Colette 57 ans, une amie de ma tante.

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Colette 57 ans, une amie de ma tante.Colette était une personne assez charmante pour son âge mais pas vraiment de celles qu’on remarque. Ses traits étaient fins et sa bouche bien dessinée…Les formes arrondies de son corps traduisaient un léger surplus de poids qui charmait néanmoins mon œil et ses seins étaient lourds et gros. Colette avait une belle peau blanche et …57 ans.Pour tout vous dire, les femmes mûres m’excitaient à la folie… D’ailleurs avec ma tante Mado et Gina j’avais été servi et j’en avais bien profité…Colette, une amie de Mado était de passage dans le coin et elle avait rendu visite à ma tante…Ma tante m’avait présenté à son amie. J’avais remarqué son visage doux malgré les quelques rides, ses yeux si clairs et sa poitrine généreuse sous un chemisier bien boutonné. J’étais ému et mes regards se voulaient déjà entreprenants. Je la regardais comme on regarde une fille de mon âge, avec les yeux doux et légèrement hypocrites. Elle s’en aperçut mais trouva cela plutôt agréable et il me semble qu’elle en fut elle-même émue.Mado me demanda si je pouvais accompagner Colette le lendemain pour aller visiter la région. Ravi, j’acceptai avec empressement…Le lendemain, 10 heures, Colette m’attendait…Elle avait un pantalon noir, un pull col roulé et un gilet ouvert. Stricte et classe à la fois. Ses cheveux gris, tombaient sur la nuque en cascades avec application. Je remarquais les formes de ses seins imposants et le dessin subtil de ses lèvres, une invitation au baiser…Nous sommes partis faire du tourisme à bord de sa voiture… A midi elle m’invita dans un petit restaurant de campagne pour déjeuner. Elle était en face de moi, silencieuse et souriante. De temps en temps elle passait la langue sur ses lèvres détournant mon regard… Dieu que j’avais envie d’elle ! Envie découvrir sa peau, ses seins, ses fesses larges ! Mon regard était accroché au visage de cette femme… Quand je m’en aperçus, je rougis violemment ce qui fit sourire Colette… Le sang m’empourprait et de grosses gouttes perlaient à mon front. Je dus m’absenter quelques minutes pour reprendre mes esprits.— Que t’arrive-t-il ?— Excusez-moi je suis assez émotif— Quelque chose qui ne va pas ? Reprit Colette— Non, non excusez-moi encore…Apres le repas nous reprîmes la route. Elle ne cessait güvenilir bahis de me sourire et, voyant qu’elle était en terrain favorable, me faisait du charme… J’étais aux anges.En rentrant à la maison je ne pensai qu’à elle … Elle vibrait pour moi aussi, j’en étais sûr… À l’idée de partager l’amour avec une femme de cet âge, j’eus une érection violente. Je me branlais avec un bonheur parfait et à la pensée de ses fesses légèrement avachies dont elle m’offrirait la voluptueuse mollesse, je giclais très vite ma semence sur mon ventre. Le lendemain, Colette m’invita à se joindre à elle pour une promenade à pied.Elle portait une robe en tweed qui recouvrait ses genoux admirablement ronds. Un chemisier blanc bien boutonné sous un gilet vert complétait sa tenue. Ses gros seins tendaient le tissu. Elle me regardait beaucoup. J’étais un peu gêné mais je lui rendais ses regards en lui faisant comprendre combien j’avais envie d’elle… Une grande tension érotique régnait.Elle me demanda :— Hier c’est à cause de moi que vous avez rougi non ?Mes joues s’enflammèrent à nouveau et elle comprit.— Vous savez vous me plaisez mais je n’aurais jamais imaginé vous faire autant d’effet. À mon âge on a du mal à séduire les quinquagénaires alors un jeune homme comme vous…— Je vous trouve séduisante, attirante vous l’avez compris…— Oui… vous n’avez pas de petite amie ?— Non. Je vis chez Mado..- Oui j’ai vu !Elle caressa ma joue. J’ai cru que je pourrais avoir un orgasme dans l’instant. Mon rêve devenait réalité. Bientôt je caresserai ce corps de femme de 57 ans, je me laisserai aller à le baiser sans retenue, je le savais…Bientôt nous nous arrêtâmes dans une clairière. Elle me prit le bras puis trouva ma main qu’elle caressa maternellement.— J’en meure d’envie moi aussi vous savezJ’osais un baiser dans le cou. Elle ferma les yeux.— Mais il faut que je vous dise… depuis le décès de mon mari il y a 6 ans je n’ai eu que deux aventures… et je n’ai pas connu d’homme depuis 2 ans… ça vous surprend ?— Oui et non… vous êtes quand même attirante ! D’ailleurs vous me faites bander depuis que je vous ai vue.— Tss tss tss, un jeune garçon de 18 ans qui bande pour moi ?J’ai des cheveux gris, un peu trop de poids…— Je trouve ça irrésistible chez vous…— Tu es gentil… elle me regarda, güvenilir bahis siteleri passa une main dans mon cou et posa ses lèvres sur les miennes sans les ouvrir… Je crus m’évanouir au contact de tant de douceurs. Nous restâmes comme ça quelques secondes puis nos lèvres s’ouvrirent, nos langues se touchèrent, se mélangèrent, longtemps, doucement puis furieusement… Elle était étonnante. Elle y mettait beaucoup de passion.— Viens, cachons-nous…Derrière une haie, un coin d’herbe nous attendait… Elle s’allongea. Je regardais mon bonheur étendu par terre, là, offert…J’ouvris son chemisier et les deux seins fabuleusement gros explosèrent… Ils tombaient légèrement mais ils étaient doux, agréables au toucher, chauds…Je les malaxais, je suçais les tétons qui se dressaient durs comme de petits bouts de bois. Elle fermait les yeux en gardant la bouche entrouverte…— Viens… c’est bon… c’est si bon… fais-moi du bien… Bouffe moi mes grosses mamelles !Elle répondait à la caresse habile de ma langue autour des tétons. Mes mains glissaient sous la jupe et atteignirent la culotte de coton mouillée comme jamais…— Attends…Elle enleva elle-même sa culotte et dégrafa sa jupe. Elle était nue ! Enfin ! Elle se tourna pour ôter son chemisier et je vis son gros cul…Je l’agrippais aussitôt. Je n’en cru pas mes doigts et je pensai alors que celles qui ont le cul plat ne sont décidément pas tout à fait des femmes…A genoux, j’embrasse son merveilleux fessier, je le lèche, je le caresse… Allongez-vous lui dis-je. Elle écarte les cuisses.— Caresse-moiJ’enfonce un doigt dans son sexe. Ma main libre écarte les lèvres pour dégager le clitoris au milieu de la toison clairsemée… Mes doigts tournent autour de lui, l’effleure puis retournent dans son ventre, ils fouillent sa chatte avec des moments de va-et-vient… Très vite elle a un orgasme qui secoue son corps par saccades…J’enfile ma langue en elle… Elle replie les genoux, sa main m’attire en se plaçant derrière ma nuque, elle m’encourage… Je sens sa mouille. Je regarde son corps de mamie se cambrer, les cuisses grandes ouvertes, obscène et belle à la fois… Je la regarde gémir.— Ouii, ouii, encore, caresse-moi encore… Lèche-moi encore mon bébé… elle parlait doucement. Petit monstre !Ma langue fouillait entre ses lèvres, kaçak iddaa jouait sur le clitoris, baisait cette chatte si divinement agréable… Elle me sourit et me dit :— C’est tellement bon ! Merci !Elle me retira le pull et caressa mon torse avec application et une grande douceur …elle goûtait ma peau s’en délectait… Elle était en manque. Puis elle m’embrassa à pleine bouche, me mordant la langue, défit mon ceinturon et fit glisser pantalon et slip dans un même geste…— Je suis heureuse grâce à toi… profitons …prends-moi !Au moment où ma queue la pénètre je réalise un rêve. Mes mains empoignaient ses seins énormes. Elle me recevait avec de brefs gémissements, de petits râles, et son plaisir venait peu à peu… Elle se laissait aller à dire un peu n’importe quoi…— Vas-y. Baise ta mamie. Baise la bien, elle est à toi. Donne-lui du plaisir…Mes mains caressent ses fesses, accrochent la masse charnue…— Enfonce-toi bien mon petit cochon… Rentre-la plus profond… Ta bite est bien grosse.Elle était large. Je la baisais avec délectation. Nos corps mêlés se frottaient éperdument. Sa langue léchait la mienne, la suçait… Ses lèvres ne voulaient plus quitter les miennes. Elle était survoltée. Elle balbutiait contre ma bouche tout en me léchant et ses doigts guidaient les miens entre les lèvres de la vulve.— Touche-moiJ’étais surexcité et j’avais de plus en plus de mal à retenir mon plaisir.A nouveau je la fourrais, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle m’encourageait.— Tète ta mamie, baise-la… Frotte bien… Aaahh !Je la fourrais à fond, à grands coups de rein… J’avais peur de présumer de ses forces mais à 57 ans elle dégageait une envie de baiser peu commune ! Je la pénétrais jusqu’au fond de sa cavité lubrifiée et elle me voulait encore plus profond !-Vas-y enfile moi !-Tiens, prends ça ma grosse salope !-Oui, défonce moi la matrice !-Putain tu mouilles à mort !-C’est toi qui me bite bien, mon chéri.-Aaaaah, je viens ! Je jouiiiis ! Vas-y, vas-y décharge ! Donne-moi tout ton foutre, tout ton amour !Mon gland s’enfonça jusqu’au fond du fourreau brûlant et soudain de ses entrailles en folie, s’écoula le fluide d’une jouissance qu’elle ne put contenir. Elle poussa un gémissement éperdu ! … Enfin, j’explose! Dans un jaillissement puissant de sperme… Elle avait presque 40 ans de plus que moi mais seul comptait notre plaisir.Nous ne faisions plus qu’un, l’âge ne comptait plus. Nous restâmes là collés l’un à l’autre. Elle caressait ma joue. Je baisais ses seins, heureux…Ah ! les femmes mures !!!

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