Avec toi, ma belle inconnue…
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Avec toi, ma belle inconnue…Bonjour belle inconnue,Tu es venue découvrir ta surprise……Y as-tu songé ? Pas toute cette soirée ! pas toute cette journée !…Bien entendu que je ne souhaitais pas me jouer de toi, mais les circonstances étaient trop bellesque pour laisser passer mon envie de te tenir en haleine, savoir que je peux te donner à toi aussicette envie d’accélérer les aiguilles.…Alors, je vais encore prolonger ton supplice……Es-tu bien détendue ?…As-tu passé une bonne journée ?…T’es-tu installée confortablement ?…N’as-tu pas envie d’un petit rafraîchissement, un thé, un café ? être bien, simplement !…Voici donc cette surprise… qui n’en est presque plus une……Te dire que je pensais à toi te semblera aujourd’hui plus évident !…Tu as ouvert en moi une brèche que je ne m’explique toujours pas ! Un sentiment étrange que jepartage avec toi, l’attraction d’un astre qui semble ne briller que pour moi. Alors je me metsdans ta lumière et te propose de nous y livrer !…Le souvenir de notre première nuit m’a conduit, en manque de toi, à en rêver une autre,totalement improbable, et pourtant si tangible…Cette après-midi, sans te le demander, d’un songe que j’ai dessiné, je me suis invité chez toi. Parje ne sais quel miracle, j’étais là, nu à t’attendre, comme une suite à nos ébats…Je m’imagine à présent face à toi, dans ton tailleur bleu marine, un chemisier blanc légèrementouvert qui d’un coup te serre en me découvrant. Passé la surprise, tu te rappelles nos jeux àdistance et choisi bien vite l’option d’en tirer avantage…Tu ne prends pas le temps de réfléchir. Instinctivement, ton regard s’éclaire et tu te redresses enenlevant mon regard. Sans un mot, tu fais tomber ton tailleur et ton chemisier s’entrouvredirectement. Tu t’allonges maintenant dans ton canapé commence à te caresser sans attendre,délicatement, de tes seins à ton ventre, pendant que ton regard se plonge dans le mien, commeune invitation à venir à toi. A cet instant déjà, je n’ai qu’une seule envie : te faire chavirer deplaisir sous mes mains dociles. Ton regard aux pupilles dilatées me crie qu’il a envie que je teprenne, que j’embrase ton intimité sans aucune retenue.Mais avant ça, tu as décidé de m’éprouver, comme de cette semaine écoulée, me sentir à tamerci. Tu viens attacher mes mains avec la paire de bas que tu viens de faire glisser à tes piedspour les nouer aux accoudoirs du fauteuil dans lequel je suis confortablement assis. Tu veuxencore éprouver la distance, m’empêcher de te toucher, de te caresser… pour le moment, je suisà toi, toujours en manque ! Tes caresses se sont faites plus pressantes, plus exigeantes, tu en asenvie, tu en as besoin. Ta main est naturellement descendue entre tes jambes qui s’activaientdepuis quelques minutes. Elle connait le chemin, elle y est déjà ! Tu sais comment faire venir leplaisir de ton sexe et te caresse librement, faisant glisser ta culotte pour faciliter tesmouvements. Ton regard aguiche et me fait monter l’envie d’un cran. Tu aimes à voir mon désir,tu le veux des plus ardents ! Alors, tout en roulant ton clitoris sous tes doigts, tu t’installes entremes jambes et, de ta main libre, doucement serrer tes phalanges sur ma hampe déjà bien raidiedu spectacle que tu m’offres. Tu montes et descend lentement, avec nos regards qui sesoutiennent et s’embrasent de ce moment de pure délicatesse. Ta main glisse doucement versmes bourses pour les malaxer quand ta langue et tes lèvres viennent prolonger le plaisir ainsiinitié. Ta bouche se fait maintenant plus pressante et je perçois de tout le désir que tu éprouvesà m’exciter ainsi. Je te contemple à mes pieds, ce moment d’une grande beauté où tu donnes àmon seul türbanlı tekirdağ escort plaisir, sans aucune retenue.Puis brusquement, alors que j’arrive au paroxysme du plaisir, d’un coup d’un seul, tu te retirespour regagner ton canapé, face à moi, me laissant seul, la queue en l’air, avec un air totalementhébété.Bien assise, les jambes écartées dans ton fauteuil, ta jolie chatte débordant de nectar, tureprends tes caresses. Je regarde tes doigts couvrir la totalité de ton corps pour s’attarder sur teszones sensibles et je deviens fou de désir à ne pouvoir me détacher quand tu me demandes àl’instant de venir joindre mes caresses aux tiennes, lécher ta belle chatte toute humide. Toncorps se cambre de plus en plus à présent et tes petits gémissements s’amplifient sous tes gesteshabiles ; mon sexe se dresse à en devenir douloureux. Malgré moi, je sens le plaisir montertoujours plus fort…Tu continues à me regarder, provocante et sensuelle en diable, sans aucune pitié pour la douleurqui envahit mon sexe… Soudain, c’est un orgasme démentiel qui te secoue le corps entier ; tu tecambres au maximum, ton visage se perd dans le vide, tes muscles se contractent sous l’effet deton propre plaisir, ton souffle est haletant, et tes doigts se crispent maintenant dans tonentrejambe où les seules pensées qui parviennent encore à ton esprit sont plaisir, jouissance,orgasme, tremblement de terre, apocalypse … tu as totalement perdu pied, tes yeux se sontretournés derrière tes paupières, tes jambes sont pantelantes de part et d’autre de l’accoudoirdu canapé et tout ton corps se relâche à présent.Quelques minutes s’écoulent pour que tu reviennes à toi et plonge à nouveau ton regard dans lemien. Tu te lèves, taquine et, voyant que mon entrain est toujours bien présent, vient tournerderrière mon fauteuil pour me frôler la nuque, les épaules, les bras, les cuisses quand, face àmoi, tu te retournes brusquement pour me présenter ton joli petit derrière aux fesses fermes etlégèrement rebondies. En écartant les jambes, tu fais mine de venir t’asseoir sur mes genoux,mais au dernier moment, viens t’empaler sans crier gare sur ma hampe bien verticale. Unesensation indescriptible de douceur et de plaisir se mêlent lorsque tu commences tes va-et-vienten glissant si facilement sur mon sexe turgescent.Tu ne m’as toujours pas détaché et je peste encore de ne pouvoir déposer mes mains sur tesseins pour me repaître de leur chaleur et de leur douceur, sentir leurs pointes raffermies par tonexcitation…Comme si tu avais compris ma frustration, sans plus me regarder à présent, tu libèresmaintenant mes poignets pour me laisser enfin découvrir ton corps, et m’enivrer de sa douceur,poser enfin mes mains sur tes tétons durcis. Tu reprends lentement ton mouvement et vient tecoller de plus en plus fort contre mon corps que tu épouses si harmonieusement. Tes cheveuxqui frottent sur mon torse me procurent une sensation de plaisir totalement indescriptible, toutcomme la vue de ta superbe croupe qui se fait aller sur ma verge en feu.N’y tenant plus et souhaitant reprendre le jeu en main, je te soulève brusquement par la taillepour te retourner face à moi dans le canapé juste à côté. Ton regard se fait pétillant et tu saisque tu n’auras plus le dessus. J’écarte tes jambes et vient me présenter à l’entrée de ta fentehumide et m’y introduire après avoir eu soin d’écarter doucement tes lèvres. Calmement, puisen accélérant le rythme, je me plais à contempler le balancement de tes seins au rythme de mesà-coups quand, voyant que ton plaisir monte à nouveau, je joins mes doigts à mon sexe pourtitiller en même türbanlı tekirdağ escort temps ton clitoris et t’emmener encore plus loin que ce que tu n’avais pu faireseule. Ton cri se transforme en hurlement et plus rien ne saurait te retenir dans cet instant d’uneintensité extraordinaire. Tu jouis tout ton plaisir et tu te contractes fort autour de mon sexe qui,à son tour, ne veut plus réprimer son envie de jouissance. Dans un tourbillon qui nous emportel’un et l’autre, nous nous laissons aller au paroxysme de nos orgasmes et je m’épands en toi sansretenue en hurlant moi aussi ce plaisir que tu viens de m’offrir si généreusement.Quel plaisir tu me procures à découvrir le tien ! Un plaisir, de deviner cette chaleur qui monte entoi, de plus en plus quand tu me lis, une chaleur irrésistible qui a poussé tes doigts à descendreentre tes jambes. Tu t’es laissé prendre au jeu de ces mots qui t’ont caressé l’esprit avant que tun’en viennes à répondre, sans pouvoir y résister, à l’appel de ton corps. Quand tes doigtss’immiscent en toi pour s’humidifier des sensations auxquelles ton corps entier répond, ce sontmes mots qui entrent en toi et qui te conduisent à en vouloir encore plus. Je te vois ainsi, sousmon regard gourmand, impatient de cette indécence qui attise le feu de ton corps, ce sont mesmots qui guident tes mains, tes envies qui me donnent envie d’encore, c’est toi qui m’inspirescela.Si tu le désires, laisse-moi maintenant te toucher, te caresser, que je partage mon corps brûlantavec toi, …Tu le sais, tu le sens, un second orgasme ne sera pas de trop. Tu me donneras ainsi la possibilitéde poursuivre cette charmante rencontre en nous offrant l’un à l’autre, à travers cet échange oùle plaisir sera notre seule raison d’être.Et d’un coup, d’un seul, je viens remplacer tes doigts par ce beau sexe que tu as déjà pu admirerde très près, et tu te laisses emporter par mes va-et-vient qui te procurent un plaisir inouï, qui techavirent. Nous ne faisons déjà plus qu’un, une fusion parfaite où ton corps se cambre sous mesassauts. Chacun de tes mouvements, chaque vibration de ma verge en toi se diffusent jusqu’ànos épidermes, nous électrisant de millier de petites décharges. Tu gémis, presque en silence, tumords doucement tes lèvres, coupable de ce désir d’excitation ; ton souffle se fait court, leplaisir monte. Ressens-tu cette douce tension du plaisir qui se répand en toi, qui caresse ton bas-ventre, les lèvres ouvertes autour de ma verge, offertes et pénétrées. Il descend entre tes fessesqui frissonnent, frustrées de n’avoir encore été honorées…Tu n’y tiens déjà plus et pourtant tu as encore bien d’autres envies à l’esprit, mais d’abord, tefaire jouir. Tu t’abandonnes enfin, laissant ton corps prendre le pas sur ton esprit où tu megratifies de ce moment délicieux où je te vois perdre tout contrôle, où tu n’es plus qu’unemarionnette qui s’anime désordonnément face à ces vagues de plaisir qui t’emporte. Tu melaisses désireux de renouveler l’expérience, de contempler, encore et encore le magnifiquespectacle de ton orgasme, sensuel et envoûtant…Sans te laisser de répit, ma langue a décidé de venir titiller ton clitoris gonflé du plaisir de cetteétreinte. Ma langue joue et t’aspire à présent tandis que, de ma main gauche je te caresse lesseins, pour ton plus grand plaisir. Ta tête est déjà ailleurs, tout à ce plaisir qui t’envahit ànouveau. Tu réagis très vite à la douceur de mes mains sur ta poitrine quand je sens encore tespointes durcir sous mes doigts agiles. Je prends mon temps pour faire monter encore la pression.Deux doigts explorateurs viennent se türbanlı escort tekirdağ joindre à ma langue : ils veulent maintenant avoir raison detoi et ils y parviendront, je le sais, je le sens…Ton esprit se libère à présent de toutes parts et s’abandonne à savourer l’instant. Tes mainsviennent à travers ma chevelure presser sur la tête pour que je ne puisse retirer ma bouche de tavulve en feu lors de cette vague de plaisir qui t’emporte. Ton corps s’agite et ondule au rythmedes longues secousses qui ont totalement pris possession de ton corps aux reflets soyeux. Tesmouvements suivent le bonheur silencieux que j’ai à me délecter de cette liqueur qui coule dufond de ton intimité, divinement rehaussé de tes râles et gémissements de moins en moinsretenus. Te mordre les lèvres n’y peut plus rien, il faut maintenant que tu exultes ce plaisir quit’a envahie, que tu le cries, que tu le hurles, fort, très fort.Ma langue a désormais quitté ton clitoris pour me permettre de te contempler alors que mesdoigts sont toujours en toi à imprimer ce lent va-et-vient et que les contractions de ton vagins’espacent. Mon regard peut à nouveau épouser le tien et te sentir jouir ainsi sous mes caresses.Cette idyllique parenthèse m’a encore un peu plus tendu. Je te laisse encore quelques secondesde répit pour te laisser reprendre ta respiration. Le désir de te prendre à nouveau est toujoursbien présent. Je vais m’occuper de toi, que tu sois à moi, toi qui m’es promise, celle qui n’aurad’autre choix que de se plier à mon envie et subir mes doux supplices…….Je t’installe à genoux devant moi, bien cambrée pour m’offrir une vue imprenable sur tonfessier que rien ne peut cacher. Tu ronronnes déjà à la sensation de ma hampe tendue qui sepromène lentement sur tes lèvres trempées de ce divin nectar. Je me délecte de cette envie quetu as de tenter de reculer, comme une invite à te pénétrer, maintenant ! Tu es avide de mesentir en toi à nouveau, mais je continue inlassablement à promener le bout de mon gland àl’entrée de ton puits d’amour jusqu’à monter plus haut à l’entrée de ton petit trou où je le faistournoyer pour redescendre à nouveau vers ta fente. Je prends plaisir à ce petit jeu exquis que jelaisse durer quelques minutes, quand je te sens devenir totalement incontrôlable, avide de cesexe que tu réclames à corps et à cri. Alors je te pénètre d’un coup, jusqu’à la garde, en de longsva-et-vient qui s’accélèrent de plus en plus. Je suis totalement hypnotisé par les mouvements dema queue qui entre et sort, luisante de ton jus et de ton petit trou qui me met de plus en plus enappétit. Je sens ton orgasme proche à nouveau et ne réprime plus cette envie que j’aid’introduire mon pouce dans ta rondelle en continuant à imprimer un rythme soutenu. Je suis aubord de l’extase quand je sens mon pouce appuyer sur ma verge à travers cette fine et délicateparoi qui sépare tes orifices. Ton souffle se fait à nouveau plus court et tes cris deviennentrauques. Rien ne nous arrêtera plus sur cette route qui nous conduit à un superbe orgasmecommun, toi mon Amour, ma belle inconnue, et moi, jouissant de cette étreinte ultime. Mahampe puissante est maintenant prête à jouir en toi. Nous nous abandonnons entièrement l’unà l’autre. Que le plaisir nous envahisse totalement et nous mène bien au-delà de nos simplesplaisirs terrestres. Je te sens au plus près de l’orgasme, sensation ô combien merveilleuse, quandtes muscles se contractent sous mes assauts. La tête te tourne à présent, tu es ailleurs, tespensées se bousculent, s’entrechoquent et se mêlent avec plaisir, un orgasme merveilleux tetraverse tout entière quand je jouis à mon tour et que dans un râle de plaisir, à l’unisson, masemence se répand alors en toi.Ton souvenir est à jamais gravé en moi de ce petit moment d’éternité. Nos sourires heureuxcaressent de mots doux notre bonheur découvert et nous nous endormons dans les bras l’un del’autre, comblés de l’intensité de nos échanges.Nos deux âmes qui pour un temps furent en parfaite fusion savourent.
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