Joyeux anniversaire

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Apex

Joyeux anniversaireMon amie me joua vraiment un tour de cochon le week-end de Pâques. Nous avions convenu de nous retrouver dans la villa de ses parents pour fêter mon anniversaire et je m’en faisais une joie. Je m’étais longtemps interrogée sur ce que Kalia voulait dire par “ Je te réserve une surprise ”, et avais finalement abandonné l’idée d’en savoir plus.Cette amie était ce que j’avais de plus intime. Non seulement nous nous connaissions depuis longtemps, mais l’inavouable avait fait irruption dans nos vies lorsque nos mains et nos lèvres s’étaient un peu oubliées un soir de fête alcoolisée. Kalia avait fixé le programme.Une journée avec Elle.Alain nous rejoindrait ensuite en soirée. ( j’espérais des coquineries à trois explosives).Le Mardi, retour au bercail.Je débarquai donc l’adresse qu’elle m’avait donnée. Ses parents m’ouvrirent la porte pour m’accueillir.« Bonjour Michèle ! Bienvenue à la maison ! »« Bonjour, c’est gentil de me recevoir ! Mais Kalia n’est pas là ? »« Non, elle viens de nous téléphoner qu’elle avait un empêchement de dernière minute. »Partagée entre déception et colère, il à fallut la gentillesse de ses parents pour me détendre. Son père me pris mon sac et m’accompagnât dans ma chambre où je me changeai rapidement en tenue estivale. Je décidai de finalement rester pour profiter de la piscine dont l’eau surchauffée au soleil me tendait les bras. Ses parents étaient vraiment sympathiques et la conversation fut très agréable pendant le repas.Ils m’expliquèrent qu’en cette saison se tenait un marché du terroir et que Kalia appréciait beaucoup cette ambiance conviviale où il était possible de goûter aux produit régionaux.L’idée me plut et je me dit qu’après déjeuner j’irais bien y faire un tour.Je me retirai dans ma chambre après le repas, afin de téléphoner à Alain.Rien que de l’entendre au téléphone, je sentais mes sens en éveil comme à chaque fois qu’il me parle. De lui dire combien j’étais à lui, combien mon corps l’attendait, encore plus émoustillée, de l’entendre me dire qu’il était possible qu’il arrive plus tôt que prévu, qu’il avait une surprise, et qu’il me promettait “un truc”.Je me rendis donc sur ce marché. Installé sur une place dans unjoli cadre, je déambulais d’allée en allées, souriant aux marchands et me délectant d’une ambiance détente aux mille parfums qui planaient sur les étals. La jeune femme seule et sexy que j’étais était pas mal sollicitée et c’est de gourmandise en gourmandises que le temps passait doucement. Je vis arriver de très loin deux grands types a l’allure sportive. Alors que je conversais avec une marchande, lui expliquant que je n’étais pas de la région et que je ne passais ici que le week end, mon radar personnel détectait la présence derrière moi des deux gaillards. Je dois avouer que je devenais très distraite, car la proximité de ces deux beaux mâles finissait par ne pas me laisser indifférente. Je commençais à me sentir dans la situation de la proie et j’aimais ça. Je me retrouvais au centre de leurs attentions. N’ayant pas d’homme depuis plusieurs semaines, Alain étant à ce foutu stage, je dois bien avouer que ma sexualité ces derniers temps se résumait à la masturbation. C’est en pensant à tout cela que j’entendis le grand brun me parler et s’intéresser à l’orange que je tenais à la main. Je ne pu m’empêcher de me dire que c’est bon d’être dragué par un bel homme quand on voit les effets qu’il peut produire sur moi. C’était joli et terriblement agréable de l’entendre parler. Son ami blond devait le savoir , car il le laissait faire ce travail d’approche. Je souris intérieurement en faisant d’immenses efforts pour ne pas laisser paraître le petit plaisir ressenti de me faire aborder ainsi. Mais des fourmillements bien connus dans mon bas ventre allaient certainement me trahir. Son ami ne disait mot, laissant se faire la conversation sur le beau temps, et sur le fait que dans ce marché ils me trouvaient tous les deux très jolie. Je me concentrais sur mon orange, feignant être insensible à ces compliments, tout en me disant que ce texte devait être appris de longue date, et que j’avais à faire à des pros de la drague. Il finit par me faire rire , lorsqu’il me dit :« Je canlı bahis şirketaleri vois bien que vous avez envie de rire et qu’on ne vous laisse pas indiférent. »C’est là que son ami prit la parole.« Vous vous en sortz bien pour une aussi jolie fille de simuler l’envie de nous parler !  Vous devez avoir une pratique très solide pour rester aussi sérieuse devant nous. Surtout face aux plaisanteries de Guilio ! Moi c’est Gurle et vous ?»Cette fois-ci, j’explosais de rire. Les garçons étaient arrivés à créer un certain trouble en moi par leur approche déconcertante. « Moi c’est Michèle ! »Ils en parurent enchantés, me complimentant.« Le soleil aujourd’hui est bien pâle en raport à votre beauté resplendissante Michèle ! »Ce divin compliment me parut franchement exagéré, mais plaisant.Giulio me dit :«  Seriez vous prête à écouter une proposition ? »« Dites toujours ! »Honnêtement, je ne voyais pas ou tout cela allait et mon esprit m’orienta vers une invitation restaurant pour le dîner du soir avec eux. Mais la complicité entre les deux garçons me troublaient plus que de raison. Je ne cachai pas une certaine inquiétude quand il m’expliqua :« Nous avons loué une petite villa pas très loin d’ici, et vous pourriez nous accompagner pour passer un moment en votre compagnie. Ca nous ferait vraiment plaisir. »La nature de mon inquiétude portait sur le fait que ces deux inconnus me proposaient de passer une après midi avec eux dans une maison que je ne connaissais pas. Il semblait tout aussi clair qu’ils ne cherchaient pas un partenaire pour une partie de carte. J’en étais encore à essayer de comprendre le sens réel de tout cela, que Gurgle me mettant le plat de sa main dans le dos d’un mouvement à la fois doux et ferme me forçait à le suivre. Je me sentais non pas soumise, loin de là, mais comme dépendante d’une ambiance, d’une atmosphère. Nous avions quitté le marché, et c’est sans jamais s’arrêter de parler que Giulio m’ouvrit la porte de la voiture pour, me montrer cette Villa qui donnait vue sur mer.L’endroit était magnifique. C’est lorsque nous entrames dans le salon que l’impression d’intimité fut forte, et Gurgle vit mon visage changer.« Tu as un problème Michèle ? »Les choses allèrent alors très vite dans ma tête et je pris conscience de mon choix. Jamais personne aujourd’hui ne m’avait forcée a faire quoi que ce soit, et une sorte de sérénité se mis en place au plus profond de moi, me rendant alors plus détendue.« Heu non non ça va merci. »Mon seul regret était qu’Alain ne soit pas là. Il aurait adoré cette ambiance de légère tension, d’excitation face à une part d’inconnu. Je m’assis alors dans un profond canapé. Ma jupette remontat si haut sur mes cuisses que je captais tout l’attention de Gurgle. Je me demandait vraiment si ces deux hommes pensaient poser leurs mains sur moi. Cette question n’en était pas vraiment une, car la proximité immédiate de ces mâles assis avec moi sur un canapé donnaient à mes sens une légère brume de plaisir. C’était maintenait Gurgle qui parlait, Giulio qui regardait. Lorsque Gurgle posa sa main sur le bas de mon épaule, ce simple geste me fit un effet terririble, surtout lorsqu’il ajouta :« Ton corps est superbe Michèle et c’est bien dommage qu’il soit caché par ta robe ! ».Son regard allait de mes yeuxà ma poitrine, et c’était déjà comme une caresse ressentie sur chacun de mes seins. Giulio défit adroitement le noeud qui retenait ce qui cachait le haut de mon corps, me surprenant un peu, davantage par le fait que cela les libéra de cette espèce d’oppression que je ressentais encore un peu, que par le geste lui même. Nous échangeames un regard et je posai instinctivement ma main sur ma poitrine, ce qui me fit sentir les pointes de mes seins au travers du tissu, confirmant le léger état d’excitation qui s’emparait de moi de manière assez puissante pour que je ne souhaite pas l’en empêcher. Il fallait maintenant compter avec les gestes furtifs mais précis de Giulio dont les doigts agiles avaient complété le déshabillage, et c’est en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire que je me retrouvai seins nus. Je sentais dans le même temps au fond de mon ventre se former une douce chaleur, canlı kaçak iddaa et me trouver les seins nus sous les yeux de ces deux hommes qui me désiraient ajoutait à la fusion de mes sens maintenant qui n’étaient plus sous contrôle. Je voulais cacher le désir qui s’installait pernicieusement, et cela devait se voir, car mes complices éclatèrent d’au grand rire qui fini de me désarmer vraiment, si tant est depuis le début de cette histoire que je n’ai vraiment été armée. Il est curieux de constater comment l’hilarité vous est précieuse en certains moments. On ne sait si s’y réfugier est une fuite ou une réaction nerveuse quand elle survient. Je sentis la main de Giulio s’emparer de mon sein gauche, tandis que Gurgle posait ses lèvres sur mon sein droit. Un peu gênée, je plaçais furtivement ma main gauche dans mon entrejambe et je fus très troublée de voir a quel point j’avais le sexe mouillé. Cela stoppa net mon rire et me fit me concentrer sur l’état d’excitation sexuelle dans lequel j’étais maintenant. Je savais que j’avais très envie et que je ne m’opposerais à rien. Nous nous levâmes ensembles pour finir de nous déshabiller. Je mouillais au point, que j’avais besoin du contact d’un sexe d’homme. J’avais tout autant envie de les voir nus qu’eux avaient envie de moi. Mon regard se rivait malgré moi sur le sexe de Gurgle, encore caché, pressée que j’étais de le voir, de le toucher. Gurle se plaça derrière moi et je sentis le léger contact de son sexe sur mes fesses. Cela me troubla davantage. Avoir à portée de main deux sexes d’hommes était la fois inquiétant mais aussi créait une admosphére terriblement érotique. La main de Gurgle posée sur l’intérieur de ma cuisse m’électrisa aussi et je me poussais un soupir. D’instinct j’écartai ma jambe. Leurs mains sur mon corps le mettait littéralement en feu. J’eu l’envie incontrôlable de tenir entre mes mains le sexe de Gurgle. Je n’en pouvais plus de cette proximité. Je voulais sentir, toucher cette virilité. Je me retournais et agenouillée devant ce sexe tendu, je me mettais à le butiner. Je touchais de mes lèvres le sexe flamboyant de Gurgle et ressentir cette chaleur sur ma langue, s’entourant autour de son gland que je sentais à vibrer. Giulio lui ne cessait de me caresser savamment le mon minou trempé en titillant mon bouton d’amour turgescent. complètement mouillé maintenant. Il passait ses doigts à l’entour de ma vulve, doucement parfois, plus vivement d’autres fois, délaissant mon clitoris tour à tour y revenant, et je ne saurai décrire combien ces attouchements me brûlaient l’intérieur du corps. L’envie d’être pénétrée était terriblement forte, et mon bassin s’animait malgré moi. Je fermai les yeux, ces garçons me rendaient folle. Un cri m’échappa lorsque deux doigts de Giulio s’insérèrent en moi. Il était attentif à la moindre de mes réactions et faisait coulisser ses doigts dans mon fourreau en expert, tandis que de l’autre main, il continuait à caresser mon clitoris. Sentir son gland dans ma bouche en même temps que les mouvement de Giulio en moi m’amenait à un véritable désordre de mes sens qui s’enflammaient davantage. Mon corps se faisait demandeur et ne serait capable de ne rien leurs refuser. J’étais dans cet état extrême, lorsque Gurgle se recula et se mit à me parler doucement. « Tu aimeras tout à l’heure, ce que nous te ferons. Je masturberais ton clito avec mon gland sans te pénétrer. Ton corps par des petits coups de reins réclamera la pénétration et tu me supliera de te défoncer la chatte. »Il disait cela tandis que Giulio donnait de légères petites tapes sur mon sexe béant et que les idées les plus troubles me traversaient. Les mots qu’il avait prononcés et l’état dans lequel mes nouveaux amis m’avaient mis était tout proche de la jouissance. Plusieurs fois déjà j’avais lutté contre la venue d’un orgasme. Ils me mirent à quatre pattes et maintenant je goutais la queue raide de Giulio. Son membre puissant emplissait complètement ma bouche, tandis que bien cambrée j’offrais mon tintimité à son amis qui commençait un cuni diabolique. Sa langue furtive passant sur la pointe de mon clitoris et en la dure virilité de Giulio dans ma bouche me fit succomber canlı kaçak bahis à un plaisir contre lequel cette fois ci je ne luttai pas. C’est lorsque ses lèvres se saisirent de mon clitoris pour le sucer que mes reins se firent incontrôlables . De puissantes vagues de plaisir générant des contractions spasmodiques se formèrent au bas de mon ventre . Je jouis sans contrôle, m’appuyant contre Giulio, serrant son sexe entre mes doigts. Mon clitoris prisonnier des lèvres serrées de Gurgle était en feu, je n’étais que plaisir, que jouissance. Dans un état second. Je continuais la fellation de Giulio, je ne voulais pas lacher son sexe. Il était fort, et son érection puissante. Son gland sous les mouvements de ma langue était mouillé et coulissait dans ma bouche au rythme des caresses que me prodiguait Gurgle. Je me sentais étourdie et n’ayant plus grande notion, ni du temps , ni de ce qui se passait vraiment.Jgurgle avec douceur me prit les hanche et me pénétra. Ce qui déclencha un second orgasme qui m’anéanti. Les deux hommes étataient endurant car aucun n’avaient en jouie. Il se mit à me baiser de plus en plus rapidement. J’étais aux anges puis soudainement ils se retirérent et je me sentis soulevée et transportée, avec toujours ces spasmes de jouissance présents. J’avais jouis bruyamment. Je m’offrais à ces hommes et ne voulais plus de limites. Giulio relevant ma jambe posa son sexe à l’entrés de mon vagin en feu.« Mais défoncez moi !! j’veux vos queues ! »Il bougea un peu et caressa le haut de mon clitoris du bout de son gland , tout en me caressant les seins. Puis il me pénétra d’un coup. Je le sentis au fond de moi, laissant échapper un cri sous ses mouvements d’abord lents, puis ensuite plus rapide. Je sentais coulisser en moi son sexe chaud qui m’emplissait complètement, générant ce plaisir tant attendu. Giulio me pris ainsi profitant de mon corps autant que moi je jouissais du plaisir qu’il m’offrait. Je ne sus pas vraiment combien de temps cela dura, mais je passais ainsi de l’un à l’autre. J’aimais la puissance des pénétrations de Giulio, et les fantaisies de Gurgle. Les pointes de mes seins me générait maintenant cette légère douleur de l’excitation qui ne s’arrêtait pas, mon corps entier n’étant que jouissance de tous ces instants. Gurgle me retourna, me pénétrant à fond et provoquant ces allers retours rapides qui m’amenaient au bord du plaisir, puis s’arrêtant pour mieux recommencer doucement, me pénétrant profondément, et restant ainsi plusieurs secondes, appuyant davantage d’un coup de rein puissant et se retirant. Je me sentais le corps épuisé, comme relâché d’une tension qui aura duré des heures, tout mou et cotonneux maintenant dans cette pièces qui s’assombrissait avec la fin de la journée. Mes amis ne cessaient de me caresser de manière différente, maintenant.Leurs mains , faites de douceurs me parcouraient le cou, le haut de la poitrine, puis mes jambes allongées , détendant mon corps peu a peu, me ramenant à cette réalité de la fin de cette journée si spéciale. C’est enfin qu’ils se lâchérent en moi dans ma chatte et ma bouche. Je me délectais de cette chaude semence. J’étais bien, et mes amis souriaient, m’embrassaient sur le ventre, sur les seins et dans le cou, de ces baisers légers qui vous irradient de tendresse. Je pensais à cette instant à Kalia et Alain qui auraient adoré me voir ainsi jouir de ces deux mâles. J’étais dans ces pensées lorsque Giulio me posa un baiser sur le coin des lèvres, plus marqué que les précédents, et me dit , d’un chuchotement plein de sensualité :« Bon anniversaire, Michèle ! »J’ouvris la bouche et restais ainsi , hébétée.« Comment ça ? Bon Anniversaire ? Comment sais tu que c’est mon anniversaire ? »Gurgle s’approcha, allumant la lampe de chevet, m’embrassa à son tour tendrement, puis se dégagea de mon visage, et me dit doucement :« Je crois que nous ne sommes pas seuls, Michèle ! » J’entendis un bruit de bouchon de champagne en même temps que je vis, se levant du canapé, Alain et Kalia, l’une applaudissant, l’autre riant, bouteille de Champ’ à la main, puis finalement se jetant sur moi et me couvrant de baisers. La situation était cocasse. J’avais encore du sperme qui coulait de ma chatte et dans ma bouche. J’étais à peine remise des orgasmes. J’étais folle de surprise, de bonheur, de plaisir. Ainsi ces inconnus n’en étaient pas du tout ! C’étaient des amis de Kalia et complices d’Alain.Bel anniversaire que celui là.

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