Bondage Asylum- Chapitre 04
Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32
De son côté, au delà de s’enrichir à outrance, Sara avait à cœur de ruiner la vie de Debbie et Nick, et de les détruire psychologiquement. Elle avait fait d’eux des lavettes, certes, mais elle voulait davantage.
Un soir, Sara prit un malin plaisir, en guise de torture psychologique d’installer Nick dans une cage suspendue au dessus de son lit pour mieux voir sa femme se faire baiser. Elles portaient toutes deux une tenue au delà de ce que l’on pourrait qualifier de sexy : guêpière, bas, porte jarretelles et Louboutin aux pieds. Sara la baisait sauvagement avec un gode ceinture énorme, et Nick voyait nettement les larmes monter aux yeux de sa femme. Mais curieusement, cette vision n’était pas aussi insoutenable pour Nick, il en prenait même du plaisir. Sa queue durcissait, et la cage de chasteté le rappela à l’ordre avec une douleur atroce. Sara ne loupa pas ce détail.
– On dirait que ça te plait, mon chou!
– Oui Maitresse Sara.
Et il vit un sourire qu’il n’avait jamais vu sur le visage de Sara. Elle semblait au comble du bonheur. Esther fit soudainement irruption dans la pièce :
– Maitresse Sara, c’est définitif, Jane a disparu des radars. Nos recherches n’ont rien donné.
Sara se décomposa soudainement, avant de reprendre rapidement une contenance.
– Appelez le commissaire, qu’il envoie une équipe pour fouiller les environs. Il nous doit bien ça, après son échec avec Cameron… Elle doit probablement courir à poil dans la forêt, elle ne devrait pas passer inaperçue.
– Bien, Madame.
Le lendemain, Nick fut convoqué dans la grande salle du manoir par Alana, Esther et Sara. Sa femme était présente, dans une cage, au coin de la pièce. Nick était à genoux au sol, front contre terre, Sara sur son trône. Elle prit la parole.
– Comment te sens tu Nick après ces quelques semaines parmi nous? As tu toujours l’impression d’être ici contre ta volonté?
– Non, Maitresse Sara. Je m’étonne moi même de la joie que j’éprouve à être ici.
– Je m’en doutais. Et comment pourrais tu l’expliquer?
Nick prit le temps de répondre, regarda sa femme dans les yeux, et lança d’une petite voix :
– Je crois que je suis à nouveau amoureux de vous.
– Je n’ai pas bien entendu, dit Sara avec un sourire qui indiquait tout le contraire de ses paroles.
– Je suis amoureux de vous, s’écria Nick.
– Mmmmh… Intéressant, répondit Sara. Tu regrettes de m’avoir larguée, maintenant, pour retrouver ta catin de Debbie?
– Oui, je le regrette.
Debbie baissa les yeux.
– Bien, Nick. Je veux m’assurer que tu es à nouveau amoureux et dépendant de moi. On va s’atteler à une petite expérience, si tu veux bien. Suis nous.
Sara conduisit la troupe aux toilettes du manoir les plus proches. Elle ouvrit grand la porte, et dit :
– Alana, Esther et moi allons te donner les trois exemplaires de la clé de ta cage de chasteté. Tu auras le choix : soit tu décides de l’ouvrir et de retrouver alors ta liberté en partant de cet asile, soit tu les jettes dans la cuvette, tu tires la chasse et tu signes alors ta dévotion la plus totale envers moi. Tiens.
Nick prit les clés dans sa main, et eut quelques secondes d’hésitation. Il ne voulait pas partir, ça non. Il n’y avait plus rien dehors pour lui, ni travail ni femme. Et il ne voulait pas quitter Sara. Mais cet acte signifiait aussi plus aucun plaisir sexuel.
– Alors? demanda Sara avec empressement.
Nick jeta les clés. Il attendit encore un peu, se tourna vers Sara, Alana et Esther, vers leurs sublimes jambes qui lui faisaient tant tourner la tête et n’hésita plus. Il tira la chasse.
– Tu es désormais mon véritable esclave, dit Sara.
Nick se jeta alors à leurs pieds et les embrassa tous, ceux de Sara, d’Alana et d’Esther. Sara était au comble du bonheur, et se toucha jusqu’à jouir en criant tellement fort que Debbie l’entendit dans le salon et sut que son mari, ou du moins, ce qu’il en restait, avait succombé.
Un matin, Alana et Esther annoncèrent aux esclaves qu’il y aurait un repas en grande pompe ce soir, qui recevrait une personnalité très médiatique et très puissante. Plusieurs esclaves seraient là pour servir les invités, et Nick serait le sommelier. Il fallait que tout soit impeccable. On lui expliqua comment se comporter, quelle tenue porter, quels étaient les vins et quand les servir. Il y avait les plus grands vins bordelais : Petrus, Yquem… Ces bouteilles valaient cher, Nick le savait, et de savoir que c’était en partie son argent qui avait servi à les financer l’excitait.
La table était fabuleuse. Une soumise était posée dessus, une pomme dans la bouche et le plat des amuses bouches placé sur son dos. Deux autres soumises étaient à genoux sous la table, et la table était trouée à deux endroits de sorte à ce qu’elles puissent y passer leurs têtes. Tout autour de la table, d’autres soumises étaient prêtes à exécuter les ordres des invités quand ils arriveraient. Dans le salon, la table basse et les fauteuils étaient humains, eux aussi. Un peu partout dans la pièce, se tenaient gaziantep ucuz escort à genoux des soumises, avec un plateau accroché par une chaine à leurs cous, où étaient disposés des flûtes à champagne.
Tout était prêt. Les hôtes arrivèrent, dont l’invitée de prestige. Nick n’en crut pas ses yeux. Il s’agissait ni plus ni moins de la candidate à la présidentielle américaine, qui était en passe de l’emporter dans quelques semaines! La future présidente! Nick se demandait comment Sara avait réussi un coup pareil… Il y avait aussi le commissaire de la ville (Nick comprit alors pourquoi la police protégeait cette établissement), et un journaliste réputé de Fox News., que Nick avait déjà croisé deux trois fois. Sara arriva peu après, en tant que Maitresse de cette maison, sur un trône supporté par deux esclaves. Elle était splendide. A sa vue, Nick avait l’envie furieuse de se jeter à ses pieds.
La soirée passa. Tout le monde s’affairait, Nick compris. Il se prenait parfois des petites fessées de Sara, quand il passait près d’elle. Il s’avérait que cette femme politique, Melinda Bells, était aussi intéressée par le bondage, qu’elle avait appris l’existence de cet endroit qui promettait une discrétion absolue, et vint donc ce soir pour vivre pleinement ce fantasme, le temps d’une séance, pour faire une pause dans sa campagne. Nick commençait à comprendre le manège. Sara gagnait plus d’argent qu’il n’en faut, il lui manquait du pouvoir, du vrai. Et c’était ainsi qu’elle allait en trouver.
– Bien, Maitresse Sara, je tiens bien sur à votre discrétion absolue sur cette activité. Je ne tiens pas à ce que ce soit étalé sur la place publique. Bien sur, je paierai suffisamment pour ce service que vous me rendez.
– Bien évidemment, Melinda, vous pouvez avoir confiance en moi sur ce sujet. N’ayez aucune crainte.
– En tout cas, cet endroit est magnifique. Et on peut dire que vous avez l’art de la mise en scène! dit-elle en admirant le ballet de soumises qui l’entouraient.
– Je vous remercie Melinda. Dites moi, Melinda, qu’est ce qui vous attire alors comme pratiques BDSM? En quoi puis je vous rendre service?
Melinda rougit immédiatement.
– Et bien… J’aime le pet play. Être utilisée comme une simple chienne.
– Mmmmh, bien sûr, un fantasme courant. Et bien soit, ici vos rêves deviennent réalité! Êtes vous prête à vivre pleinement votre fantasme?
– Oui, Maitresse Sara, je suis prête! répondit-elle en un souffle.
– Alors, ouvrez ce coffre près de mon trône, et enfilez tout ce que vous y trouverez.
Melinda s’exécuta. Nick voulait lui dire qu’elle était en train de tomber dans un piège, et que, bien sûr, Sara allait la faire chanter. Mais il resta silencieux contemplant la chute prochaine de la candidate. Elle enfila la tenue de chien, et se mit un plug avec une queue de chien au bout. Elle verrouilla le cadenas du collier et y attacha une laisse. Esther s’approcha d’elle et, à l’aide d’un ruban adhésif, entreprit de lui scotcher les bras et les jambes de telle sorte à ce qu’elle marche à quatre pattes, comme un chien. Elle tira ensuite sur la laisse, l’obligeant à regarder Sara, toujours assise à table.
– As tu faim, Melinda?
– Oui, Maitresse Sara.
– Une chienne, ça aboie, Melinda.
– Ouaf, ouaf!
– Bien, très bien. Approche, alors.
Péniblement, Melinda se dirigea vers Sara, qui laissa tomber sur le sol le plat principal du diner.
– Mange, chienne.
Et Melinda s’exécuta. Elle mangea absolument tout jusqu’à la dernière miette.
– Quelle chienne bien obéissante… Allons jouer maintenant.
Sara se leva, et attrapa un gode dans le coffre en bois. Elle le lança à travers la pièce.
– Va chercher, salope. Et aboie.
Melinda répondait à tous les ordres avec beaucoup d’application. Plusieurs fois de suite, elle rapporta dans sa gueule le gode lancé par Sara.
– C’est bien, chienne. Tu peux embrasser mes bottes.
– Ouaf, ouaf!
– Qu’elle est mignonne… Bien, maintenant, changeons de jeu. Nous allons te détacher, et tu vas danser nue pour tout le monde sur la table. Allez, dépêche toi!
Melinda était tellement ivre de bonheur qu’elle acceptait sans rechigner. Elle commença à danser lascivement sur la table, jusqu’à ce Sara lui claque les fesses violemment.
– Oh mon dieu… Tu peux faire mieux que ça, quand même!
– J’essaie, Maitresse, j’essaie!
– Enfile toi ce gode pendant que tu danses, excite nous un peu!
Melinda était de plus en plus provocante et donnait absolument tout. Elle s’enfilait le gode dans tous les trous, mais ça ne suffisait pas aux yeux de sa Maitresse.
– C’est bon, ça suffit. Esther, fous la dans la cage et qu’elle y croupisse jusqu’à la fin du repas.
– Non Maitresse Sara, s’il vous plait, je peux mieux faire…
– Trop tard ma grande, il fallait t’appliquer avant.
Melinda fut installée dans un coin de la pièce dans une cage munie de roulettes. Esther verrouilla l’énorme cadenas gaziantep ucuz escort bayan et retourna s’installer à table. La fin du repas se termina dans le calme, même si on entendait au loin les faibles supplications de Melinda Bells. Puis, Sara s’éclaircit la voix :
– Bien. C’est l’heure de la séance de cinéma.
Tout le monde, hôtesses, convives et soumises se dirigea alors vers la salle de projection. Melinda y fut également emmenée, dans sa cage sur roulettes. Nick savait ce qui allait se passer, et ne pût s’empêcher de regarder avec tristesse Melinda dans sa cage. Elle n’avait aucune idée de ce qui allait lui arriver. Les lumières s’éteignirent… et la projection commença.
C’était un film des événements de la soirée. Toutes les humiliations de Melinda Bells y étaient compilées. Alana avait tout filmé, du début jusqu’à la fin. Melinda émit un hurlement :
– Vous m’aviez promis! Vous n’avez pas le droit!
– Pauvre petite sotte… Tu est pitoyable. Tu crois absolument tout ce qu’on te dit. Je ne sais pas si j’ai envie d’avoir une telle idiote comme présidente. Je me sentirai en danger dans ce pays avec une telle imbécile à sa tête. Peut être ma très chère Amy, de Fox News, pourrait diffuser tout ça sur sa chaîne? Cella t’empêcherait sans nul doute de te présenter?
– J’en serai ravie, dit Amy. C’est la moindre des choses, après tout ce que tu as fait pour moi! Et ça relancerai ma carrière.
– Non, par pitié, je vous en supplie, dit Melinda depuis sa cage. Je ferai tout pour vous, mais ne publiez pas la vidéo.
Sara s’approcha d’elle doucement, et s’assit sur la cage, pour lui parler. Melinda était terrifiée, elle se sentait tellement vulnérable.
– Bien, je pourrai peut être répondre à ta demande, Melinda. Mais il y aura des contreparties. Je veux 10 milliards de dollars provenant des caisses de l’Etat par an, les codes de la bombe nucléaire, le monopole de mon entreprise sur toute l’Amérique, et ta présence une fois par semaine pour prendre ta leçon, à l’asile. Bien sur, toutes tes décisions politiques seront soumises à mon approbation, cela va sans dire. Tu m’appelleras tous les jours pour faire un point sur la situation du pays.
– Je ne peux pas faire ça, je ne peux pas vous laisser tout pouvoir!
– Alors, la vidéo sera publiée.
Melinda Bells ne tenta pas de protester, comprenant l’erreur qu’elle venait de commettre. Elle accepta toutes les demandes de Maitresse Sara. Et pour la première fois dans l’histoire du Bondage Asylum, Sara laissa Melinda partir de l’asile pour finir sa campagne, mais avec la menace de publier la vidéo, si la future présidente décidait de lui chercher des noises. Grâce à cette simple vidéo, Sara allait donc bénéficier des pleins pouvoirs, et Melinda deviendrait sa marionnette. En quelque sorte, Sara deviendrait présidente des Etats-Unis. Rien que ça.
Tout était finement calculé. Et Nick était impressionné par la stratégie implacable de son ex-femme.
Le soir de l’annonce des résultats des élections présidentielles, tout le monde, esclaves comme dominatrices, étaient conviées dans le salon. Sara, Esther et Alana étaient toutes trois assises sur des fauteuils humains, des soumises toutes de latex vêtues, qui souffraient visiblement de leur position inconfortable. L’une d’entre elles pleurait, et Sara se contenta de la fouetter avec un martinet pour tout réconfort. Nick s’aperçut qu’il s’agissait de Debbie. Nick était lui, une nouvelle fois féminisé, avec une tenue de soubrette en latex, avec de très hauts talons, et un plateau en argent accroché à son cou. Il faisait le service.
L’annonce arriva. Tout le monde retint son souffle. Les sondages étaient serrés. Toute l’assistance savait que Sara était à deux doigts d’être quasiment sacrée présidente du pays. Evidemment, Melinda Bells remporta l’élection. De beaucoup plus que les sondages le prédisaient. 59% des votes. Sara avait financé une bonne partie de la dernière ligne droite de la campagne, ce qui expliquait aussi ce succès. Sara reçu immédiatement un coup de téléphone. Elle décrocha et mis en hauts-parleurs.
– Félicitations, ma chérie, dit Sara.
– Merci Maitresse Sara, répondit Melinda. C’est grâce à vous. Je ne sais comment vous remercier.
– Oh tu sais bien… Nous en avons déjà parlé…
Il y eut un silence.
– Vous savez que je ne peux pas faire ça pour vous, dit Melinda.
– Si tu peux. Sinon, tu sais ce qu’il passera. Si l’Etat ne répond pas à mes conditions, je publierai la vidéo. Tu imagines? Le pays serait dévasté de découvrir son idole de présidente en train de lécher mes chaussures et d’aller chercher un gode à quatre pattes en aboyant.
– S’il vous plait…
– Ce n’est pas négociable.
– Que voulez vous? demanda Melinda en sanglotant.
– Ce que l’on avait convenu. Les 10 milliards de dollars, les codes de la bombe… Ah et petit bonus, pour ton insolence : je choisirais toutes tes tenues officielles. Je ne te garantis pas qu’elles soient très ucuz gaziantep escort catholiques tous les jours. D’ailleurs, je sais que tu as une visite au Vatican bientôt : tu iras avec un décolleté plongeant et la plus courte des jupes possible. Cela fera un bon effet.
– Bien, Maitresse Sara.
– Non, maintenant, ce sera Madame la présidente.
– Bien, Madame la présidente.
– Bien, ma chienne, retourne faire semblant de diriger le pays. Et viens demain soir, pour ta leçon hebdomadaire.
Et Sara raccrocha, le sourire aux lèvres. Ses soumises l’applaudirent avec vigueur. Elle était la reine du monde, puissante, riche, les codes de la bombe entre ses mains, elle était intouchable. Nick reprenait peu à peu conscience de la situation, de son statut de soumis, et celui de son ex-femme. Il était à la fois effrayé, et excité par l’ascension de Sara et sa propre descente aux enfers.
Dès l’investiture de Melinda Bells, Sara reçu le premier virement de 10 milliards de dollars. Pour fêter ça, Sara réclama qu’on lui remplisse sa piscine de champagne. La piscine contenait 3750 mètres cubes d’eau, soit 3 750 000 litres pour la remplir, et donc 2 500 000 bouteilles de champagne… Le prix total était estimé à 90 000 000$, à la charge donc du contribuable américain. Les esclaves, abasourdies, s’exécutèrent. Et Sara put savourer sa victoire sur le monde en se baignant dans le champagne, sa centaine d’esclaves s’affairant auprès d’elle.
Sara devint la femme la plus riche et la plus puissante de tous les temps. Le Bondage Asylum connut un succès toujours plus grandissant. Le début de mandat de Melinda Bells fut catastrophique, décrit par les médias et même par son parti comme la pire présidente que les Etats-Unis n’ont jamais connus. La visite du Vatican fut un scandale.
Sara dominait toutes les arcanes du pouvoir : politiques, journalistes, policiers, juges… Elle s’était débrouillée pour faire chanter tout ce beau monde et régnait donc depuis lors sur la ville. Néanmoins, la vie au manoir la fatiguait énormément, avec cette centaine de soumises s’affairant autour d’elle. Elle prit donc une décision : créer un marché d’esclaves (elle avait un contact avec des russes très intéressés), et en vendre la moitié, ce qui lui rapporterait beaucoup d’argent. Elle mit aussi le hacking des cages de chasteté à exécution. Cela fit les grands titres des journaux : « Un million de pénis enfermés par un pirate informatique, les rançons s’élèveraient à 5 milliards d’euros ». Étant bien protégée par tous ses amis du FBI, elle ne fut jamais inquiétée et empocha les 5 milliards en une semaine, avant de fermer tranquillement son entreprise de cages de chasteté connectées. Elle n’avait pas besoin de tout cet argent, mais amasser et amasser en appauvrissant de stupides mâles l’amusait beaucoup.
Nick et Debbie, eux, continuaient de servir Sara du mieux qu’ils pouvaient. Les tâches quotidiennes devenaient routinières, et les plus dégradantes ne leur paraissaient désormais plus si terribles que ça. Ils s’étaient habitués et ne voulaient plus vivre autre chose que ça. Un jour qu’ils s’occupaient du jardinage, ils découvrirent au fond du parc, un grand amas de boue et tout un tas de caisses en bois. Cela attisa la curiosité de bien des soumises, et un jour, Sara leur expliqua la fonction de cet endroit :
– Vous m’avez toutes fièrement servi, mes chères soumises. Vous avez tout quitté, lâché vos familles, vos emplois, vos vies… Et vous avez beaucoup fait pour moi : vous avez avalé des litres et des litres de sperme juste pour m’enrichir. Vous vous êtes occupées de ce manoir d’une formidable façon. Aujourd’hui, certaines d’entre vous continueront à me servir de cette façon. D’autres seront vendues à de riches russes, que vous irez servir dans les prochains jours.
Il y eut des protestations, les soumises ne voulant pas quitter le Bondage Asylum pour aller servir des russes inconnus et probablement brutaux. Ici, Sara, Esther et Alana s’occupaient bien d’elles et elles vivaient dans un cadre luxueux, même si elles dormaient dans la cave la nuit.
– Je comprends votre désarroi, mais voyez cela comme la dévotion ultime! Je vous serai reconnaissante pour toujours de ce don que vous ferez pour moi… Sachez que votre vente me rapporterai 100 000 $ à chacune! Et je sais que vous serez très heureuse de faire ça pour votre Maitresse.
Les mots de Sara calmèrent un peu l’atmosphère, mais on sentait que les soumises voulaient quand même rester au manoir, avec leur Maitresse.
– Pour vous départager, un combat de boue sera organisé ici même. Les duels de soumises se succéderont. Chaque soumise victorieuse pourra rester ici et aura la charge de placer la soumise vaincue dans un de ces boxs en bois. Le marteau et les clous sont à disposition ici. Les boxs partiront demain matin pour la Russie.
Il y eut alors de l’agitation dans l’air. Esther et Alana calmèrent à grands coups de fouet tout ce petit monde et organisèrent les combats.
Cela prit tout l’après midi. Les soumises se battaient avec férocité, se traînant dans la boue jusqu’à ce qu’une des deux capitule. La gagnante enfermait la perdante dans un box et s’occupait de l’enfermer dedans pendant qu’un autre combat s’engageait. Une cinquantaine de boxs étaient prêts à l’envoi. Et ce fut le tour de Debbie et Nick. C’était la cerise sur le gâteau pour Sara, elle attendait ça depuis quelques jours avec tellement d’impatience.
Ben Esra telefonda seni boşaltmamı ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32