Dans Le Bus Ch. 05

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Brunette

Traduction d’un texte de creativeboyinspring

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– Bonjour, je m’appelle Yesnia! Dis-je à l’étranger assis à côté de moi dans le bus.

Et c’est tout ce que je lui dis. Quand je prends le bus, je suis… tendue. Même si ce n’est pas un bus scolaire, mais plutôt un bus de transport public, j’ai toujours des émotions qui remontent.

Je ne raconterai pas de nouveau ce qui s’est passé, mais j’ai fini par devenir l’esclave sexuelle d’un campement de sans-abris. Oui vous avez bien lu, moi, la fille super intelligente, était une esclave sexuelle pour tous les SDF. La première de l’université qui pouvait obtenir n’importe quelle bourse pour n’importe quelles études était une esclave sexuelle consentante. Tous les hommes pouvaient faire ce qu’ils voulaient de moi.

C’est une longue histoire pour savoir comme j’en suis arrivée là. Mais pour faire court, ça s’est terminé par le fait que j’étais constamment attachée et baisée à plusieurs reprises chaque jour. Mais je le demandais. Je n’étais pas captive ou menacée, je le voulais.

Là-bas, je vivais d’un régime composé de restes de nourriture, d’un peu d’eau et de beaucoup d’alcool. Je n’entrerais pas dans les détails comme le fait qu’une fois par jour, on me détachait et je pouvais faire quelques pas dans le camp.

Il avait fallu trois semaines avant que la police ne me retrouve. Mes parents les avaient appelés le jour de ma disparition quand je n’étais pas rentré à la maison. A partir de là, ils ont retrouvé le groupe de gothiques qui m’avait kidnappé pour me faire monter dans un bus scolaire et pour me malmener à l’arrière pendant plusieurs heures.

Ensuite, la police a recherché autour de l’endroit où les gothiques ont dit m’avoir laissée attachée. Les forces de l’ordre ont passé alors au peigne fin les rues, les ruelles, les maisons abandonnées. Ils ne pensaient pas au début que je puisse être attachée comme esclave par des sans-abris.

Enfin bref, on m’a retrouvé. Les policiers ont fait une descente dans le camp et m’ont trouvée, ligotée et nue, avec une bouteille de bière enfoncée à mi-chemin dans mon sexe. Quand ils sont arrivés, c’est un sans-abri qui s’musait à me baiser ainsi. Je m’en souviens bien. C’était vraiment vicieux, mais si excitant. La police m’a détachée, recouverte d’une couverture et m’a emmenée.

Et j’ai fait une thérapie? Ou plutôt devrais-je dire, des tonnes de thérapie, des mois de thérapie. A mon retour à la maison, j’étais bien dérangée. Je sentais en moi que je voulais être abusée comme ils l’avaient fait, que je voulais être seulement un objet sexuel. Mis on m’a expliqué que non, ce n’est pas ce que je voulais. Je suis restée longtemps dans la confusion.

Je ne suis pas retournée à l’université pendant un semestre afin de régler mes problèmes et essayer de redevenir normale, ce que je pense avoir réussi. Je suis redevenue une jeune fille de 19 ans. Je ne pense pas agir différemment de ce que je faisais auparavant. Bien sûr, je me sens différente, mais c’est normal. Qui ne changerait pas après avoir eu des centaines d’orgasmes intenses en quelques semaines?

– Oh vraiment? Dis-je à l’inconnu assis à côté de moi alors qu’il me parle de quelque chose que je n’écoute pas. Je remarque alors qu’il s’agit d’une femme. Mais je ne fais pas vraiment attention. Je ne le fais jamais quand je suis dans un bus. Tout comme je ne m’assois plus jamais à l’arrière. J’ai trop de souvenirs confus, même si je prends le bus tous les jours dans l’espoir de m’en remettre.

Je souris à la femme alors que le bus s’arrête et qu’elle continue à parler. Je me lève et je descends avec d’autres personnes. Pour me rendre à l’université, je dois prendre deux bus publics différents. Je préfère prendre les transports en commun plutôt que mes parents s’inquiètent toujours et m’emmène en voiture.

Je marche sur le trottoir peu fréquenté dans un pantalon noir et une chemise bleu foncé boutonnée jusqu’au cou. J’ai renoncé à porter les vêtements que j’utilisais auparavant dans l’espoir de me sentir une personne différente de celle que j’étais. Je prenais des tee-shirts amples et des jeans, mais maintenant je m’habille plus adulte, plus professionnel. La fille d’avant à qui il est arrivé tout cela était la version 1. Aujourd’hui je suis la version 2.

Je me promène seule en étant à l’affût de toute personne qui me voudrait du mal. J’ai non seulement une bombe lacrymo dans mon sac, mais aussi un petit ruban à mesurer sur mon porte-clé. Une femme policière m’a montré un jour comme se servir de ce simple objet lorsqu’on est attaqué, comment l’enrouler autour du cou de l’agresseur pour l’étrangler.

C’est peut-être fou, mais je me demande souvent ce qui est arrivé aux SDF quand la police à fait une descente dans leur campement. Je sais que les gothiques ont été en prison. Mais ce n’est pas seulement pour ce qu’ils m’ont fait, mais pour d’autres choses illégale aussi. Ils se sont retournés les uns contre les autres et ils ont avoué d’autres délits comme la possession de drogue ou des vols. En vérité je pense que les sans-abris n’ont gaziosmanpaşa escort rien fait de mal, car je leur ai demandé de le faire.

Je sais qu’à l’époque je n’avais pas les idées claires, car les gothiques m’avaient traumatisée, mais les SDF n’étaient pas en faute. Ils n’ont rien fait de mal. Encore une fois, c’est moi qui leur ai dit de me faire tout ça, m’attacher, me baiser violemment, me sodomiser…

Maintenant que j’y pense, je n’ai jamais su leurs noms. Et je ne les ai pas vraiment vus non plus, car le plus souvent j’avais un bandeau sur les yeux. Je me souviens de quelques-uns à leur façon de me baiser, mais peut-être ne devrais-je pas en dire plus sur ce sujet.

J’espère qu’ils n’ont pas été arrêtés et inculpés. On ne m’a jamais demandé de témoigner, donc j’espère qu’on les a laissés tranquille. C’était un bon groupe de gars. Après tout, ils auraient pu faire pire, comme me battre ou même, me tuer, mais ils ne l’ont pas fait. Ils me nourrissaient, prenaient soin de moi, me soignaient si quelqu’un avait été trop brutal avec moi.

Je prends une profonde inspiration et j’arrête de penser à ça. Je réfléchis à tout ça , car je crois que tout ce qui est arrivé, l’a été pour une raison. C’est ce que mon thérapeute me dit quand j’ai de telles pensées. Il me dit que ce n’est pas normal de vouloir être une esclave sexuelle alors que j’ai un bel avenir devant moi. Après tout, j’ai déjà trois diplômes.

– Hé ho! Entends-je quelqu’un crier.

Comme je ne connais personne dans cette partie de la ville, je sais que ce n’est pas pour moi, alors je ne me retourne pas. De plus, je sais qu’il s’agit d’une astuce utilisée par les délinquants. Si on se retourne pour regarder, les gens croient ensuite que vous et la personne êtes amis et ils ne feront plus attention à lui.

– Grosses mamelles! Grosses mamelles! Crie alors la voix.

En entendant ces mots, mon sang se glace et mes pieds se figent. Le monde devient flou quand j’entends ces paroles, car ça me rappelle des souvenirs horribles. « Grosses mamelles » est le surnom que donnaient les gothiques à ma poitrine. Et c’est ainsi que je l’ai appelée pendant très longtemps.

Abasourdie et terrifiée, je me retourne lentement. En m’attendant à voir un des membres du groupe de gothiques avec un couteau derrière moi. Mais non, en fait je ne vois personne. Il y a juste des gens qui vont et viennent sans même me regarder. Ils passent juste à côté de moi, agacés que je ne bouge pas.

Confuse, je me demande si je ne commence pas à entendre des voix imaginaires à cause du traumatisme que j’ai connu. Secouant la tête pour revenir à la réalité, je me retourne. c’est alors que j’entends à nouveau crier ces mots. Je regarde attentivement autour de moi pour essayer de voir qui peut dire ça. C’est alors que je les repère.

Il y a une ruelle à proximité entre une pizzeria et un pressing. L’ouverture de cette petite ruelle fait un mètre de large environ. C’est le genre de chose qui existe un peu partout, mais dont on ne fait pas attention. Seulement, au début de cette ruelle, il y a deux sans-abris qui me regardent.

Je reste immobile, car je ne suis pas sûre de ce qui se passe. Comment connaissent-ils cette expression? Ils ne font pas partie du groupe de gothiques, ils sont trop vieux. Ces deux types ont plus de quarante ans et où s’est passé mon histoire était dans une autre ville.

– Comment… Comment connaissez-vous ce surnom? Demandé-je en faisant un pas de côté pour éviter les passants et me rapprocher d’eux.

Alors que je m’avance vers eux, tout semble devenir flou, comme si j’entrais dans un monde de rêve.

– C’est bien toi! S’exclame un des gars.

Il est très clair pour moi qu’ils sont tous les deux sans-abris, mais ils ont l’air propre. Enfin, leurs vêtements on l’air propre. Ils portent tous les deux de vieux tee-shirts et des jeans. Ils ont une barbe et des cheveux longs comme la plupart des SDF, mais ils ont l’air propre.

– Qu’est-ce que vous voulez dire « C’est bien toi »? Demandé-je, de plus en plus inquiète.

Mon cœur commence à battre la chamade et un filet de sueur se forme sur mon front. J’ai l’impression qu’ils sont inquiets comme si quelque chose de grave allait se produire, une chose, qui je le savais, allait m’arriver un jour.

– Nous te reconnaissons, nous venons du camp où nous t’avons baisée. Je me souviens bien de toi et de ta tache de naissance sur ton bras droit! Dit l’un.

Il me parle sur le ton de quelqu’un qui a perdu de vue un ami et qui vient de le retrouver, qui veut rattraper le temps. Mais ce n’est pas possible. Tout est arrivé dans une autre ville. Je regarde mon bras et je vois la tache de naissance dont il parle. Mais ça ne veut rien dire, n’est-ce pas? Il pourrait juste l’avoir vu et essayer de m’embobiner.

– Et pour l’expression « grosses mamelles », hé bien alors que tu étais ivre, tu as demandé aux gens d’appeler tes seins comme ça. Ajoute-t-il.

Les deux ont un petit rire. L’horreur me frappe. Elle gölbaşı escort me tombe dessus comme un mur de briques. Je me souviens de tout ça. Je me rappelle avoir dû m’empaler sur la bite d’un gars et rebondir dessus. Après avoir senti mes seins rebondir lourdement, je leur avais crié de les appeler des « grosses mamelles »

– Tu es là pour revenir? Me demande alors l’autre.

J’ouvre la bouche, choquée. Je ne m’attendais pas à une telle question, ni à quel que soit d’autre aussi franc. Après tout, pourquoi il penserait ça? Comment pourrait-il le penser? Après tout ce qui s’est passé? Après tous les reportages et autres?

– Je…

Je suis tellement abasourdie que je ne peux pas répondre. Je sais que je dois dire non et m’en aller, mais je reste figée, car je suis prise au dépourvu. Je n’arrive pas à croire que ça arrive. Ces deux gars m’ont baisée, ils ont abusé de moi alors que j’étais une esclave sexuelle. Et maintenant ils me regardent comme si j’étais une personne normale.

Comment est-ce possible? J’ai été esclave dans un endroit loin d’ici. Comment ces gars ont-ils pu me reconnaître dans la foule . Comme m’ont-ils trouvée?

– Attends mon pote, tu as oublié! Rappelle-toi comment elle aime être traitée! Dit l’autre gars d’une voix plus basse.

Il est beaucoup plus petit que son ami. Il est aussi plus âgé et il semble beaucoup plus vicieux. Je ne comprends pas quand il dit « comment j’aime être traitée », et l’autre gars non plus. C’est alors que le petit SDF tend la main et attrape mes cheveux. Il en saisit une poignée et la tient fermement.

– Viens, sale garce! Dit-il en me tirant les cheveux.

Choquée, mes mains se portent à ma tête et j’essaie de me dégager. Mais encore une fois, je suis tellement stupéfaite de ce qui se passe que je le laisse me tirer plus profondément dans la ruelle. Je sais que je pourrais certainement me battre et m’enfuir, mais cela me semble tellement incroyable et insensé que je n’arrive pas à y croire.

Le type continue de me traîner dans la ruelle avec son ami qui nous suit. Puis au fond, il me lâche soudainement. Alors que je suis libre, je me tiens droite et je les regarde tous les deux, choquée. Je suis encore plus outrée que personne sur le trottoir ne soit intervenu, que cette scène se soit produite et que personne n’a semblé la remarquer.

– Tu veux vraiment être une esclave sexuelle, n’est-ce pas? Tu n’arrêtais pas de dire que tu aimais ça? Demande le premier type comme s’il s’agissait de pas grand-chose.

Il me pose la question comme s’il me demandait de danser avec lui ou d’aller prendre un café au bar du coin. Je ne réponds rien, car j’ai l’impression d’être dans un rêve. Je me dis que je vais me réveiller à tout moment dans mon lit, ou peut-être dans la baignoire, entourée de bulles de savon.

Est-ce que je veux être une esclave sexuelle? Eh bien non. Je suis une fille bien. Une fille étudiante à l’université avec un brillant avenir devant elle. La fille qui était dans le camp était une esclave sexuelle, laissant tout le monde utiliser sa bouche, sa chatte et son cul. Mais elle n’est plus là. Une partie de moi aimait ça, mais ce n’était pas vraiment moi.

– Déshabille-toi, salope! Ordonne le plus petit, sans attendre que je réponde.

Il me regarde avec un regard intense, comme s’il sait que je vais le faire.

– Déshabille-toi et mets tes vêtements dans cette benne. Et puis tu as l’air idiote avec ces vêtements de toute façon. Ajoute-t-il en donnant un coup de coude à son ami.

Ses paroles me font rougir. Je sais qu’ils ont dû me voir nue, mais l’idée de me mettre à poil devant eux est très embarrassante bien que je ne sache pas pourquoi. Peut-être que c’est à cause de la différence d’âge, peut-être parce que ce sont des SDF ou peut-être parce que c’est insensé.

Pourtant quand je baisse les yeux, je vois que j’ai déjà enlevé mes chaussures. Puis je marche sur une chaussette pour en retirer mon pied. Je fais de même avec l’autre pied et je me retrouve pieds nus dans l’allée. J’ai fait cela de façon automatique, sans vraiment y penser. Pour rendre la chose encore plus bizarre, j’entends le bruit que font mes chaussures lorsque je les jette dans la benne à ordures. Je viens bien d’enlever mes chaussures et mes chaussettes. Pourquoi? Pourquoi est-ce que je viens de faire ça?

– Pour ton chemisier, déchire-le! Fais en sorte que les boutons craquent et que tu ne puisses plus le porter. Ordonne encore le plus petit avec un sourire vicieux.

Il adore me commander. Comme s’il avait un pouvoir hypnotique, mes mains montent sur mon chemisier et attrape les côtés. D’un coup sec, je tire dessus et les boutons volent partout alors que mon chemisier s’ouvre.

Je fais glisser le vêtement sur mes épaules et il ne me reste plus que mon soutien-gorge blanc. Tous deux fixent ma poitrine avec un air de « Enfin, on te retrouve » sur leur visage. Pendant qu’ils admirent mes seins, je jette le reste de mon chemisier dans la benne à ordures.

Je déboutonne maintenant keçiören escort mon pantalon, qui tombe par terre une fois passé mes hanches. Il me laisse debout, dans ma culotte violette. Je me sers de mon pied pour jeter le pantalon dans la benne. Et je le fais de façon gracieuse, je crois.

Je m’arrête là, car mon inconscient sait que si je vais plus loin, tout sera fini. Je ne serai plus l’étudiante super intelligente à l’avenir prometteur. Je redeviendrai l’esclave sexuelle de sans-abris. C’est le tournant.

– Quoi, tu es timide? Ce n’est pas comme si on avait jamais vu tes seins et ta chatte. Si tu savais combien de fois on regarde les vidéos que l’on a de toi en train d’être baisée. Dit le petit.

Ça suffit. Le choix est horrible pour moi. Sans rien dire, alors qu’au fond de moi, j’essaie de me convaincre que ce n’est pas en train d’arriver, je passe mes mains dans mon dos et je dégrafe mon soutien-gorge. Il s’enlève facilement et je le jette dans la benne à ordures. Mes gros nichons d’intello sont à l’air libre sous les yeux des deux SDF et de quiconque va jeter un coup d’œil dans la ruelle. Les deux hommes se trémoussent au mouvement de ma respiration qui fait bouger ma poitrine.

Ensuite, je descends ma culotte. Elle tombe à mes pieds, exposant ma féminité rasée. Cette fois, je la laisse sur le sol comme un symbole. Quel symbole? Je ne sais vraiment pas.

Je suis nue maintenant. Ou peut-être devrais-je dire, encore? Nue, montrant toutes les parties de mon jeune corps à deux vieux SDF dégoûtants.

– Tourne-toi et mets tes mains derrière ta tête! Dit le plus petit.

Il semble apprécier son rôle de meneur, de dresseur d’esclave. Nue et me sentant pathétique, je fais ce qu’il me dit en me retournant immédiatement et en mettant mes deux mains derrière la tête. D’une certaine manière, faire ça c’est comme rentrer à la maison. Je me souviens l’avoir fait tant de fois auparavant, alors que j’étais une esclave sexuelle. Je me rappelle à quel point j’étais impuissante, comme j’avais peur, comme j’étais excitée.

J’entends le gars trifouiller derrière moi, mais je ne sais pas ce qu’il fait. Comme il reste derrière moi, ça peut être n’importe quoi. J’ai encore plus peur, mais pour l’instant, j’essaie toujours de me faire à l’idée que je suis toute nue dans une ruelle.

Soudain, quelque chose passe au-dessus de ma tête. Je suis prise au dépourvu et j’essaie de reculer, mais je bute contre l’homme. Bien qu’il soit petit, il est costaud et il ne bouge pas. Je peux voir maintenant que c’est une ceinture qu’il a faite passer au-dessus de ma tête. Il essaie de me la mettre autour du cou.

– Arrête de bouger! Et lève tes coudes! Dit-il, agacé.

Je ne sais toujours pas pourquoi, mais je lui obéis, même si j’ai peur qu’il essaie de me tuer. Je lève les coudes jusqu’à ce qu’ils pointent vers le ciel, tandis que mes mains descendent à la base de mon cou. Ainsi il arrive à me piéger. Mes mains sont attachées derrière ma tête.

– Hé, regarde, mon pote! Dit-il en me saisissant par les hanches et me faisant tourner pour que je sois face à son ami.

J’essaie bien de bouger mes mains, mais je ne peux pas. De plus je sens que ma situation est follement effrayante et extrêmement excitante. C’est comme si quelqu’un m’étranglait.

Je me rends compte à ce moment-là que je ne suis pas seulement face à son ami. Le bord de la ruelle n’est qu’à deux mètres. Je suis nue et attachée, comme une pute pour eux, et pour quiconque jette un coup d’œil. Quelqu’un a sûrement regardé du coin de l’œil.

– Ces gros nichons te manquent?

C’est le gars le plus petit qui essaie d’imiter ma voix tout en faisant bouger mes hanches de gauche à droite pour faire remuer ma poitrine. Son ami me regarde et se met à rire. Il a un large sourire alors que mes seins se trémoussent et rebondissent dans tous les sens.

– Je n’arrive pas à croire que tu sois de retour. Dit-il en fixant ma poitrine.

Je suis de retour? Hein? Je suis de nouveau une esclave sexuelle? Ce n’était pas censé arriver. Je devrais être à l’université et faire une belle carrière.

Pourtant le petit gars me tourne par les hanches pour que je sois dos à l’entrée de la ruelle. J’ai l’impression que ce n’est pas réel. Je n’arrive pas à comprendre pourquoi je suis de nouveau esclave. J’ai l’impression encore de rêver et je me demande si je n’ai pas été droguée.

Le petit sans-abri gifle violemment mon cul nu dans un claquement sonore. Il me dit de marcher. Je sens l’empreinte de sa main sur ma fesse qui pique ma chair. Ça pique, c’est une sensation humiliante familière qui me fait replonger dans le sentiment d’être une esclave.

Alors, nue, les mains attachées de façon embarrassante, je marche dans la ruelle. Je m’éloigne de mes vêtements que j’ai jetés et qui montraient que j’avais mûri. Je m’éloigne de la rue où j’étais une personne normale pour tout le monde. Et le plus important, je m’éloigne de la vie que j’avais.

Étourdie, perdue, je marche lentement e, sentant mes seins nus se balancer à chaque pas. Vous n’allez pas le croire, mais depuis l’autre histoire, mes seins ont augmenté de volume. Ils n’avaient pourtant pas besoin d’être plus gros. On m’a dit que c’était dû à l’augmentation extrême d’hormones, mais qu’avec le temps ils diminueraient. Mais en marchant ainsi et en sentant à quel point ils sont énormes, j’ai l’impression qu’ils ne diminueront jamais.

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