans les sables de l’oubli. Je n’en exhume pas moins cet épisode pour en méditer la possible matière morale. En effet qu’est-ce céder à ces tentations dites sexuelles ?La tentation induit qu’il y a interdiction. Ici il s’agissait de ma bru. Je déplorais depuis longtemps que mon fils se fut entiché d’une fille de mauvaise vie. Ma femme contre elle était autrement prévenue. Elle était divorcée et aînée de dix ans de mon fils. Bref elle avait bourlingué et avait eu plusieurs vies. Il é »tait funeste que mon fils se soit aliéné à une telle créature. Nous en concevions quelque culpabilité qu’eût sûrement confirmé un psy. Nous avions contribué à ce manque d’assurance et de confiance en soi qui constituait notre fils comme victime et être vulnérable.Nous semblions à ce moment dans une impasse. Nous roulions inéluctablement vers un abîme. Il était impossible que notre fils se détachât de cette femme. Il était à espérer que celle-ci pour une raison ou une autre s’en allât. Nous étions convaincus qu’elle était ici purement intéressée et dénuée de sentiments. Mon fils était un bon parti. Elle n’excluait pas de mettre la main sur tout notre patrimoine. Il était hors de question que j’évoquas cela auprès du fils. De surcroît, elle le trompait. Elle n’avait pas en tant que garce désarmé de toutes ses séductions. C’était plus fort qu’elle.Je le savais d’autant qu’elle s’était essayé sur moi dans les premiers temps peu après qu’elle me fut présenté. D’ailleurs dès le premier jour j’eus l’intuition de l’avoir rencontré avant. Ce ne fut qu’un an après tandis qu’un vieil ami m’appelât un soir que je pus en établir le lien. L’éclair du souvenir alors me traversât. Évidemment cet ami me l’avait présenté. Elle sortait en ce temps plus ou moins avec lui. Plus trivialement il l’a sauté. Ce n’était qu’un coup d’occasion et d’un soir. Féru libertin, il m’expliquât qu’il l’avait levé dans une boîte à partouze. Elle était mariée et trompait son mari.Nous avions papoté toute une heure l’après-midi dans un bar parisien. Elle n’avait pas dédaigné de m’allumer. Je mis cela sur le compte de l’alcool car elle enquillait les verres. Finalement le copain me soufflât que je pouvais le suivre dans sa garçonnière peu loin pour partager la salope. Ce fut son terme sans ambages. Je répugnais à ce jeu d’autant que j’ai toujours eu scrupule d’abuser d’une femme prise de boisson. De même je trouvais peu glorieux d’ajouter à mon tableau de chasse ce type de créature. Longtemps me demandais-je si elle-même se souvenait de cette circonstance.Aussi ne pouvais-je qu’être prévenu contre cette femme me gardant bien de rapporter à mon épouse l’indice que j’avais obtenu contre elle. Sans prétendre à un prix de vertu, je préférais ne pas entrer dans ce genre de détail avec ma femme. Celle-ci cependant n’eût pas de mal à percer à jour le genre de la personne car il était patent que pour tous elle minaudait et allumait alentour. Seul mon imbécile de fils semblait ne pas constater ce manège. Le cocu étant souvent frappé d’une cécité bienveillante. Je crois que j’avais davantage honte de sa niaiserie que de son objectif malheur.Ma bru était-elle jolie ou du moins comment attirait-elle les hommages ? De taille moyenne et de figure commune, elle attirait et fascinait par un corps souple et a****l qui disposait d’emblée au sexe et à l’étreinte physique. Ajoutons à cela une façon tout à elle de s’accoutrer. Ayant dépassée allègrement la quarantaine, elle ne dédaignait pas de porter minijupe, bas et escarpins et ce avec un outrageant maquillage. Ma femme résumant cela sous le vocable péremptoire de pute. Elle n’avait de cesse de demander à tous : « Qu’ai-je fait au bon Dieu pour que mon fils méritât cette putain ? »Nous désespérions de nous en débarrasser. J’eus été bien content de la jeter dans les bras d’un autre. Un jour je m’en ouvris à ce copain qui l’avait pratiqué. Il me confirma dans mon malheur et dans l’immoralité de la personne. Pour lui, elle n’avait renoncé aux aventures. Tant le sexe que la vénalité l’animait. Elle ne pouvait ne pas coucher avec un homme rencontré et qui plus est à l’occasion, elle essayait d’obtenir de lui des avantages matériels voire de l’argent. Elle méritait plus que je ne croyais le titre dont l’avait affublé ma femme. Le défaut de sa cuirasse pouvant être dans ses mœurs.Le pote ne m’en suggérait pas moins de la faire suivre, d’accumuler les indices et de façon subtile de mettre ceux-ci sous le nez du fils. Il fallait maquiller tout cela par une sombre affaire de chantage. Un corbeau inventé devait prendre bouche avec mon fils. Il fallait faire accroire que la coquine avait des dettes à l’égard de beaucoup et à cause de son ancienne vie. La boue de son passé devait l’ensevelir. L’ami en fait crut devoir lui-même mettre la main à la pâte. Pour cela il recruta un des meilleurs détectives privés. Mon rôle se limitant à payer celui-ci et à recueillir les informations.Ces dernières affluèrent bientôt. Elle écumait des lieux, des bars près du casino. J’avais oublié qu’entre autres vices, elle avait aussi celui du jeu. Elle levait là-bas des pigeons et jouait et couchait avec. Elle y était connu tel le loup blanc. Mon détective par jeu et cynisme sûrement se vanta de l’avoir débauché lui-même. Elle n’avait pas fait de façon pour faire cela une fois dans la voiture et l’autre fois à l’hôtel le plus proche. J’étais offusqué qu’elle fut si facile à att****r. J’aurais eu même plus de considération pour une fille des rues ayant l’excuse du moins du sort et de la nécessité.Bientôt un dossier terrible et à charge se constituât. L’ami et le détective considérèrent que le poisson était ferré. Je n’avais plus qu’à porter l’estocade. En cela il fallait tuzla escort mettre le fils dans la boucle. Sur ce dernier point cependant je renâclais. Je reculais. Je pense que de telles révélations l’eussent irrémédiablement détruit. Je ne voulais pas parvenir à un tel résultat. Je tergiversais dès lors et obtint du détective de pouvoir l’accompagner et de surveiller de loin les agissements de la bru. Ainsi étais-je ballotté entre le sentiment de la répugnance et de celui de la malsaine curiosité.On allait m’introduire dans le chaudron de la sorcière. En ce sens ne fus-je guère déçu car il s’agissait d’un bouge plutôt que du palace d’un casino. Vraisemblablement la garce y avait ses habitudes. Nous arrivâmes assez tôt pour nous réfugier en un coin tranquille où nous étions assurés de n’être pas vu et de pouvoir considérer toute la salle jusqu’à nombre de ses recoins. Au bout d’une heure qui savait assez de ses habitudes me fit du coude pour me signaler son arrivée. Dans une sorte de clair-obscur je pus la distinguer à peine. Elle était au bras de deux types saluant tout son monde.A sa démarche et silhouette je compris qu’il s’agissait d’elle. Elle était flanquée de deux costauds.L’un de type arabe. L’autre caucasien. Ils étaient nippés de costard mais leurs façons vulgaires témoignaient plutôt du style crapuleux, maquereau. Ils semblaient faire la loi autour d’eux. Les clients s’écartaient à leur passage. Ils obtinrent dans un premier temps d’avoir la meilleur part au zinc. Le patron, un mulâtre semblait ravi. Celui-ci fort familièrement apposa un baiser sur la bouche de la bru. Une telle familiarité me révulsa. Pourtant nul hors moi ne semblât s’en offusquer.Le détective me souffla à l’oreille. « Je puis vous assurer qu’elle est déjà ivre. C’est le début de son numéro ». Nous étions à quatre, cinq mètres masqués dans la pénombre. Peu de détails nous échappait. Ainsi l’arabe sans vergogne lui pétrissait la cuisse qu’elle exhibait volontiers eu égard à sa minijupe. On voyait affleurer nettement sa chair blanche à la naissance du bas nantie d’une jarretelle. Il y avait là d’autres femmes du même mauvais genre. Il me fut confirmé que certaines étaient des prostituées de haut vol. Était-il évident que ma bru s’en distinguât si nettement.C’est à ce moment après que j’eus exprimé mon sentiment auprès de mon détective que celui-ci me confirmât qu’on pouvait l’aborder facilement et lui proposer directement la botte. Elle lançait illico son tarif. Celui-ci était très haut. C’était à prendre ou à laisser. Elle arguait qu’elle avait du succès ici et l’embarras du choix. Ce qui n’était pas faux. Bref il lui était insupportable qu’on lui fit perdre du temps en baratin. Elle vous signifiait qu’elle accordait beaucoup jusqu’à l’intimité de son cul sans difficulté. Hilare il me confirma qu’il l’avait enculé dans la voiture et ce sans autre forme de procès.Je songeais à mon fils. Quel pouvait être leurs rapports au lit à ces deux-là ? La touchait-il ? Se laissait-elle toucher ? Elle ne devait pas répugner à simuler le plaisir s’il le fallait. Mon fils était somme toute un énième client. Comment eût-il réagi de savoir qu’au long de la journée nombre d’hommes avaient pu disposer de ce corps allongé auprès de lui ? Je ne pense pas qu’il l’eût su et eût fait montre de perversité. Je ne le voyais pas adonné au candaulisme de certains maris. Je postulais plutôt qu’il fut encore amoureux et nigaud. Qu’il voyait en fée, cette horrible traînée et sorcière.Je vis un grand black en blouson cuir coupant la presse. Il allât droit sur le trio. Il chuchota à l’oreille de la belle. A leurs sourires on comprit que se faisait allègrement l’affaire. Peu après, ils sortirent de l’estaminet. A ses gestes on pouvait percevoir qu’elle ne s’absenterait que pour revenir bientôt. Le détective me confirmât qu’elle allait se prostituer dans un coin. Ce ne fut pas long. Une demi-heure après nous la vîmes revenir. Un peu de rougeur aux joues trahissait quelqu’effort. Il semblât qu’elle commandait du champagne tandis qu’elle allait se rafraîchir dans les toilettes.Elle vint se rasseoir près de son compagnon arabe lequel ne semblât pas déconcerté du motif de son absence. Au contraire il semblât s’en réjouir savourant avec elle le champagne. Il pouvait paraître qu’il était à la fois un bodygard et un bénéficiaire à l’occasion de ses faveurs. Moins d’une heure après je la vis de nouveau suivre un petit vieux aux allures de notaire et dont la présence ici dut paraître incongru. C’était de trop. Je signifiais alors au détective que j’en avais vu assez. J’avais envie d’aller méditer plus loin et seul, ma rage et mon dépit. Je ne savais plus quoi penser.Sans en référer au copain ni à son détective, je décidais un jour d’aller là-bas seul affronter la bête. Aujourd’hui je mesure la folle témérité de ma décision. Oui je me je jetais dans la gueule du loup. A priori il n’y avait que des coups à prendre. Ce à quoi on pourra rétorquer : la chance sourit aux audacieux. Je n’avais pas de plan préconçu. J’étais dans la confusion. Je voulais surtout parler et vider mon sac. Trop de gouttes avaient fait déborder le vase. Dans l’estaminet je ne pouvais plus reculer. J’allais droit au patron trônant derrière le zinc. Il dut percevoir mon émoi, mon agressivité.Par ma description, il comprit assez vite de quelle femme je l’entretenais. Je ne lui demandais pas moins de m’adresser celle-ci dès son arrivée pour une affaire urgente. Je lui glissais un gros billet dans la main pour lui rémunérer ce service. Il sourit. Il concevait bien qu’on put payer toujours pour ce genre de garce. J’attendis fiévreusement pendant une heure vidant mes bières. Lorsqu’elle parut, je crus un instant que mes jambes allaient m’emporter loin tel un couard. Je vis que je n’avais rien préparé et que ma démarche encourrait l’échec mais il était trop tard. Elle regardait déjà vers moi.Dans une relative pénombre, elle ne put pas d’abord me reconnaître. Elle s’avançait vers moi croyant déjà à un client ou à un de ses familiers cochons. Elle souriait, balançait ses cheveux et adoptait un déhanchement lascif. Je ne pourrais pas décrire sancaktepe escort la grimace qui s’imprima à son visage lorsqu’elle me reconnut. Le sourire déserta. La haine à présent brouillait ses traits. Ses yeux jetaient des flammes. Elle fulminait. De rage, elle se tourna vers le patron comme pour l’accuser de ce mauvais tour. Celui-ci là-bas ne dut pas comprendre. Reprenant mes sens je lui dis avec fermeté de s’asseoir.Soudain, elle sembla comme lasse. Elle s’écroula pour ainsi dire sur la chaise. Elle parut en une seconde plus vieille faisant son âge. Elle avait toujours abusé du fard et du maquillage. Je radoucis mes manières non pas tant par pitié que par efficacité. J’avais décidé d’un coup d’emporter le morceau et d’acheter son départ, son retrait de nos vies. Par ailleurs le détective m’avait parlé d’un de ses amants fortunés et avec lequel elle avait une relation des plus perverses. Or j’avais barre sur celui-ci. Il me devait pas mal de fric. Il serait le levier par lequel j’escomptais soulever mon rocher.En peu de temps je parlais fric et mettait sur la table un montant conséquent. Puis je ne lui offrais pas moins la gérance d’une affaire dans le Sud. Par mon fils je savais que cela avait toujours été son rêve de diriger une brasserie ou un grand restaurant. Je savais toucher là un point sensible. Elle baissait les yeux tandis que je parlais. Aussi ne sus-je pas de suite si mes coups portaient. Quand elle releva la tête, un sourire sardonique barrait son visage. La cruelle était revenue. Elle ne pouvait pas ne pas avoir la main sur une situation. Elle s’était reprise. Elle ne capitulerait pas sans se battre.Elle héla le patron pour réclamer de son plus cher champagne. J’étais un gros client. Je devais lui cracher mes billets. Elle voulait me faire jouer ici un rôle pitoyable. Je crus devoir m’y incliner. Dans le regard du patron tandis qu’il débouchait le champagne, je vis qu’il me considérait comme un de ces gros pigeons bourgeois. L’ambiance, l’alcool puis le champagne achevèrent ce jour-là de me tourner la tête. Elle était devenue entre temps agressive. A présent elle s’était employée à caresser ma grosse main. Elle me trouvait déplacé ici dans ce bouge encore qu’elle savait beaucoup sur moi.En effet elle décrit par le détail nombre de mes turpitudes. J’en fus à peine étonné qu’elle fut renseignée à ce point. Je convins que je fréquentais certaines prostituées de haut vol. Que j’avais eu nombre de maîtresses. Je lui dis que ma femme depuis longtemps avait su tout cela et en avait pris son parti. Dans notre milieu c’était monnaie courante. Je ne prétendais être un parangon de vertu. Il m’importait seul de défendre l’honneur et le patrimoine de la famille. A ce titre elle était un danger et je voulais lui reprendre mon fils. Dans son œil de fureur je vis tout le mépris qu’elle avait pour lui.Conservant mon sang froid, je lui représentais qu’elle-même perdait son temps. Son union avec mon fils ne lui apporterait que des désagréments. De toute façon ne méritait-elle pas mieux que mon fils puisqu’elle le méprisait. Mes arguments durent lui paraître limpides car son regard était devenu perçant. Je voyais bien que mes raisons s’imprimaient dans son esprit. Elle perdait sur le fond. Elle voulu se ratt****r sur la forme. Soudain, elle se lança. « Je vous ai toujours préféré à votre nigaud de fils et vous m’avez toujours évité ». Je ne m’attendais pas à cette répartie. Cela me rendit furieux.Laissant mon flegme, je lui balançais à mon tour la circonstance ancienne où elle m’avait été présenté par un ami. Elle marquât de la stupeur puis éclatât de rire. Attendant qu’elle se calmât je vidais ma coupe. Je considérais trop tard que j’avais trop bu ou plutôt qu’il avait été imprudent de mélanger bière et champagne. En même temps je regrettais trop tard de lui avoir fait cette révélation qui n’avançait guère mon affaire. Ayant recouvré son calme elle me dit boudeuse : « Bref vous m’avez considéré comme une pute dès le premier jour. » Mon silence dut paraître acquiescement.Par quelqu’effet comique elle partit dans une diatribe où elle voulait justifier sa vie. Elle avait toujours aimé faire la fête associé pour elle au luxe, au brillant, à l’alcool et aux hommes. Mon fils ne cochant là aucune case. Avec un ton boudeur et de sincérité, elle déplora certains de ses agissements qu’on pouvait à bon droit estimer de la prostitution. Elle voulait s’affranchir de cette nécessité. Elle rêvait d’être riche et autonome pour pouvoir se ranger. Elle semblait entrer dans mes raisons. Je pouvais croire triompher. Pourtant je vis encore une lueur a****le allumer son œil noir.Jamais le démon ne renonçait en elle. Là encore elle sembla poser une dernière condition avant la reddition. « Puis-je vous demander une dernière faveur ? « Je compris avec appréhension que ce serait quelque chose de sordide et de scabreux. Ma bru avait toujours eu le don de la sortie théâtrale.Soudain je sentis la pression sur ma cheville de son pied qu’elle avait extirpé de l’escarpin. Tous yeux brillants, elle me dit : « N’as-tu pas envie de t’amuser ? Cela me ferait plaisir. Tu me dois bien çà. » Se tournant vers le patron du bar, elle m’assura qu’il valait mieux sauver les apparences ici .Bref elle m’invitait que nous sortions et allions ailleurs qu’ici. J’étais tout chaud bouillant perclus d’alcool. J’aspirais au grand air et à sa fraîcheur. Je payais. Elle me tirât par le bras m’arborant aux yeux de tous comme un gros poisson qui allait la baiser dans un coin. Elle faisait toutes sortes de mimiques dont des œillades alentour. C’était au-delà du vulgaire. Décidément il fallait au plus vite que je débarrassas mon fils de cette catin. J’étais résolu à tout. S’il fallait entrer dans la comédie et la baiser pourquoi pas. J’eus du mal à retrouver mes esprits et ma voiture. Nous y parvînmes titubants.Je dus concéder que son corps chaud auprès du mien m’excitait déjà. L’alcool me procure entre autres ce genre d’effet. Bref pris de langueur j’étais prêt à m’abandonner dans les bras d’une fille. Ma main lui pétrissait le cul. Elle en gloussait de plaisir. De sa voix elle üsküdar escort me disait : »Tu vois chérie, tu te dégèles. « Avec effronterie alors que l’on pouvait encore nous voir, elle portât soudain la main à mon sexe pour se bien assurer que celui-ci était dur et que je bandais fort pour elle. J’eus un petit sursaut puis de la gêne. Puis peu à peu une envie irrépressible d’être branlé et sucé par cette garce.Dans la voiture nous accolâmes nos bouches. Ses lèvres avaient un goût de miel. Ma queue déjà sortie du pantalon, elle me branlait. Elle insistât pour que je ne démarras pas et commenças à me sucer. Je compris qu’elle se voulait donner en spectacle. Peut-être que le patron et d’autres nous guettaient derrière leurs vitres. J’étais déjà aux anges. Elle suçait bien à l’égal d’une professionnelle. L’idée me traversât que j’en aurais du faire d’emblée une maîtresse. Je n’avais cure maintenant du fils. Il était déjà bienheureux que je le sorte de ce trop mauvais Pas. Ce n’était qu’un bon à rien.J’eus idée d’aller la baiser dans un bois peu loin où j’avais mes habitudes. Elle protesta. Elle méritait plus d’égards. Elle nomma un hôtel de qualité. Seules d’éminentes escort-girl eurent pu y prétendre. Pouvais-je vraiment lui refuser ? Elle eut ces mots : « Je le vaux bien tu sais. Puis nous allons faire affaire n’est-ce pas ? » De toute façon j’étais maintenant chaud bouillant. Je ne concevais pas que je ne pus la posséder, l’avoir à moi tout seul. J’oubliais qu’elle accordait ses faveurs au premier venu. Je me souvenais que ces cuisses croisées et ces sempiternels dangling m’avaient maintes fois séduit.Je devais reconnaître qu’elle m’attirait depuis longtemps. Elle ne me reprochait rien d’autre que de n’avoir pas écouté et suivi mon désir. Je lui devais cela en cadeau d’adieu. C’était dommage de n’en avoir pas profité l’un l’autre avant. Autre problème j’étais par trop connu dans cet hôtel non pas qu’on me sut y amener des filles mais il était hors de question qu’on m’y vit avec la bru. Je donnais à celle-ci l’argent pour qu’elle effectuât la location et j’entrais par une porte de service connue de moi seul et de quelques autres. Cette cachotterie la ravit. Moi-même déridé je pris cela en bonne part.La garce avait choisit une suite et du champagne. Je me tins caché dans la salle de bain et sortis après que le garçon eût ramené le champagne. Elle était allongée au long du lit tout encore habillée. Elle avait les cuisses assez écartées pour que j’y pus examiner outre ses bas et porte jarretelles, une culotte des plus diaphanes qui cachait peu du détail d’une chatte qu’elle avait à peu près épilée. Pour ne rien vous cacher, cette culotte m’était familière. Elle la montrait sans vergogne. Ma femme en était assez offusquée. Ma bru ce jour-là tint à me le rappeler. « Avoue, Tu raffoles de ma culotte ? »Éludant de répondre, je fis sauter le bouchon de champagne et lui remplit à ras-bord une coupe. Elle eut un cri me témoignant toute sa joie. Nous célébrions en sorte notre séparation. Nous allions nous quitter en de bons termes. Nous allions faire qui plus est l’amour. Elle me fit signe d’approcher tandis que je soulageais mon gosier du breuvage frais. Elle écartait à mesure ses cuisses. Celles-ci complètement ouvertes, elle me dit : « Montre moi-ce que tu sais faire, chéri. Régale-toi. Tu en as sûrement envie ». Il est vrai. Je rêvais de cette chatte depuis longtemps. Je fus sur elle peu après.Je fais partie de ces hommes qui procurent volontiers le cunilingus à leur maîtresse. Elle ne fut pas déçue. Sa jouissance du moins me parut sincère. La culotte voleta bientôt à travers la pièce. Il étaitcomique de la voir joncher le sol à peu de mètres de la sortie. La garce entre temps s’était mis à quatre pattes m’offrant inexorablement son cul. Manifestement, ivre elle hurlait : « Bouffe moi le cul ! » Je m’exécutais. J’avais la queue si dure. Celle-ci aspirait à obtenir elle aussi son tribut. Je parvins à exciter son anus avec la langue. Je perçus qu’on devait y entrer et fouailler sans peine.Je décidais de ne pas lui en demander l’autorisation et de l’enculer derechef. Elle sembla ne pas s’en émouvoir et accuser avec élégance le coup. En effet j’y fus rapidement dedans et jusqu’au fond. Je pouvais bourrer à volonté. Elle l’encaissait le tout stoïquement. Cette putain devait manifestement sacrifier à la sodomie dans toute relation. Le haut prix qu’elle réclamait incluait cela. N’étais-je pas d’une certaine façon, un client comme un autre ? Je pris mon temps. Je maîtrisais assez l’éjaculation. Aussi ne fut-elle guère épargnée. La sodomie se poursuivit un temps infini. Je voulais l’épuiser.Finalement je rendis les armes avant. Cette chienne eût supporté encore longtemps le traînement. J’avais au final lâché ma purée au fond du trou. Celui-ci en était tout maculé. Elle me fit observer que nous avions été peu raisonnables. Que nous aurions du nous protéger. Elle avait raison. Je mis cette imprudence sur le compte de l’alcool. Elle déplora que j’eus éjaculé. Elle voulut me raffermir et me ranimer. Sa bouche m’offrit bientôt une nouvelle fellation. Plus somptueuse que la précédente. Je dus convenir qu’elle était championne en la matière. J’avais dans cela une vrai expertise.Nous baisâmes durant trois heures. Le miracle fut qu’elle parvint à chaque fois à me ranimer dans sa bouche. Je fus émerveillé de ce prodige. Je n’avais jamais fait montre de tant d’entrain ni d’endurance pour une femme. Elle était plus qu’un bon coup. Décidément j’eus été bien inspiré d’en faire une maîtresse. Je n’osais à cet égard lui demander de réitéeer un autre jour. Heureusement pour moi ce fut une de ses conditions pour accepter le deal. Entre temps j’obtins de mon fameux débiteur qu’il s’engageât et l’épousât en échange d’une remise de dette en bonne et due forme.Ma femme ne sut jamais ce à quoi j’avais recouru. Quant à l’ami et le détective je tins à leur évoquer une brumeuse transaction. Ils me reprochèrent ma légèreté et m’en tinrent rigueur assez longtemps. Cela dura un an avant que la garce disparut de nos vies. Un beau jour accourut notre fils catastrophé et tenant à la main, un mail. Elle lui signifiait son congé. Elle partait avec un homme à l’étranger. Elle lui demandait officiellement le divorce. Nous parvînmes à convaincre notre fils de ne pas la poursuivre et la revoir. Il eût été bien malheureux de savoir que son père en jouit ainsi durant un an.

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